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Face à un monde bouleversé par le développement technologique, l’explosion des moyens de communication et les tensions internationales, l’homme d’aujourd’hui est peu préparé à absorber autant de violence. Existera-t-il un homme monde modèle, qui ressente, qui ait senti en lui un terrible raz de marée qui menace d’engloutir ce qu’on avait cru jusqu’alors intangible ? Nous sommes au Golgotha, aux pieds du Crucifié qui expérimente un mystérieux et terrible abandon. Celui des hommes mais surtout celui de son Père du Ciel. « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » Le cri de Jésus sur la croix est une réalité tellement inconcevable, inaudible, que durant des siècles, la chrétienté n’a pas eu le courage de l’approfondir, de s’engouffrer dans cet abîme de souffrance divine, privilégiant d’autres aspects de la passion. « J’ai attendu vingt siècles pour me révéler à toi. Si tu ne m’aimes pas, qui m’aimera ? » Telle est la question qui s’impose un jour à la jeune Chiara Lubich, initiatrice d’un mouvement de spiritualité qui allait devenir le mouvement international des Focolari. Dès l’aube de cette aventure spirituelle, elle avait ardemment demandé à Jésus : « Donne-moi la passion de ta passion. » Dans le cri de Jésus en croix, Chiara Lubich met en lumière l’amour le plus grand qui soit, la clé de l’unité, le visage de Dieu le plus en mesure de parler à l’humanité d’aujourd’hui.

Nouvelle Cité

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