Mouvement des Focolari
La « Croix en Pèlerinage » des JMJ 2019

La « Croix en Pèlerinage » des JMJ 2019

  2017-06-24-PHOTO-00000079 Après l’arrivée au Panama de la « Croix en Pèlerinage », où se dérouleront les Journées Mondiales de la jeunesse 2019 (JMJ), l’archevêque José Domingo Ulloa Mendieta, O.S.A., a lancé l’initiative de faire de tous les 22 de chaque mois « une prière ensemble » pour cet événement important. La prière du 22 juin dernier a été confiée à la communauté locale des Focolari. En conclusion de la célébration eucharistique, l’archevêque a confié la « Croix en Pèlerinage » et une icône de la Vierge aux jeunes des Focolari. « C’était beau de recevoir et de porter la Croix des JMJ – écrivent les jeunes – et nous avons profité de l’occasion pour dire à l’archevêque qu’il peut compter sur nous ; il a répondu : « je compte bien dessus ». Ce fut une fête de la famille de l’Église ! »

Contre l’abus et le trafic des stupéfiants

Introduite en 1987 par l’Assemblée Générale de l’ONU, la journée mondiale du 26 juin contre l’abus et le trafic illicite de drogue entend renforcer toutes les actions possibles pour combattre l’un des pires drames de notre planète. Selon le rapport 2016 de l’UNODC (United Nations Office on Drugs and Crime), 250 millions de personnes d’un âge compris entre 15 et 64 ans ont déjà utilisé des stupéfiants l’année précédente. La campagne s’adresse à tout le monde, mais en particulier aux jeunes qui parlent souvent des « effets hallucinants » des drogues, tout en oubliant les nombreux « effets négatifs ». L’utilisation des stupéfiants est préoccupante et représente une plaie sociale qui pèse lourdement sur la santé publique, autant en termes de prévention que de traitement et de soins des troubles liés à l’utilisation de la drogue

Évangile vécu : Surmonter les divisions

Évangile vécu : Surmonter les divisions

Santa-Terezinha-C-Caris-Mendes-CSCSur l’ile de ‘Santa Teresina’ « Lorsqu’on vit dans un état de misère extrême, ou on tombe dans l’inertie, ou il n’y a que la violence comme alternative. Grâce au charisme de l’unité, j’ai compris que je pouvais devenir un agent de transformation sociale de mon milieu : chercher du travail pour les habitants, aider à reconstruire un mocambo, travailler pour que toutes les familles puissent accéder à l’eau potable. Après deux ans, j’ai été élu président de l’Association des habitants de Santa Teresina. J’ai donné la continuité au travail de mes prédécesseurs, je me suis occupé de la transparence de la gestion publique en faisant comprendre aussi que si chacun aidait l’autre, Dieu aurait aidé tous ». (J.- Brésil) Agent des taxes « Je travaillais comme agent des taxes, un travail difficile que j’ai essayé de porter de l’avant comme service rendu au pays. J’essayais de servir Jésus en chaque personne, en créant un rapport avec chacun. Il y a quelques années, j’ai été assigné au Département d’Enquête et d’Exécution. Pratiquement, je devais convaincre celui qui n’était pas en règle, de payer les taxes afin de ne pas encourir des sanctions. Cela est d’autant plus difficile et demande une grande dose de patience. Peu à peu j’ai gagné le respect des personnes que je rencontrais, beaucoup parmi elles ont pris conscience de la nécessité et de l’avantage à être en règle ». (A.N.-Kenya) Solidarité contagieuse « Il y a de nombreuses années, une amie assistante sociale nous avait demandé d’accueillir pendant une semaine une jeune fille de 17 ans, presque aveugle, qui pour différentes raisons, ne pouvait pas rester dans l’Institut où elle était ni retourner à la maison dans sa famille. Après en avoir parlé avec nos enfants désormais adolescents, nous avions décidé d’un commun accord de l’accueillir, même si ce choix allait représenter quelques sacrifices pour chacun : la maison était déjà petite pour les quatre enfants étudiants qui avaient besoin d’espace. Miriam vint donc chez nous et, aidée par tout le monde, elle s’inséra tellement bien qu’elle aida pour la préparation de la fête d’anniversaire d’un des fils. Et à la place d’une seule semaine, celle-ci se prolongea en trois semaines. On s’en souvient comme d’un moment fort vécu en famille. Cette expérience d’accueil a ensuite été aussi efficace des années après. Notre fille, mariée et mère de deux enfants a accueilli un enfant souffrant d’un handicap qui serait resté seul dans son institution pendant les fêtes de Pâques. Un autre de nos fils, lui aussi marié et père de trois enfants, a accueilli pour le repas de Noël, en plus de sa belle-mère, une personne souffrante de maladie mentale. La solidarité est contagieuse ». (H.G. Autriche)