Mouvement des Focolari
Grande-Bretagne: le nouveau site des Focolari est en ligne

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Cette année, la Mariapolis se déroulera dans le cadre magnifique de Cefn Lea, dans les Galles centrales, du 29 juillet au 2 août.

Qu’est-ce que la Mariapolis? C’est le rendez-vous le plus caractéristique du Mouvement des Focolari: ensemble, petits et grands, personnes de provenances les plus variées, tous se retrouvent plusieurs jours pour vivre un laboratoire de fraternité, à la lumière des valeurs universelles de l’Évangile.

Cette expérience originale, qui se répète dans de nombreux pays du monde, a comme directive la “règle d’or”, qui invite à faire aux autres ce que l’on aimerait qu’on nous fasse.

Ce sont des journées pour expérimenter qu’il est possible de vivre au quotidien en mettant à la base de chaque rapport l’écoute, la gratuité, le don.

C’est à cette occasion, durant la Mariapolis au Pays de Galles, que sera présenté le nouveau site officiel de la Grande-Bretagne.

Visitez le site: www.focolare.org/gb

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Ecole sociale 2013: Où est ton frère?

«Je suis arrivé à un moment de crise profonde, une recherche sans fin sur des questions existentielles et sociales et, ces jours-ci, j’ai trouvé une réponse forte», dit l’un des nombreux participants venus des pays du Cône Sud (Bolivie, Chili, Paraguay, Uruguay et Argentine) à l’issue de l’Ecole d’Etudes Sociales (EDES) qui a eu lieu du 6 au 8 juillet à la Mariapolis Lia, la cité-pilote des Focolari en Argentine. Trois jours de réflexion et d’échange intense, à partir des expériences de vie de personnes engagées de différentes manières dans le domaine de la promotion humaine; ceux, nombreux, avec une longue expérience et d’autres débutant à peine, ont travaillé ensemble essayant de donner une réponse à la question fondamentale: «Où est ton frère?». Une question très inquiétante qui a coïncidé avec le fort appel du pape François lors de sa visite sur l’île de Lampedusa (Italie), le lieu de débarquement des migrants africains en quête de meilleures conditions de vie et souvent victimes de naufrages. «Ce qui m’a le plus frappé ces jours-ci, c’est de voir des gens très différents, provenant de lieux géographiques variés, engagés dans divers milieux de la société, mais tous avec le même objectif: aimer. Tout a été tellement important que je tiens à le mettre en pratique de suite». Les activités dans lesquelles sont engagés les participants sont: la sauvegarde de la dignité humaine au milieu des décharges, les lieux d’écoute et de santé des centres d’éducation sanitaire dans les zones à haut risque, le travail pour la conservation du patrimoine culturel autochtone, la promotion du tourisme social, les centres pour l’enfance, le soutien scolaire, la prévention et la réadaptation des toxicomanes, des centres d’aide à la vie, des centres pour handicapés, le bénévolat dans diverses ONG et organisations de promotion sociale de l’Etat, la gestion de projet, les logements populaires, les centres sociaux, syndicalistes, chefs d’entreprise, politiciens … Même le simple fait de pouvoir se rencontrer pour échanger ses propres expériences a été un grand enrichissement mutuel. La méthodologie de travail a été centrée sur l’engagement et l’intérêt social de chacun plus que sur des débats académiques; le but étant de favoriser la “construction de connaissances à partir d’expériences vécues.” «J’emporte avec moi des outils et des idées à mettre en pratique dans les activités sociales d’un quartier à risques dans lequel nous travaillons actuellement». «L’attente a été largement satisfaite: j’ai participé aux écoles précédentes et je pense que nous progressons et nous mûrissons dans cette vocation à l’engagement social dans nos villes». «Merci beaucoup! Ici, nous apprenons à ”être”, pour revenir chez nous et ”faire”».

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Le pape François aux jeunes de Rio: “Allez, sans peur, pour servir”

“Le Christ a confiance dans les jeunes et leur confie le futur de sa mission.” Ce sont les premiers mots du pape François à son arrivée au Brésil, devant les autorités civiles et religieuses qui l’accueillent. “Jésus t’appelle à être disciple en mission! Aujourd’hui, que nous dit le Seigneur? Trois paroles: Allez, sans peur, pour servir.” C’est l’appel du pape lors de l’homélie de la messe, face à trois millions de personnes qui remplissent la plage de Copacabana pour la conclusion des JMJ. Paroles simples, nouvelles et, de toujours, engageantes. Comme tant d’autres paroles dites, entendues et que les jeunes se sont appropriées tout au long de la semaine passée à Rio de Janeiro. Les jeunes retournent maintenant dans leur propre ville et pays, leur famille, groupes, associations et congrégations, avec l’invitation du pape à “faire du bruit”, à remuer les eaux, à tenir compte de l’autre copain comme de l’adulte, à cultiver et à vivre sa propre foi toute entière. La parole aux jeunes. Donna, du Liban, dit que “le pape parle de manière simple et directe, plus adaptée à notre époque”. Pour Joaquín, Argentin, qui a suivi les JMJ à distance, “faire du bruit” signifie être la force qui pousse la société. “J’ai senti que je faisais vraiment partie de l’équation du pape: jeunes – âgés – adultes. Aujourd’hui, je suis jeune et donc c’est à moi de faire cette part. J’aime bien cette vision plus générale, qui est juste.” Daniela, Italienne: “Cette ‘réciprocité entre générations’, que nous rappelle de manière insistante le pape, peut vraiment être une force explosive, une aide réciproque. Ce qui me reste dans le cœur après avoir suivi ces JMJ c’est le désir, vouloir vivre de façon encore plus radicale ma vie et sortir dehors pour être chaque jour, dans mon quotidien, cette fenêtre pour faire entrer le futur dans le monde!”. Iggy, Néozélandaise: “Ces JMJ sont un élan pour faire une révolution, pour ‘conquérir’ d’autres jeunes à une vie comme celle-là. Spécialement parce que dans mon pays, la Nouvelle-Zélande, il n’y a pas beaucoup de personnes qui croient en Dieu”. Et des jeunes de Rio de Janeiro qui participent au groupe de dialogue œcuménique et interreligieux: Fuminori (catholique): “Les JMJ sont la preuve de ce qui est en train de se passer à Rio entre catholiques, méthodistes, baptistes et autres. Des personnes non catholiques ont aidé durant ces Journées en recevant des jeunes chez eux avec une cordialité fraternelle”. Carlos (presbytérien): “Les JMJ ont apporté un nouvel esprit dans la ville. Il y a de la musique, la fête et un ton de voix qui dépasse les institutions. Ce sont des jeunes du Christ. C’est-à-dire qu’ils portent une nouvelle forme d’identification religieuse qui traverse les murs institutionnels”. Fernando (musulman): “Je vois les JMJ très positives, parce qu’elles permettent aux jeunes de diverses provenances de parler de valeurs et de principes très importants pour tous. Il s’agit aussi d’une rencontre avec Dieu, et cela apporte toujours des résultats merveilleux pour le renouvellement de la foi de chacun”. Parmi les jeunes qui ont réalisé leur propre parcours en répondant à l’appel de Dieu, il y a aussi la bienheureuse Chiara Luce Badano. À la question “avez-vous assisté à des changements de vie chez les jeunes aussi au contact avec l’expérience de votre fille”, sa maman, Maria Teresa, répond: “Aussi ceux qui en ont seulement entendu parler, ou l’ont vue en photo, ne s’arrêtent pas pour regarder cette belle photo, mais ils sont touchés par sa signification à travers son regard, par sa beauté intérieure, par ce feu qu’elle avait en elle. Hier, je disais: avec ces jeunes, Dieu veut certainement réaliser en chacun ce dessein qu’il a à l’esprit. Et donc, nous les confions à elle”. Ces jours-ci, Maria Voce a adressé à tous les membres des Focolari une lettre dans laquelle, entre autres, elle lance une invitation: “Périphérie existentielle est n’importe quel point où l’homme ne trouve plus son centre, parce qu’il ne trouve plus Dieu. Et nous tous qui, par la grâce seulement, l’avons trouvé, nous sommes appelés à rester là, à nous immerger dans cette humanité désorientée pour la ramener à son centre”. Et rappelant un texte de Chiara Lubich, elle ajoute: “Je crois que Chiara elle-même n’en désire pas moins si depuis toujours elle voyait “le grand attrait” de “se perdre dans la foule, pour qu’elle s’imprègne de Dieu [1]“. Après les jours vécus à Rio, une route est ouverte, à parcourir ensemble. Au revoir à Cracovie! [1] C. Lubich, La doctrine spirituelle, “L’attrait de notre époque”, ed. Nouvelle Cité, p. 232.

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Learning Fraternity: les écoles d’Irlande du Nord

20 ans de fraternité. C’est le 20 mars 1993: à Warrington, dans le comté anglais du Cheshire, l’Ira lance un des attentats les plus sanglants : 56 blessés et deux morts : Jonathan Ball, de trois ans, et Tim Perry, de 12 ans. Les faits de Warrington laissent des traces, engendrant une vague d’indignation mais aussi la volonté de changer la situation. En première ligne deux écoles en plus du comté, qui avant même l’attentat, sur initiative de leur directeur, essaient de dépasser la division rigide entre les enfants catholiques et protestants, éduqués d’habitude dans des écoles séparées. Les deux instituts (l’un catholique et l’autre protestant) veulent donner un témoignage d’unité et de paix.

Au cours des années le cercle s’élargit jusqu’à Belfast, capitale de l’Ulster, où deux autres écoles commencent à construire un rapport de collaboration mutuelle. A ces deux instituts, proche de la République d’Irlande, une autre s’ajoute rapidement pour former un ‘cercle d’écoles’ où l’on propose ce que l’on appelle l’’art d’aimer’ à travers le dé de l’amour.

Kevin Mc Keagueest directeur de l’école catholique de St James (Belfast): “Une fois j’ai entendu Chiara Lubich dire que sur les trois idéaux de la Révolution française, le moins développé était la fraternité… Ceci est aussi vrai pour nous ici à Belfast isolés en deux communautés… J’ai pu ainsi voir dans notre rencontre David et moi (lui, directeur de l’école protestante) la possibilité de construire des ponts et d’introduire dans nos communautés une injection d’amour et de fraternité ». David McConkey dirige l’école protestante Whitehouse (Belfast): “J’étais profondément convaincu que l’éducation joue un rôle principal dans la promotion de la paix à travers des initiatives où les enfants de diverses traditions peuvent se retrouver face  à face ».

Declan O’Brien, directeur de l’école St Conleth en République d’Irlande: “J’ai été tellement frappé dès le premier coup d’œil par l’unité entre les deux écoles du Nord de l’Irlande et par le véritable témoignage d’unité et de fraternité entre Kevin et David que moi aussi j’ai voulu partager leur projet en introduisant « le dé » pour vivre de cette manière l’art d’aimer avec d’autres écoles. »

En 2009 l’école protestante de Belfast est complètement détruite par un incendie douloureux, une tragédie partagée par les deux autres écoles qui organisent ensemble un concert de solidarité intitulé « tous pour tous ». Etudiants et parents et des trois écoles y ont participé, avec le maire unioniste et le curé, représentants de communautés divisées, cette fois-ci ensembles.

« Vous êtes en train de donner un témoignage fort dans la communauté et dans le pays », affirme le maire. Un journal local parle des enfants qui « nous montrent la route pour avancer ».

Cependant on entrevoit la triste possibilité que l’école ne puisse plus être reconstruite, par manque de fonds. On décide alors d’organiser une marche de protestation digne mais résolue, devant le parlement à Belfast. Elèves, familles, amis, collègues réunis autour du directeur McConkey dans une véritable démonstration de fraternité. Le comité parlementaire pour l’Education, composé de membres de divers partis, est frappé par ce signe de solidarité. Le même jour on annonce la reconstruction immédiate de l’école protestante.

Dans les trois écoles “amies” on introduit l’art d’aimer, proposé par Chiara Lubich comme antidote à l’égoïsme, à la discrimination et au boulisme. L’art d’aimer est une série originale de points tirés des pages de l’évangile qui aident les personnes à concrétiser l’amour envers Dieu et le prochain. Ainsi, même dans nos écoles « nous sommes bâtisseurs de paix, brique par brique, dans nos classes, dans la cour et de là ensuite nous continuons dans la rue, dans nos parcs de jeux et dans nos maisons… » disent les élèves de ces instituts qui, toujours selon Declan O’Brien, viennent de milieux où ces valeurs sont méconnues.

O’Brien nous explique comment les enfants concrétisent cet art à l’école ou chez eux, en montrant comment elle les aide à être, en devenant plus tolérants, disponibles et plus ouverts aux autres : « Deux enfants se moquaient continuellement d’un des élèves. Cela se passait de manière silencieuse sans que les enseignants ne s’en rendent compte. Il y avait le risque de vengeance et d’élargir le cercle de la haine. La proposition de mettre en pratique l’art d’aimer a cassé ce mécanisme, en donnant aux élèves le courage de changer les choses en positif. En peu de temps la situation s’est résolue ».

“Drums for peace” est une autre initiative où les tambours, utilisés dans le passé comme signal d’antagonisme entre les personnes qui marchaient sur la route, maintenant ils annoncent la paix. Au cours de la manifestation on donne un prix pour une poésie. Comme celle d’Aiden Doyle (huit ans) de Belfast. C’est un texte écrit après que quelques affrontements entre les partis ont risqué en 2009 de faire retomber l’Irlande du Nord dans les années sombres de la guerre civile. Ces jours-là un policier et deux soldats sont assassinés. Aiden, avec sa spontanéité écrit : « Ce policier qui a perdu la vie était le papa de quelqu’un… » et il demande de ne pas retourner en arrière dans le processus de pacification. Ces paroles simples et convaincantes ont fait tache d’huile et arrivent au journal télévisé de la chaîne nationale en aidant fortement au développement et à l’éducation à la paix.

Source : Irlande du Nord : un accord entre écoles pour construire des liens de paix.

Learning Fraternity (Castelgandolfo, Rome 6-8 septembre 2013)

 

Congrès-laboratoire pour qui travaille dans le milieu de l’éducation (famille, secteur école, catéchistes, animateurs, éducateurs): en réponse aux défis de l’éducation, les thèmes principaux affrontés ont trait à « Education et mondialisation », « Education et relation ».

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JMJ de Rio. La sainteté en veste jeans

Sous une pluie continuelle, le vent, le froid et un trafique chaotique, le théâtre central Carlos Gomes de Rio de Janeiro était plein d’une foule de jeunes. Ils sont venus de loin : il y avait qui parlait français, qui l’espagnol, qui l’anglais et évidemment la langue brésilienne – tous avides de connaître la bienaimée Chiara Luce, choisie parmi ceux qui intercèdent pour les JMJ comme « Celle qui a vécu l’abandon total à Jésus ».

La bienheureuse Chiara Luce nait à Sassello, Italie, en 1971. C’est ce qu’on peut lire dans le site des JMJ : « à 10 ans elle vit une forte expérience de rencontre avec Dieu qui change sa vie et celle de ses parents. Depuis cet instant elle décide de vivre de manière radicale l’évangile, en essayant d’aimer tous ceux qui l’entourent. A 18 ans le diagnostique : une tumeur osseuse. Elle vit avec un grand courage chaque étape de sa douloureuse maladie ». « Aide-moi à vaincre les défis de ma jeunesse pour que je puisse offrir ma vie à Jésus Christ, sans réserve », est la prière qui est proposée.

Pour faire connaître sa vie, 80 jeunes, entre danseurs, musiciens, chanteurs et toute l’équipe de production se sont dédiés à fond perdu pendant bien six mois avant le premier spectacle du 24 juillet à Rio, durant les JMJ. Ils ont cru au-delà de toute espérance afin de couvrir les dépenses, mais la communion des biens de la communauté des Focolari de tout le Brésil a comblé tout le budget avant même le spectacle.

« Une sainteté en veste jeans », titre du spectacle, a retracé la brève existence de la Bienheureuse Chiara Luce (www.chiaraluce.org) avec rythme, couleurs et explosion de joie typique de ce pays. A certains moments d’une profondeur unique, la salle gardait un silence et une admiration pour cette jeune fille qui a su transformer la souffrance en amour, grâce à l’amour pour Son « Epoux » – Jésus crucifié et abandonné. Ce passage intense a été représenté par un mime très prenant avec des images de souffrance personnelle et sociale en toile de fond.

Chacun des spectacles de la soirée n’a pas duré plus d’une heure, en laissant chez les jeunes une soif incroyable de connaître plus Chiara Luce et le secret de sa vie, en puisant ensuite dans le livre « 25 minutes » de Franz Coriasco et en visitant le site www.chiaraluce.org.

Nombre de personnes présentes ont laissé leurs impressions spontanées sur le spectacle: “je me suis converti”; “j’ai retrouvé mon idéal de vie”; “c’était comme si je me réveillais à une vie plus radicale”; “nous sommes enchantés de la beauté de la vie de Chiara Luce”; et beaucoup d’autres encore.

Il était prévu trois spectacles en soirée au théâtre Carlo Gomes mais la queue des jeunes qui entourait le bloc du quartier a poussé à demander au Comité d’organisation local des JMJ un quatrième spectacle ! En peu de temps, non sans quelques difficultés logistiques en plus de la fatigue des acteurs, cette permission a été obtenue. A la joie de tous, ce dernier spectacle a accueilli les parents de Chiara Luce, Maria Teresa et Ruggero – qui peu avant se trouvaient à l’hôpital San Francesco pour la visite du Pape – accompagnés de Chicca, l’amie historique de Chiara Luce.

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Protagonistes les jeunes

“Les protagonistes durant cette semaine, ce seront les jeunes”. Ce sont les paroles du Pape François, la veille de son départ pour Rio de Janeiro. Et c’est bien cela. Ce sont les jeunes les acteurs de l’accueil extraordinaire fait au Pape, de la joie qui ces jours-ci fait vibrer la « cidade maravilhosa », de la soirée d’ouverture de l’événement à Copacabana, des multiples manifestations qui constellent la ville de long en large. A Copacabana ils étaient 500 mille, les prévisions disent qu’à la fin de la semaine ils seront deux millions.

Depuis mardi 23, les jeunes des Focolari sont présents avec un stand de l’Exposition des Vocations, à Quinta da Boa Vista. Un parc immense dans le vert, où les différentes réalités ecclésiales présentes aux JMJ accueillent les jeunes à certains moments pour une rencontre et un approfondissement. Là on parle de la jeune Chiara Luce Badano, du projet United World, de l’Escola Civitas.

Ils sont aussi là sous une tente au Largo da Crioca, en plein centre ville, pour ladistribution du livre « 25 minutes : la vie de Chiara Luce Badabo », édition portugaise de la biographie de Chiara Luce écrite par un ami agnostique Franz Coriasco. L’édition du livre, faite par la maison d’édition Cidade Nova, a été  soutenue par la Fondation « aide à l’Eglise en détresse ».

Mercredi 24 ce fut le jour de la présentation de « La sainteté en veste jeans », un musical sur la vie de Chiara Luce préparé par un groupe de jeunes brésiliens. Trois spectacles étaient prévus, à la fin ils en font un quatrième pour pouvoir accueillir les nombreux jeunes qui attendaient à l’extérieur des portes du Théâtre Carlos Gomes, au centre ville. Et justement, surprise,  cette dernière présentation a vu la présence de Maria Teresa et Ruggero Badano, les parents de Chiara Luce, arrivés à l’hôpital Sào Francisco après avoir participé à l’accueil fait au Pape François à cet endroit. »Sur scène on voyait les jeunes enchantés par la vie simple et en même temps extraordinaire de Chiara Luce »,raconte Rosamari, brésilienne. « Il était clair que la sainteté n’est pas une affaire du passé, justement l’exemple que Chiara Luce donne en est un exemple, une jeune comme nous ».

Le soir, de l’autre côté de la ville, au Centre de rencontres Riocentro, le Gen Rosso a présenté son spectacle « Dimension indélébile ». Le 25 le Gen Rosso – avec 200 jeunes qui participent à un programme de réinsertion de la toxicodépendance à travers l’art – est présent à Varginha, dans la favela de Manguinhos, pour animer la fête de l’accueil du Pape.

La journée du 24 juillet a vu de nouveau les jeunes des Focolari engagés, avec les amis deReligions for Peace Global Youth Network, prendre part à l’organisation de la rencontre interreligieuse sur le thème « Allez et construisez la paix dans toutes les nations ».  Entre 18h et 20h, à Estàcio de Sà, les jeunes ont débattu sur le dialogue et les formes d’action en vue d’un engagement commun pour la paix.

Une journée vécue sur fond de la visite du Pape François à Aparecida et l’inauguration du Pôle de soin intégral à l’hôpital Sào Francisco d’Assis. Occasions pour voir des gestes et entendre des paroles qui pénètrent naturellement dans le cœur et l’esprit, qui suscitent l’adhésion. Il pourrait être adressé à tout le monde, le message que le Pape François, en fin de journée, a donné aux jeunes réunis à la « Casa Italia » : « Confiez vous au Christ, écoutez le, suivez ses pas. Il ne nous abandonne jamais, même dans les moments les plus sombres de la vie. C’est Lui notre espérance. Demain à Copacabana nous aurons l’occasion d’approfondir cette vérité, pour rendre la vie lumineuse. A demain ».

Communiqué de presse

Focus: Rencontre interreligieuse donne le départ à la Semaine de la Jeunesse

Focus : JMJ 2013: fête des jeunes à Rio de Janeiro

Mis à jour le 26 juillet 2013

BF – LH

SIF – Service de presse