Mai 18, 2018 | Focolare Worldwide
« Au cours de cette période, avant la visite du Saint Père à Loppiano, j’ai été en contact étroit avec cinq moines bouddhistes thaïlandais. Je parle leur langue et pour cette occasion, j’ai pu être leur interprète ». C’est Luigi Butori qui s’exprime, originaire du centre de l’Italie, mais depuis presque 30 ans, dans le sud est asiatique. « Une expérience forte, profonde et exigeante. Lors de la visite au Centre international des religieux du Mouvement des Focolari, près de Rome, ils ont été impressionnés par le service concret des deux religieux‘’plus vraiment jeunes’’ qui se sont occupés d’eux . Et là, les moines ont commencé à percevoir une ‘’lumière’’, une harmonie, ou comme ils l’ont dit, une ‘’unique voix’’ en eux et autour d’eux ». Le séjour des moines s’est prolongé par une visite de la capitale, avec une focolarine comme guide, qui à leurs yeux ‘’avait le même sourire que les religieux rencontrés avant’’. Et puis, une journée passée dans la ville de Lucca, avec la communauté des Focolari, environ 80 personnes de 2 à 94 ans. « Et encore la même lumière sur leurs visages ». Puis une pointe de quelques heures poussée vers Pise, la ville à la ‘’tour penchée’’, là aussi, une personne présente de la communauté locale. Le même sourire. « Arrivé là, un des moines parmi les plus jeunes s’est exclamé :’’Cette fille de Chiara Lubich a aussi le même type de sourire que nous avons trouvé à Rome, aux Castelli et à Lucca : comment est-ce possible ? ».

© R. Orefice – CSC Audiovisivi
Et enfin Loppiano. « Dans la cité pilote de 850 personnes où tous connaissent et attendent ‘’Luce Ardente’’, comme est ici connu leur maître, se crée parmi tous, pour le dire à leur manière, ‘’une harmonie particulière’’ : une ‘’ville du sourire’’ tout entière! Les cœurs des moines s’ouvrent comme des fleurs au printemps, sensibles comme ils le sont au climat spirituel. Mais ‘’le moment des moments’’ advient lorsque dans le ciel, apparaît l’hélicoptère du Pape. Un d’entre eux, nouveau dans cette expérience, s’émeut – comme il me l’a dit ensuite – ‘intérieurement’, et puis des larmes, chose très rare pour des moines. Joie, mains qui se lèvent pour saluer le Pape François, à l’encontre de toute retenue bouddhiste. Une joie spontanée transparaît de leurs visages et de leurs gestes. Ils écoutent les chansons des groupes Gen Verde et Gen Rosso et acquiescent d’un signe de la tête, heureux des significations qu’ils expriment. J’essaie de traduire les paroles du Saint Père mais je me rends compte qu’ils les comprennent de l’intérieur, au-delà de ce que je leur traduis. ‘’Nous voulons être un signe d’unité et de paix pour le monde entier’’ me disent-ils. Au moment de saluer personnellement le Pape, il y a en eux une sérénité incroyable. Ils lui disent : « Saint Père, nous sommes des moines bouddhistes et nous sommes du focolare : nous avons étudié la spiritualité de l’unité de ‘’maman Chiara’’ et nous voulons la vivre : aimer tous, aimer en premier, aimer tout de suite et avec joie. Nous voulons vivre l’unité comme Chiara nous l’a enseigné, comme l’arc-en-ciel du ciel : des couleurs différentes, mais tous unis. Nous vous offrons cette étoffe thaï afin que vous puissiez vous souvenir de nous’’. Le Pape écoute et consent en souriant. Et en-dehors du programme, un autre ajoute :’’Merci pour ce que vous nous avez dit, mais surtout pour votre manière de vous mouvoir. C’est un signe d’amour et de paix que je porterai toujours avec moi, où que j’aille’’. Un d’entre eux me dira par la suite :’’Un homme si important qui se meut d’une façon si simple et s’assied sur une simple chaise. C’est un choc pour moi. Ce n’est pas par hasard que nous nous sommes rencontrés : cela signifie que nous devons travailler ensemble pour le bien de l’humanité’’ ». Chiara Favotti
Mai 16, 2018 | Focolare Worldwide
Maria Voce, Présidente du Mouvement des Focolari, a conclu ces journées, riches en événements dédiés à la culture de l’unité et de la fraternité, par une rencontre de famille avec la communauté des Focolari de la capitale régionale de la Sicile, en lançant un défi : « Que Palerme devienne capitale de la culture de la Résurrection, capitale au sens de « leader », celle d’où part cette culture de la Résurrection pour envahir le monde entier ». Il y a vingt ans Chiara Lubich recevait la citoyenneté d’honneur de la ville de Palerme. Depuis la communauté a continué sur cette voie en cherchant à actualiser les paroles prononcées par Chiara à cette occasion : « Nous promettons que Palerme restera toujours présente dans nos cœurs, afin que, grâce à l’audace et au courage de ses habitants, elle parvienne à être pour de nombreuses autres villes d’Italie, mais pas seulement, le modèle d’une authentique “ville sur la montagne”». Les initiatives, au sein du programme de « Palerme Capitale de la Culture 2018 », événement promu par la Mairie, ont investi plusieurs domaines: le droit et légalité, le dialogue œcuménique, le monde de la musique et du spectacle avec le Gen Verde, les Workshops, le flash mob et les tables rondes à l’initiative des jeunes. Au Palais des Normands, siège du Parlement Régional, le samedi 11 mai, plus de 120 personnes ont participé au Congrès «Le relationnel et le droit. Le bien relationnel et les biens communs ». Après les interventions de quelques personnalités du monde de la justice (magistrats, avocats, étudiants, enseignants), Maria Voce a conclu les travaux en affirmant que le monde du Droit et de la Justice a « un très grand besoin de personnes qui aient à cœur le grand idéal de l’unité de la famille humaine et qui pour cela s’engagent personnellement à travailler concrètement à l’assainissement des relations, sans peur et sans compromis”.
Au cours de l’après-midi, plus de 300 jeunes ont participé au programme « Identité digitale », une initiative de l’Institut Universitaire Sophia et à « Nous sommes nos choix. Le courage de partir, le courage de rester », en présence de Jesús Morán, coprésident des Focolari, et du maire de la ville, Leoluca Orlando. Les jeunes ont témoigné à propos du choix qui les met souvent en crise : rester en Sicile ou aller tenter sa chance dans d’autres villes ou d’autres Pays? Jesús Morán a encouragé les jeunes, très attentifs, à trouver leur voie en sachant « se donner ». Le choix dépend du lieu où « je peux me donner le plus et où je peux développer le plus mes talents. […] Si je pars ce n’est pas pour fuir, et si je reste je ne peux rester par peur”. Le Maire, M. Orlando, a souligné la difficulté de changer une ville marquée par des années de soumission à des règles de comportements mafieux, mais qui cherche à se racheter à travers un changement culturel. Le dimanche matin 13 mai, moment de famille avec la célébration de la messe, suivie d’une rencontre avec les familles du quartier du centre historique Alberghiera/ Ballarò, agrémentée d’intermèdes artistiques réalisés par les enfants. L’après-midi, 500 personnes, représentant environ 20 Églises chrétiennes, ont participé, au Théâtre Golden, au rassemblement « Ensemble dans la charité, du dialogue à la coopération ». Interventions de l’Archevêque de Palerme, de M. Corrado Lorefice, de Maria Voce, et du Directeur du Bureau régional pour l’œcuménisme, Erina Ferlito. Les témoignages ont mis en valeur l’engagement fermement tenu dans diverses villes de Sicile : qu’il s’agisse de visiter les prisonniers ou bien d’aider les pauvres, les sans-abris, les immigrés. Ensuite, “On the other side”, le concert du Gen Verde avec plus de 800 spectateurs. La veille les jeunes qui avaient participé aux workshops animés par le groupe musical étaient sur scène, puis avaient réalisé un flash mob dans l’une des principales rues de la ville : une expérience bouleversante, qui a enthousiasmé jeunes et adultes, dans l’esprit du message de fraternité que le groupe musical international diffuse dans le monde entier.
Mai 15, 2018 | Focolare Worldwide
Mai 13, 2018 | Focolare Worldwide
Elle vit et travaille dans la province de Gênes, ville du Nord-Ouest, sur une terre ensoleillée, entre la mer et les montagnes juste derrière. Sa fonction ne lui a rien enlevé de sa spontanéité ni de sa simplicité, bien que présidente d’un des consortiums du groupe d’entreprises sociales, avec environ sept cents employés dans le secteur des services sociaux, d’assistance et d’insertion dans le travail des personnes désavantagées, référence régionale de l’AIPEC (Association Italienne d’Entrepreneurs pour une Économie de Communion). Son témoignage a été suivi avec grande attention durant un congrès à l’Ambassade d’Italie près le Saint Siège, le 3 mai dernier, intitulé « Chiara Lubich et l’Économie de Communion » : « Je désirais faire un travail utile pour les autres. A peine diplômée, j’ai gagné un concours public en tant qu’éducatrice pour l’intégration sociale des enfants handicapés. Je me sentais utile, mais c’était un travail à temps partiel avec un contrat à durée déterminée. D’autres filles étaient dans la même situation et avaient le même désir que moi de progresser dans la profession sociale. L’une d’entre nous parla de certaines personnes qui travaillaient depuis quelques années dans une coopérative de la région et s’occupaient de personnes handicapées. La rencontre avec elles a été déterminante : elles ont mis à notre disposition un endroit, elles ont passé du temps avec nous et offert leur expérience. Notre coopérative naît ainsi, d’un don, d’un geste gratuit que nous avons accueilli et auquel nous avons répondu à notre tour. Nous avons compris par la suite que ce geste puisait ses racines dans les valeurs de l’Économie de Communion. Cette expérience de vie, avant même d’être du travail, a marqué et caractérisé le style de notre entreprise ».

© 2018 Il Sentiero di Arianna
C’est ainsi que naît, en 1996, “Le chemin d’Arianna”, une coopérative composée au début de neuf jeunes femmes qui mettent en commun leurs ressources gagnées qui sont réinvesties en formation et développement de l’entreprise. A partir de ce noyau initial, l’entreprise compte aujourd’hui plus de 130 associés, dont 85% sont des femmes. « Plus nous suivions les valeurs de l’économie de communion, plus notre coopérative se développait et devenait une valeur pour la communauté tout entière. Plus nous remplissions les paroles de contenu par le travail, la dignité de la personne, la réciprocité, la formation, l’aide réciproque, et plus nous réussissions à dépasser les périodes critiques qui ne peuvent manquer. La force de capacité des femmes à entreprendre a été déterminante. Chiara Lubich nous indiquait un parcours concret qui nous a donné une possibilité de changement. Sa vision d’un monde plus égal et son idée sur l’économie nous a fascinées ». 
© 2018 Il Sentiero di Arianna
“Le chemin d’Arianna” – explique-t-elle – est une organisation qui donne la possibilité aux femmes d’être actrices. « Ici la nouvelle d’une grossesse est toujours une bonne nouvelle. Nombre d’entre nous ont pu et peuvent encore vivre sereinement leur maternité et le retour au travail. Cependant, même les femmes qui ne sont pas mères sont génératrices de changement et d’innovation, parce qu’elles savent introduire des processus positifs d’amélioration dans l’organisation afin d’harmoniser les temps de travail avec l’attention à leur famille. De fait les nécessités sont nombreuses. Et nous sommes parties justement de celles de nos familles et de la communauté, en proposant des solutions, en construisant des réseaux de relations sociales et économiques avec les organismes, les institutions et les autres entreprises ». En se basant sur cet esprit, le groupe Tassano a contribué à soutenir le développement d’autres entreprises. « L’entreprise la plus forte est celle qui naît comme expression d’un territoire. A travers les réseaux nationaux auxquels nous appartenons comme coopérateurs, nous nous engageons sur des thèmes de développement économique fondé sur des valeurs éthiques, respectueuses de l’homme et de l’environnement. Au moyen de l’AIPEC nous rencontrons des usines et des entrepreneurs qui appartiennent à des secteurs différents, mais qui partagent le même sens des responsabilités sociales. Ensemble nous nous engageons à proposer un modèle économique nouveau : inclusif, solidaire, de développement durable ». Que signifie pour Simona être entrepreneure de l’Économie de Communion ? « Cela veut dire rester toujours soi-même. Accueillant, respectueux, cohérent, attentif à l’utilisation des ressources, lié aux autres et en même temps libre. Une personne est toujours la même, même en des temps et des lieux différents. Cela vaut aussi pour une entreprise ». Chiara Favotti
Mai 8, 2018 | Focolare Worldwide
“Que faisais-tu quand tu avais mon âge ? Quels jeux me conseilles-tu ? ». C’est la question que Luis Francisco, jeune mexicain de dix ans, adresse au Pape François en attendant son arrivée. Comme lui, tous les habitants de la cité pilote internationale font le compte à rebours. Une attente qui a commencé début février lorsque le secrétariat du Pape François a communiqué l’annonce de sa visite, le 10 mai, aux cités pilotes de Nomadelfia et de Loppiano. Dans la première des 24 cités pilotes des Focolari qui sont nées au cours des années, le Pape François viendra voir en personne comment on vit « à l’école du seul Maître », comme lui-même l’a définie. « Surprise et joie profonde », s’était exclamée Maria Voce, la présidente des Focolari, à la nouvelle tout à fait inattendue de cette visite. Ces jours-ci Loppiano regorge de monde. Des visages souriants et rayonnants. Beaucoup de jeunes venus pour le Genfest qui a rassemblé fin avril des centaines de participants venus de toute l’Italie, mais pas seulement, et des milliers le matin du 1er mai, radieux malgré la pluie menaçante. On retrouve partout un air de fête, une attente chargée d’espoir et pleine d’effervescence…comme à l’approche d’un événement qu’on n’oubliera pas de si tôt.
Nous sommes allés, caméra en main, à la rencontre des habitants de Loppiano, tous au travail et vaquant à leurs activités normales, pour saisir l’ambiance. Benedetta se trouve à Loppiano pour sa période de formation à l’école des focolarines. Pour elle la visite du Pape est aussi un cadeau de Dieu, car elle coïncide avec son anniversaire : « Même s’il ne s’arrête que peu de temps, j’espère qu’il pourra rencontrer cette famille que nous cherchons à construire chaque jour ». Depuis 1966 le groupe musical Gen Rosso est basé à Loppiano, né, selon le désir de Chiara Lubich, pour aider à diffuser, à travers la musique, le message d’un monde plus juste, plus pacifique et solidaire. Chacun de ses membres vit personnellement cet esprit, ce qui se traduit par un style de vie tout imprégné de communion et de fraternité. Depuis quelques années Michele Sole a intégré le groupe. C’est lui qui entonnera le chant « Madre dolcissima » (Très douce Mère) sur le parvis du sanctuaire dédié à la Mère de Dieu (Theotokos), où tout est prêt pour cette rencontre historique. Il est en train d’envoyer au Pape un message de remerciement « pour avoir eu le courage de prendre le nom de François. Je pense que cela n’a pas été facile de choisir un prénom qui signifie donner la préférence aux pauvres, aux oubliés ». Pendant ce temps là, de la salle de répétitions fusent les notes de la chanson « Accendi la pace » (déclenche la paix), que les membres du Gen Rosso sont en train de mettre au point avec l’autre groupe musical de Loppiano, le Gen Verde, une formation pluridisciplinaire, composée d’artistes et de musiciens, qui se caractérise par son profil très international.
Roberto Cipollone, Ciro de son nom d’artiste, basé à Loppiano depuis 1977, a le don de mettre son imagination et son talent pour transformer des objets usagés ou des matériaux destinés au rebut en des œuvres qui touchent le cœur et le comble d’émerveillement. « C’est l’artiste qui leur donne une nouvelle vie ». Grâce à son art, il a fait naître une « Boutique », qui exprime son propre talent et son amour pour la nature à travers la sculpture, la peinture, l’artisanat. « Je m’attends à ce que le Pape puisse trouver ici, réalisés, ses désirs les plus cachés ». Aranza, qui vient du Mexique, participe en ce moment à « l’École Loreto », où des familles de divers Pays et langues approfondissent la spiritualité de l’unité. L’internationalité et l’immersion « à plein temps » dans les cours, qui commencent chaque année en septembre pour se terminer en juin, en font une expérience unique d’échanges et d’enrichissement entre les cultures. Elle souhaiterait que le Pape réponde à une question brève, mais engageante : « Que pouvons-nous faire, nous les jeunes, pour vaincre les conditionnements et les stéréotypes imposés par la société ? ». Quant à Natalia, une étudiante brésilienne qui fréquente à Loppiano l’Institut Universitaire Sophia, elle souhaite connaître se sa part le rôle des jeunes couples dans l’Église. Beaucoup de questions, d’interrogations, de souhaits. Mais toujours cette même joyeuse attente! Chiara Favotti
LIVE STREAMING from Loppiano on 10th May at 10.00 (CEST) http://live.focolare.org Vatican Media Live: 08.00 am -12.00
Mai 7, 2018 | Focolare Worldwide
A Loppiano tout est prêt pour l’accueil du Saint-Père. Plus de 6000 personnes s’y rendront depuis l’Italie, mais des milliers seront reliées par streaming dans les cinq continents. Nous avons demandé à Maria Voce, présidente des Focolari, comment se déroulera cette rencontre si attendue. « Nous voulons présenter au Pape – a-t-elle expliqué – cette petite ville, la première qui est née, suivie de 24 autres dans le monde, et qui veut offrir un modèle du vivre ensemble fondé sur les principes évangéliques de solidarité et de fraternité, évidemment unique, mais qui peut s’exporter et en inspirer d’autres. Le Pape ne rencontrera pas seulement les 850 habitants de Loppiano – a poursuivi Maria Voce – mais aussi une représentation de la famille mondiale du Mouvement des Focolari. Nous lui poserons quelques questions sur des sujets qui nous tiennent à cœur : le défi de la fidélité à l’inspiration charismatique de Chiara Lubich au contact des changements de la société vie actuele ; la formation des jeunes à une culture de la fraternité ; le type de vivre ensemble qu’offre Loppiano : sa contribution à l’annonce du message chrétien aujourd’hui et au dépassement des barrières, des nationalismes et des préjugés » Le Mouvement des Focolari est une constellation variée qui met au centre de son action le dialogue et un style de vie qui porte à construire l’unité et la paix dans le monde. Il compte plus de deux millions d’adhérents appartenant à de nombreuses Églises chrétiennes, mais aussi à divers courants religieux, y compris ceux d’inspiration laïque. Il a fait naître environ un millier d’œuvres sociales dans divers Pays, et environ 800 entreprises qui travaillent dans le monde selon les principes de l’Économie de Communion. Créé il y a dix ans, l’Institut Universitaire Sophia a son siège précisément à Loppiano.
Dès son arrivée dans la Cité pilote, le Saint-Père se rendra directement au Sanctuaire Maria Theotókos où il se recueillera pour un bref moment de prière. Il s’arrêtera aussi devant le tableau de la Vierge à l’Enfant, œuvre d’un peintre de religion hindoue, symbole du dialogue qui est l’un des piliers de la vie des habitants de Loppiano. Puis, sur le parvis de l’église, Maria Voce adressera au Pape les salutations des Focolari. Quelques habitants de Loppiano lui poseront ensuite des questions. Le dialogue avec le Saint-Père sera entrecoupé d’intermèdes musicaux exécutés par des artistes de différents pays et divers contextes religieux. A la fin, une trentaine d’habitants salueront personnellement le Pape qui, après la bénédiction, quittera le parvis pour repartir.
Live streaming 10.5.2018, 10.00 – 12.00 (CEST): Vatican Media Live http://live.focolare.org