Du 25 au 30 novembre, trois nations symboles du continent africain seront concernées par le voyage du Pape François : le Kenya, l’Ouganda, la République Centrafricaine. Pour entrer dans les plaies, mais aussi dans les défis et les potentialités d’un continent.
Un centre de «home schooling» dans les villages du nord, du sport pour la paix, workshop d’art, de chants, de danses; des activités dans les slums: des garçons et des filles, des jeunes animés par la spiritualité des Focolari, promoteurs d’un message d’espérance parmi les jeunes de leur âge.
Depuis les soins médicaux à l’habillement, jusqu’à la garantie de l’instruction et donc la possibilité d’un travail honnête : le projet Petite Flamme continue à soutenir la réhabilitation sociale des enfants en situation précaire et de leur famille.
Les Jeunes pour un Monde Uni (JPMU) rendent visible la réciprocité entre les cultures. Au centre « Sharing with Africa » : en direct sur internet, l’ouverture de la SMU, le 1er mai, à 13 heures italiennes.
À Rome, le 21 septembre, les Jeunes pour un Monde Uni ont rencontré Óscar Arias Sánchez, Prix Nobel de la Paix 1987 et ancien président du Costa Rica. Son adhésion au Projet Monde Uni.
La 10ème Ecole pour l’Inculturation s’est achevée à la Mariapolis Piero (Nairobi, Kenya) : 287 participants, jeunes, prêtres et laiques de toutes les zones géographiques du continent africain.
Dans la synagogue orthodoxe moderne Kehillat Yedidya à Jérusalem, une rencontre interreligieuse a rassemblé des jeunes juifs, musulmans et chrétiens. Le rabbin Kronish, avec le nonce apostolique en Israël Mgr Lazzarotto, leur ont souhaité la bienvenue.
1er mai à Jérusalem, en liaison avec Mumbai, Loppiano et Budapest, les Jeunes Pour un Monde Uni concluent l’année du Genfest et lancent les chantiers de la Semaine pour le Monde Uni. Sous le signe de la joie.
De Jérusalem liaisons avec Loppiano (Italie), Mumbai, Budapest.
A Bethléem, 130 jeunes des Focolari, de 25 nations, ont rencontré le maire Vera Baboun ainsi que des jeunes Palestiniens. “Dans une nation blessée par l’absence de fraternité, la règle ‘Fais aux autres ce que tu voudrais que les autres te fassent à toi’ est le vrai changement” a dit Mme Baboun.
