23 Nov 2017 | Non classifié(e)
Au moins 235 personnes ont été tuées et 120 blessées lors d’un grave attentat dans une mosquée , au Nord du Sinaï, où des militants islamistes ont fait exploser une bombe et ouvert le feu sur les fidèles. Ce bilan, encore provisoire, a été transmis par la chaîne officielle d’infos en continu de l’État égyptien Nil News. Le Mouvement des Focolari dénonce toute forme de violence contre l’humanité et exprime sa proximité envers le peuple égyptien, en particulier envers les proches des victimes.
23 Nov 2017 | Non classifié(e)
Ouverture de la Chaire Œcuménique Patriarche Athénagoras-Chiara Lubich à l’Auditorium de Loppiano (Italie) L’Institut Universitaire Sophia est heureux de vous inviter à l’inauguration de la Chaire Œcuménique Patriarche Athénagoras – Chiara Lubich qui sera présidée par son Éminence Gennadios Zervos, Archevêque Orthodoxe d’Italie et de Malte, sous le titre : Le Patriarche Athénagoras et Chiara Lubich, protagonistes de l’Unité. Maria Stella Giannetti: Communication – Relazioni Esterne
23 Nov 2017 | Non classifié(e)
Du 26 novembre au 2 décembre prochains le Pape François fera un voyage apostolique en Asie, avec une étape au Myanmar (Birmanie) du 27 au 30 novembre et au Bangladesh du 30 novembre au 2 décembre. Ce sera la première visite d’un Pape au Myanmar. Quant au Bangladesh, l’un des pays les plus peuplés et les plus pauvres du monde, Jean-Paul II s’y est rendu en 1986.
Le Pape François visitera aussi la ville de Dhaka (capitale du Bangladesh). Au cours de son séjour il rencontrera les plus hautes autorités civiles et politiques, mais aussi les jeunes, les leaders religieux, musulmans et hindous, pour examiner avec eux de grandes questions comme les changements climatiques, les flux migratoires, le sort des réfugiés, l’avenir des jeunes, dans l’optique de l’espérance. Le Mouvement des Focolari accompagne de sa prière cette semaine asiatique bien remplie, sous le signe de l’harmonie et de la paix.
23 Nov 2017 | Focolare Worldwide
180 jeunes du Mouvement des Focolari, qui représentent les jeunes de leur âge dans le monde entier, sont derrière lui. Des visages, des traits physiques très divers. Au premier rang – et ils se présentent – trois jeunes de la Syrie. A côté d’eux Michel, au regard très expressif, vient du Mali. Il a connu les Focolari dans son Pays et dit que depuis sa vie a changé. František, de la République Tchèque et Maria du Portugal expliquent: “Nous venons de plus de 40 Pays. Nous sommes ici, en provenance de tous les continent, pour comprendre qui nous sommes, nous jeunes d’aujourd’hui, et quels sont les défis à relever pour construire une culture de la fraternité ». Derrière eux il y a Amin de l’Algérie et à côté de lui Kioko, bouddhiste. Tous sont au travail pour construire, avec une contribution vraiment « mondiale » le prochain Genfest de Manille (6-8 juillet 2018), le premier d’une longue série à se dérouler en dehors de l’Europe. Pourquoi en Asie, à Manille? Giuseppe, italien, répond : “ L’Asie représente 60% des jeunes du monde, cela signifie donc pour nous regarder vers l’avenir, vers la fraternité universelle. Le titre “Beyond all borders”, par delà les frontières, est l’un des défis les plus grands qui se présente à nous », à partir de nos limites personnelles : préjugés, diversités sociales et culturelles. Un grand défi dans un Pays frappé par une vague de violence endémique, par l’exclusion sociale de nombreuses couches de la population et par une crise politique sans précédent. « Nous voulons faire que ces frontières ne soient pas une façon de nous
diviser mais de nous unir ». C’est la grande idée lancée en 1987 par Chiara Lubich et qu’elle laisse en héritage aux nouvelles générations. La fondatrice des Focolari, devant un plateau de jeunes, explique alors pour quoi le Genfest est né : « C’est une explosion de feux de l’amour de Dieu, non pas des feux d’artifice, mais de vrais feux ». L’objectif de l’Ut omnes (« Père, que tous soient un » Jn, XVII, 20-23) s’approche. Jésus nous entraîne, laissant en arrière tout ce qui ne va pas, comme un ruisseau fraîchement né qui laisse de côté tout ce que sa limpidité ne peut pas emporter ». Et d’ajouter : « Vous verrez les miracles de la Grâce de Dieu, parce que Dieu est avec nous, Dieu est au milieu de nous. C’est l’unique tout-puissant ». Parmi les jeunes de l’époque se trouve aussi Maria Voce, l’actuelle presidente des Focolari. « Je voudrais adresser un grand merci aux jeunes ». Le leur – affirme-t-elle – est un grand acte de courage, « qui me semble être la réponse d’aujourd’hui à l’appel lancé par Chiara dès les années 60 « Jeunes du monde entier, unissez-vous ! ». Cet appel résonne encore à notre époque, non seulement pour vous, mais pour tous. L’objectif du monde uni n’est pas encore atteint. La première génération ne pouvait pas le réaliser seule. Pas plus que ne le pourra la deuxième toute seule, car l’objectif est très grand. L’idée du monde uni doit se transmettre d’une génération à l’autre et, toutes unies ensemble, elles peuvent chercher à l’accomplir ».
Et d’ajouter : « Le Genfest ne concerne pas seulement les jeunes, mais tout le monde. C’est pourquoi je veux m’y rendre et j’espère que nous serons nombreux ». Chacun peut faire quelque chose : « L’un dira : mais je suis malade, je ne réussis pas… qu’il offre sa souffrance ! Mettons-nous en mouvement. On peut aider les jeunes à l’accueil, à la préparation du programme, au financement du voyage de jeunes qui ne pourraient pas s’y rendre. Faisons toute notre part, tout ce qu’il faut. Le Genfest c’est mon affaire, c’est l’affaire de chacun !” Juste avant la fin de cette téléconférence, une jeune des Philippines laisse à tous une triple tâche : « La première : organiser le Genfest localement. La seconde : faire une action concrète, pour aider au moins un jeune à venir à Manille, et la troisième : se procurer le tee-shirt avec notre logo ». Tous les renseignements sur sito dei Giovani per un mondo unito, un code qu’il faut désormais apprendre par cœur: Y4UW.
22 Nov 2017 | Non classifié(e)
‘’Quel futur aurai-je comme jeune dans ma région ?’’Le cri de Nasreen, jeune palestinien, tombe dans le cœur des autres jeunes présents, dans le silence profond d’une écoute qui veut apaiser ses blessures encore ouvertes depuis des années de guerre et d’instabilité sociale. Emina avait sept ans lorsque la guerre a éclaté à Sarajevo. Sa vie a changé en quelques instants, mais son envie de grandir et de réagir a été plus forte. Et Albert de l’Espagne : « Ma vie a changé à partir du moment où je suis allé en Jordanie pour faire une expérience dans les camps de réfugiés. Je ne suis plus le même ». Ce sont des jeunes décidés à relever tous les défis afin de construire, à partir de leur propre vie, un tissu social de paix.
Trente-deux sont les participants au projet ‘’Host Spot’’, littéralement ‘’Point d’accueil’’, qui s’est tenu du 28 octobre au 2 novembre 2017 à Alexandrie en Égypte, organisé par différentes ONG et Associations parmi lesquelles New Humanity, Non de la Guerre, Caritas Jordan, Fondation Igino Giordani (Espagne), B-Net, Centre Culturel Jésuites (Alexandrie), Focolari Trust Irlande, VACA (Palestine) et Starkmacher (Allemagne). Partis de l’expérience de se retrouver dans un camp de réfugiés en Jordanie en août 2016, les jeunes ont poursuivi leur parcours avec deux autres rendez-vous, en Allemagne, où ils ont approfondi quelques techniques de communication et enfin, dernière étape, en Égypte.
Les jeunes, issus de la Hongrie, la Bosnie, la Palestine, l’Égypte, l’Espagne, l’Irlande l’Italie et la Jordanie, ont passé dix jours ensemble en concluant ce projet original, organisé par la Communauté Européenne, afin de créer des liens, lancer des ponts entre le monde associatif juvénile sur des thèmes qui ont comme but le fait de poursuivre la valeur de la paix. Par le biais de workshops, leçons sur la question du Moyen Orient, sur le dialogue entre les différentes cultures et sur l’importance des médias dans la communication des thèmes de la migration, dans un monde où un réfugié sur deux est un enfant, les protagonistes de cette édition de Host Spot ont entrepris un cheminement bien décidés à diffuser une culture de la paix, surtout avec un parcours de formations sur les problématiques actuelles et des séminaires d’informations sur les mécanismes qui règlent le monde des médias. Une expérience qui a vu les jeunes protagonistes tirer les conclusions des activités déjà entreprises et voir ensemble comment poursuivre avec décision, cette précieuse collaboration entre les associations développant des projets et en mettant en chantier de nouvelles synergies.