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Christian Kewitsch, focolarino, chef d’orchestre dans une école à Hambourg. Le choix de Dieu vécu dans la vie professionnelle et l’art comme voie privilégiée pour témoigner et transmettre les valeurs évangéliques.

S’engager à mettre en pratique l’Évangile aide à percevoir la présence de Dieu derrière les visages des laissés-pour-compte, des personnes seules et marginales.

Vivre la Parole de Dieu provoque un changement de mentalité, quelque soit la latitude où l’on se trouve. Voici quelques expériences qui nous parviennent de trois pays.

Même en situations difficiles, en mettant en pratique les paroles de l’évangile, on peut faire naître dans le milieu de travail une culture de paix et de respect des droits, spécialement chez les plus petits.

Le récit d’Igino Giordani de la “découverte” de Chiara Lubich de l’abandon de Jésus, sommet de l’amour. Il deviendra un point clé de la spiritualité de l’unité. C’était le 24 janvier 1944.

La première focolarine anglicane se souvient de sa rencontre avec l’idéal de l’unité, dans les années 60 quand l’œcuménisme en était encore à ses premiers pas.

à Man, la communauté des Focolari de la Mariapolis Victoria s’engage à apporter une aide matérielle et spirituelle dans les banlieues.

Le récit d’une famille libanaise qui, malgré la possibilité de fuir vers des terres plus sures, a choisi de rester dans son pays pour soutenir ses compatriotes et transmettre l’espérance.

Amoureux de la paix, antifasciste, bibliothécaire, marié et père de quatre enfants. Ecrivain et journaliste, pionnier de l’œcuménisme et de l’engagement des chrétiens en politique, élu à l’Assemblée Constituante. Considéré par Chiara Lubich cofondateur du mouvement des Focolari.