Mouvement des Focolari

C’en est assez des armes nucléaires

Sep 26, 2018

La journée internationale promue par l’ONU en 2013 rappelle la nécessité d’une élimination totale des armes nucléaires, un objectif majeur pour la paix et la sécurité. En effet, les bombes atomiques continuent à représenter une menace inacceptable pour la population mondiale. La date choisie par l’ONU rappelle la nuit du 26 septembre 1983 où le […]

La journée internationale promue par l’ONU en 2013 rappelle la nécessité d’une élimination totale des armes nucléaires, un objectif majeur pour la paix et la sécurité. En effet, les bombes atomiques continuent à représenter une menace inacceptable pour la population mondiale. La date choisie par l’ONU rappelle la nuit du 26 septembre 1983 où le colonel soviétique Stanislav Petrov décida, à juste titre, de considérer comme une erreur les alertes de missiles en provenance des États-Unis apparues sur les écrans, et cela malgré l’avis contraire des techniciens. Petrov choisit, dans un laps de temps record, de ne pas exécuter la procédure qui aurait conduit l’Union Soviétique à riposter avec le lancement de ses propres bombardiers atomiques. L’homme qui a sauvé le monde d’un véritable holocauste nucléaire est mort dans le plus total anonymat, en 2017, dans une petite ville proche de Moscou.  

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

S'abonner à la lettre d'information

Mot du jour

Articles connexes

Nostra Aetate : le dialogue interreligieux comme style de vie

Nostra Aetate : le dialogue interreligieux comme style de vie

Le 28 octobre 2025, l’événement commémoratif intitulé « Marcher ensemble dans l’espérance » s’est déroulé au Vatican, dans la salle Paul VI, à l’occasion du 60e anniversaire de la Déclaration Conciliaire Nostra Aetate sur les relations de l’Église avec les autres religions.

Assise appelle les bénévoles

Assise appelle les bénévoles

Une expérience d’immersion et de communion entre charismes pour notre maison commune. Le témoignage de Cristina Calvo.