C’est le chemin vers les prochaines Journées mondiales de la jeunesse en 2023. Récit d’une jeune femme du mouvement des Focolari qui travaille à la réalisation de l’événement. Les prochaines Journées mondiales de la jeunesse auront lieu à Lisbonne, capitale du Portugal, en 2023, sur le thème « Marie partit en hâte » (Lc 1, 39). La pandémie laisse des questions ouvertes, mais les travaux préparatoires avancent depuis un certain temps. Mariana Vaz Pato, une jeune femme du mouvement des Focolari, fait partie de l’équipe locale qui travaille à la réalisation de l’événement.

la croix des JMJ
Où en sont les préparatifs de l’événement ? Combien de jeunes sont attendus ? « Compte tenu des circonstances, il est difficile de faire des prédictions. En octobre, le logo a été lancé, en novembre il y a eu une cérémonie pour présenter le symbole et récemment l’hymne a été créé. Un itinéraire de catéchèse a également été élaboré pour que les JMJ ne soient pas seulement un événement mais un parcours vivant d’approfondissement de la foi. Nous ne savons pas à quoi le monde ressemblera en 2023, mais les équipes travaillent pour faire de cet événement un moment décisif dans la vie des jeunes et pour le renouveau de l’Église et de la société ». Certains jeunes du mouvement des Focolari sont impliqués dans ce travail préparatoire… « L’Église s’organise en comités qui préparent le programme et s’occupent des aspects logistiques. En tant que Mouvement, nous sommes présents dans ces comités avec des jeunes, des focolarini, des couples et des personnes engagées dans le mouvement paroissial par des tâches diverses : de la pastorale des jeunes à la communication avec les communautés locales et le mouvement paroissial au Portugal, et puis la communication avec la zone de l’Europe occidentale et avec les centres des jeunes du Mouvement. Cette expérience est un défi, avec tous les imprévus de notre époque, mais c’est aussi une joie de découvrir la contribution que nous pouvons donner en tant que Mouvement et, surtout, de pouvoir faire ce chemin ensemble avec l’Église ». Claudia Di Lorenzi




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