Mouvement des Focolari

La fraternité dans le social

Nov 15, 2010

Congrès annuel des responsables des « volontaires de Dieu » et du mouvement « Humanité Nouvelle » à Castel Gandolfo

Les « volontaires », principaux animateurs du mouvement Humanité Nouvelle (la branche sociale des Focolari), sont des hommes et des femmes qui s’engagent en première ligne à mettre en actes les paroles de l’Évangile dans les environnements sociaux, culturels, économiques et politiques les plus divers, afin d’apporter des réponses concrètes aux défis posés par la société d’aujourd’hui.

Leurs initiatives sont très variées : elles recouvrent l’engagement quotidien de chacun sur son lieu de travail, en famille ou à l’école, les différentes formes d’association et de volontariat, jusqu’aux grandes actions qui mobilisent des communautés entières, visant à améliorer la vie dans nos villes et le tissu civil de la société.

Du 18 au 21 novembre, les cinq cents participants venus du monde entier auront l’occasion d’approfondir des aspects particuliers de la spiritualité de l’unité, avant d’engager un dialogue fécond sur la façon de « décliner » les valeurs proposées par l’idéal de la fraternité dans l’action sociale.

Les moments d’approfondissement culturel, comme celui qui tournera autour de l’actualité de la doctrine sociale de l’Église, et les témoignages vécus dans différentes parties du monde, ne manqueront pas.

Le moment le plus important du congrès sera le dialogue avec Maria Voce, prévu pour le vendredi 19 novembre. La présidente des Focolari, qui répondra à plusieurs questions, proposera un regard particulier sur l’actualité de l’action sociale du mouvement, afin de définir les priorités d’action aux quatre coins de la planète.

___

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

S'abonner à la lettre d'information

Mot du jour

Articles connexes

Fratellanza

Fratellanza

La fraternité, le fait d’être fils d’un même Père, peut être la racine de tout pacifisme. Dans cet extrait du livre « Révolte catholique », Igino Giordani écrit presque une invocation, un appel poétique qui nous oblige à lever la tête et à ouvrir les yeux sur l’identité de notre frère, ce frère qui peut être qualifié d’ennemi, d’étranger, de migrant, mais qui est toujours un frère. C’est un appel qui, écrit en 1925, peut toucher nos cordes les plus profondes et nous mettre au défi d’être des bâtisseurs de paix.

Chrétiens protagonistes du dialogue

Chrétiens protagonistes du dialogue

Le 29 juin est la fête des saints Pierre et Paul et est une date importante dans la sphère œcuménique. À cette occasion, nous publions quelques entretiens avec des chrétiens de différentes Églises.

Cette malédiction de la guerre

Cette malédiction de la guerre

« J’ai vu l’absurdité, la stupidité et surtout le péché de la guerre… ». Igino Giordani, dans ses mémoires, réfléchit à la terrible période de la Première Guerre mondiale, dans laquelle il a lui-même été enrôlé. La « boucherie inutile », comme l’a appelée Benoît XV. Ses paroles nous font réfléchir à la manière dont l’histoire pourrait nous apprendre à travailler pour la paix aujourd’hui, en luttant contre les nouveaux massacres absurdes et inutiles de notre siècle.