Jan 1, 2019 | Non classifié(e)
Nous publions l’interview faite à la Présidente du Mouvement des Focolari et publiée dans le numéro de janvier du bimestrielle ‘’Neue Stadt’’. 1) ‘’Qu’est-ce qui te fait rire de bon cœur ?’’ Emmaus : Quand je fais une gaffe ou l’autre. Par exemple, je me promène, je ne vois pas une petite marche et je m’affale par terre. J’ai difficile à me relever parce que je ris vraiment de bon cœur ! 2) ‘’Qu’est-ce qui te met en colère ?’’ Emmaus : Je ne sens pas la colère monter en moi. Au maximum, je sens que cela me déplaît, soit pour une parole qu’on m’a dite, ou soit pour quelque chose qui a pu me déranger. 3) ‘’Quelle a été l’expérience la plus importante de ta vie ?’’ Emmaus : La rencontre avec un groupe de jeunes : ils m’ont fascinée, par leur manière d’être unis et par leur témoignage cohérent du christianisme qu’ils vivaient en aimant et au service de tous, sans jamais juger personne. J’ai ainsi été amenée à faire la connaissance des Focolari : ma vie a réellement changé à partir du moment où j’ai vraiment écouté quelqu’un en pensant que cette personne était un de mes frères, que Jésus était présent en lui. 4) ‘’Quels sont tes points faibles ?’’ Emmaus : La curiosité : Lorsque j’entends deux personnes parler sur le pas de ma porte, je ne peux m’empêcher de tendre l’oreille. C’est chaque fois un pas que de décider de la mettre de côté, ma curiosité ! 5) ‘’Quels sont tes points forts ?’’ Emmaus : L’optimisme et la confiance. Je mets ma confiance en Dieu et aussi dans les autres, même si je ne les connais pas, même si je me rends compte à un moment donné d’avoir mal placé ma confiance. Et j’ai aussi un contact facile avec les autres. 6) ‘’Quel est ton lieu préféré ?’’ Emmaus : J’aime le monde entier. Mais ensuite, comme lieu préféré, je pense à une maison confortable, où il y a d’autres personnes avec moi, avec lesquelles je peux avoir une réelle communion, profonde. Et si possible dans un endroit chaud, avec le soleil ; à la mer! Cette maison, je la vois en ville car je suis une personne sociable. 7) ‘’Qu’est-ce qui te redonne des forces ?’’ Emmaus : Une bonne nuit de sommeil après avoir bien vécu le moment présent et avoir confié les préoccupations au Père Éternel. 8) ‘’Qu’est-ce qui te donne des préoccupations ?’’ Emmaus : Tout ce qui concerne les conflits, les oppositions : les guerres, une dispute en famille, des problèmes non résolus. Bien souvent, je ne peux rien y faire, mais si je peux faire quelque chose, j’essaie de trouver une solution ou d’aider les autres à la trouver. 9) ‘’Qu’est-ce qui te tient à cœur dans le fait de guider le Mouvement des Focolari ?’’ Emmaus : Que le Mouvement soit un authentique témoignage du charisme de l’unité. Il y a des groupes en beaucoup d’endroits sur la planète qui en ce moment sont en train de le vivre. Cela me donne la tranquillité, la sécurité. Car de ceux-ci naîtront de nouvelles idées, de nouvelles formes d’incarnation. Ils portent de l’avant le charisme de l’unité jusqu’à rejoindre le but pour lequel Jésus a prié :’’ Père, que tous soient une seule chose’’.
Déc 31, 2018 | Non classifié(e)
A l’occasion de la 52ème Journée Mondiale de la Paix, et pour soutenir le message du Pape “La bonne politique est au service de la paix”, nous proposons un extrait de Chiara Lubich de 2002: elle intervient au Colisée (Rome), lors d’une rencontre avec les Juniors pour l’unité du Mouvement des Focolari. Quelle est la clé de la promotion de la paix? Vivre la Règle d’or pour construire une fraternité universelle. https://vimeo.com/148631350 […] La paix. Est-ce d’actualité aujourd’hui ? Oui, tout à fait, et sans doute plus que jamais. En effet, des dizaines de guerres sont en cours sur notre planète, mais il y a plus grave : la paix est menacée de façon plus sournoise qu’avant. […] La situation est donc grave. Dans de telles conditions, les forces humaines ne peuvent suffire à affronter un si grave danger. Il y faut les forces du Bien avec un B majuscule. Or le Bien – vous le savez tous – c’est Dieu lui-même ainsi que tout ce qui prend sa source en Lui : c’est la sphère spirituelle, ce sont les grandes valeurs, l’amour vrai, la prière. […] Mais la paix est aujourd’hui un bien si précieux que nous devons tous, jeunes et adultes – que nous ayons des postes de responsabilité ou soyons de simples citoyens – nous engager à la sauvegarder […] Naturellement, pour savoir comment nous comporter, il faut connaître à fond les causes profondes de la dramatique situation actuelle. Vous savez que la Justice ne règne pas vraiment dans notre monde où des pays riches en côtoient d’autres très pauvres. Dieu a sur l’humanité un projet bien différent : Il désire que tous soient frères, qu’ils soient une seule grande famille autour d’un seul Père. […] Comment rétablir l’égalité, comment susciter une certaine communion des biens ? Les biens ne circulent pas tant que les coeurs ne sont pas mis en branle. Il faut répandre l’amour, l’amour réciproque qui engendre la fraternité. Il faut envahir le monde d’amour ! Et commencer par l’exiger de nous-mêmes. Vous aussi, juniors. Quelques-uns d’entre vous pourraient me demander : l’amour, le fait de nous aimer, estce dans la ligne de ce que nos cultures religieuses nous ont transmis ? Oui, tout à fait. Si vous cherchez dans vos Livres Saints, vous y trouverez certainement ce que l’on appelle la « Règle d’or ». Dans le christianisme, elle s’énonce ainsi : « Fais aux autres ce que tu voudrais qu’on te fasse » (cf. Lc 6,31). Dans le judaïsme : « Ce que tu n’aimes pas, ne le fais à personne » (Tb 4,15). Dans l’Islam : « Aucun de vous n’aura vraiment la foi s’il ne désire pour son prochain ce qu’il désire pour lui-même. »3. Dans l’hindouisme : « Ne fais pas aux autres ce qui te causerait de la souffrance si on te le faisait »4. En d’autres termes, ces phrases veulent toutes dire : respecte et aime ton prochain. Et toi, junior musulman, aime ; et toi, chrétien, aime ; et toi, hindou, aime et vous parviendrez certainement à vous aimer réciproquement. Et étendez cet amour au plus grand nombre. C’est ainsi que se composera une portion de fraternité universelle. […] Aimer : c’est le secret, l’un des secrets de la paix aujourd’hui. Mais il faut aimer d’un amour d’une certaine qualité. Il ne s’agit pas de l’amour qui se limite à la famille ou aux amis, mais d’un amour qui s’adresse à tous, sympathiques ou antipathiques, pauvres ou riches, petits ou grands, compatriotes ou pas, amis ou ennemis. Bref, tous. C’est également un amour qui aime en premier, en prenant l’initiative, sans attendre d’être aimés. Et c’est un amour qui ne s’exprime pas seulement par des mots, mais concrètement, par des faits ; et c’est un amour réciproque. […] Si vous agissez ainsi, si nous agissons tous ainsi, la fraternité universelle s’élargira, la solidarité grandira, les biens seront mieux distribués et un arc-en-ciel de paix resplendira dans le monde, ce monde qui, d’ici quelques années, sera entre vos mains. Chiara Lubich (TÉLÉRÉUNION CH – 5 décembre 2015)
Déc 31, 2018 | Non classifié(e)
Perdre son travail à l’âge de 53 ans, en ayant trois enfants à charge, pouvait mettre à l’épreuve n’importe qui. Mirco ne s’est pas découragé, il s’est remis aux études et a donné vie à un projet basé sur la danse comme moyen d’unir les personnes et favoriser l’échange des émotions. « Quelqu’un m’a dit :’’Pourquoi ne fais-tu pas un travail de ta passion ?’’. Le défi a commencé ainsi, tout sauf simple : me construire une nouvelle identité en tant que travailleur ». Mirco Castello, né en 1955, aujourd’hui Art Counselor, après la perte du travail (« un bon travail dans le monde du textile et de l’habillement ») et de la mise au chômage, en 2008, il a commencé à faire les comptes d’un budget familial toujours plus précaire. « J’ai essayé d’écouter les conseils qui m’étaient donnés, mais surtout une ‘’voix’’ intérieure qui me suggérait de m’y remettre, depuis de nombreuses années, je pratiquais le mime, j’étais acteur et danseur par passion. J’ai essayé de transformer cette passion en un service rendu aux autres, en particulier, aux enfants. J’ai commencé avec un projet de danse à l’école maternelle et primaire, pour jouer avec la danse et la musique ». La danse – explique une psychologue de l’enfance – a le pouvoir de retrouver une nouvelle harmonie. Mais elle ne suffit pas : pour travailler avec les institutions, une qualification s’impose et donc, Mirco se remet à étudier, il se met au courant des nouveautés dans ce domaine, il obtient un diplôme en Art Counselor et un master en médiation familiale. Il contacte les écoles publiques et privées d’Italie, ouvre un site (www.ledanzedimirco.it), dans lequel il propose des stages pour les enseignants et des rencontres avec les enfants. « Depuis 2008, avec ma famille, nous vivons ‘’à la limite’’, en espérant toujours qu’une dépense imprévue ne nous tombe pas dessus. Mais je peux dire que rien ne nous a jamais manqué. En profonde unité avec ma femme et avec les amis de la communauté des Focolari à laquelle j’adhère et qui me soutiennent, je me suis fié à Dieu. Lui me montre les pas à faire et avec mon travail, je peux témoigner qu’Il m’aime et ne m’abandonne pas. Je le considère comme mon nouvel employeur ». Actuellement, Mirco mène un projet qui implique deux mille enfants par an, non seulement en Italie mais aussi en Europe : « Avec la musique, je joue avec les enfants et je me rends tout de suite compte de leurs gênes. Combien souffrent-ils, les enfants d’aujourd’hui! Il leur manque les valeurs, les règles, l’autonomie, ou vivent des situations de séparation ou de conflit entre les parents ». Avec sa femme, Mirco porte de l’avant aussi un projet pour les adultes. « Nous parlons de franchise, de confiance en soi, de compréhension, de pardon ». « Et tu connais la chose la plus belle ? Cela fait dix ans que nous n’allons plus en vacances parce qu’on ne peut pas se le permettre et maintenant, on nous a offert un voyage au Kenya en janvier, pour rencontrer des enfants de deux écoles et d’un orphelinat et un autre en Russie. Comment ne pas percevoir dans tout cela, l’amour de mon nouvel employeur ? ».
Chiara Favotti
Déc 29, 2018 | Non classifié(e)
Cette année encore, à l’approche de Noël, les enfants du Mouvement des Focolari prennent au sérieux et invitent à accueillir Jésus dans les personnes en difficulté
À Noël, en 2017, le Pape François nous adressait cette invitation : “Ne fermons pas nos cœurs comme le furent les maisons de Bethleem1 “. Prenant au sérieux l’invitation du Pape, avec l’aide de leurs assistants, parents, enseignants, camarades de classe, l’action “Ils ont délogé Jésus” (HSG) s’oriente vers le soutien de projets d’accueil pour aider ceux qui ne sont pas accueillis et souffrent de l’absence de paix, de justice, de foyer, ou bien sont contraints de quitter leur terre. Dans ce “cadre” unique de l’accueil, de petits ateliers sont mis en place pour confectionner les statuettes de l’Enfant Jésus à offrir dans les rues, sur les places, dans les lieux les plus divers, et dire à tous que le vrai sens de Noël est Jésus qui est né pour chaque homme, aujourd’hui comme hier, et qui attend que nous l’accueillions en tous ceux qui en ont besoin. L’action HSG menée par les enfants apporte avec elle les valeurs profondes de Noël : le don de soi, la gratitude, l’amour désintéressé, la générosité. Elle renforce indirectement ces valeurs aussi chez les adultes, dans les familles. Elle promeut les compétences manuelles, créatives, imaginatives, de collaboration, de programmation et d’expression par la création de statuettes. Elle développe chez les enfants une citoyenneté active, la solidarité, la fraternité, de même que par la collecte de fonds visant à apporter des réponses concrètes aux besoins d’autres enfants dans différentes parties du monde. Elle stimule le désir de donner. De nombreuses personnes en effet laissent spontanément une obole pour soutenir ces initiatives. Nombreuses sont les expériences racontées par des adultes qui reçoivent le message de ces enfants qui, avec amour, aimeraient trouver un foyer pour Jésus, au moins pendant Noël. “Entrer dans un supermarché et être accueilli par des enfants si souriants qui t’offrent l’Enfant Jésus, c’est bouleversant”, s’exclame un homme de Florence. “Nous pensons pouvoir tout trouver dans un supermarché, mais je n’aurais jamais pensé que je pourrais rentrer chez moi en emmenant Jésus avec moi !”.
Rosi Bertolassi
Déc 28, 2018 | Non classifié(e)
Cette revue trimestrielle s’adresse à ceux qui œuvrent à différents niveaux dans le milieu ecclésial. « Des chemins de communion et de dialogue » est le sous-titre qui indique le style caractéristique des contenus. Née de la synergie entre le mouvement des Focolari et le groupe d’édition Città Nuova, cette revue sur papier et digitale, sort son premier numéro en italien et comportera prochainement quelques articles en anglais. Dans le futur naîtront des éditions en d’autres langues. Elle se propose d’être un instrument de formation, une aide dans la mise en pratique et une source d’inspiration dans la recherche d’orientations et de langages pour partager l’Évangile avec les femmes et les hommes de notre temps. Comme elle s’adresse à des opérateurs et animateurs de la pastorale, à des membres de familles charismatiques (consacrés/es et laïcs/ques), à des personnes engagées dans les paroisses ou les diocèses, dans des mouvements d’Église ou de tiers ordre, elle ouvrira aussi des espaces aux relations entre les Églises et entre les religions, à la rencontre entre personnes de convictions et de cultures différentes, au renouvellement des Églises et de la société. Chaque numéro se focalisera sur un thème particulier. « L’expression grecque ekklesia veut dire ‘assemblée’, des personnes appelées à être ensemble les acteurs d’un peuple en marche – comme on peut le lire dans l’éditorial du premier numéro – Sentieri, comme l’indique le sou-titre qui dit le caractère expérimental et au niveau de laboratoire du projet ; communion et dialogue indique la direction qu’elle prend mais aussi son style : nous voudrions que les revues, papier et digitale, dans les différentes langues où elles seront réalisées, puissent exprimer et servir une communauté. » Parmi les signatures se trouvent celles du théologien Piero Coda, de Vincenzo Zani (Secrétaire de la Congrégation pour l’Éducation Catholique), de Tiziana Longhitano sfp, du cardinal Giuseppe Petrocchi (archevêque de L’Aquila), de l’exégète Gerard Rossé, de Brendan Leahy (évêque de Limerick, Irlande), de Jesús Morán (co-président du Mouvement des Focolari), de l’expert en vie consacrée Fabio Ciardi omi, de Susana Nuin, colombienne, experte en communication, du théologien anglican Callan Slipper, du théologien évangélique Stefan Tobler. Informations et abonnements : www.cittanuova.it E-mail: ekklesia(a)cittanuova.it – abbonamenti(a)cittanuova.it
Déc 27, 2018 | Non classifié(e)
Vingt-cinq ans de présence des Focolari en Albanie “Nous qui avons suivi l’évolution du Mouvement dans le monde et en Albanie, nous avons noté la réponse concrète des Focolari aux besoins des albanais, à notre exigence d’unité”. Ce sont les propos de Donika Omari, publiciste et traductrice albanaise, sans convictions religieuses, à l’occasion du 25ème anniversaire de l’arrivée de la spiritualité de l’unité dans le “Pays des aigles”. L’Albanie, une terre qui souffre encore de divisions sociales, régionales, idéologiques et religieuses: dans ce Pays vivent des musulmans, avec la présence de la confrérie religieuse soufie des bektashi; des chrétiens, surtout des catholiques et des orthodoxes, et de nombreuses personnes qui ne se reconnaissent dans aucun credo religieux. “Le message d’unité de Chiara Lubich qui dépasse toutes sortes de divisions entre les personnes – poursuit Donika Omari – a été salutaire pour notre terre”.
Le premier focolarino à arriver en terre albanaise fut Gigi Franco: en 1991, il est accueilli par une famille à Durrës. Puis ce fut l’arrivée d’un deuxième focolarino, l’ouverture d’un focolare masculin à Tirana et, quelques années plus tard, celle du focolare féminin. Depuis s’est constituée une communauté composée aujourd’hui de chrétiens, de musulmans et de personnes de convictions non religieuses. “L’esprit qui consiste à “se faire un avec son prochain”, la fraternité entre personnes sans distinction de catégories sociales, races, nationalités, idéologies – explique encore Donika Omari – sont des messages qui m’ont attirée dès les débuts de ce Mouvement. Notre Pays en éprouve un grand besoin: des bouleversements anciens et récents y ont entravé la normalisation des relations humaines”. Nous avons aussi connu des moments très douloureux, comme la guerre du Kosovo en 1999. A cette époque l’ensemble du Mouvement dans le monde s’est mobilisé pour recueillir des aides, pour contribuer à l’accueil de plus de 500 000 réfugiés et intervenir, après la guerre, pour la reconstruction. A l’occasion de ces 25 ans de présence des Focolari, un événement public a eu lieu à Tirana, dans l’Aula Magna de l’université catholique “Notre Dame du Bon Conseil”. La traduction albanaise du livre “Una via nuova”(Une voie nouvelle), de Chiara Lubich, a également été présentée. Deux cents participants, avec des représentants du Kosovo et de la Macédoine. Étaient présents le Nonce Apostolique Mgr Charles Brown, l’archevêque de l’Église Catholique Mgr Frendo, l’évêque Asti Bakallbashi de la Cathédrale orthodoxe de Tirana, le Professeur Shehu, musulman, professeur de Pédagogie à l’Université de Skopje. “Cet anniversaire s’inscrit sous le signe de la continuité et du développement – précise Livio Brianza qui a vécu douze ans au focolare de Tirana –. J’ai la joie de voir, malgré la présence envahissante de la consommation et la crainte d’un avenir incertain qui pousse de nombreux albanais à envisager de s’expatrier, l’attachement, y compris chez les plus jeunes, aux valeurs familiales et sociales de la société albanaise”. La Présidente des Focolari, Maria Voce, a envoyé un message dans lequel elle exprime ce souhait à la communauté albanaise des Focolari: “ Nourris et fortifiés par un amour réciproque continuel, puissiez-vous contribuer, avec un engagement toujours plus grand, à faire en sorte que vos villes resplendissent comme l’or, grâce à la présence toujours plus intense parmi vous de l’amour des Amours”. “Il y a 25 ans je voulais changer le monde – dit Madi Roco, albanaise, experte en conseil juridique en matière de législation environnementale – j’étais sûre que je verrais le monde uni de mes propres yeux. Ce même rêve m’habite encore, avec toute sa force et toute sa lumière.Voir la “famille” des Focolari grandie et unie m’a donné le courage d’aller de l’avant”.
Cristina Tomelleri