Avr 4, 2015 | Non classifié(e)

“ Lumière de Pâques… Je souhaite que nous ayons tous un regard,
Capable de scruter
La mort jusqu’à voir la vie,
La faute jusqu’à voir le pardon,
La séparation jusqu’à voir l’unité,
Les blessures jusqu’à voir la gloire,
L’homme jusqu’à voir Dieu,
Dieu jusqu’à voir l’homme,
Notre Moi jusqu’à voir l’Autre.
Et de surcroît, la force généreuse de Pâques ! »
(Pâques 1993)
Klaus Hemmerle, La luce dentro le cose (La lumière au-dedans des choses)
Città Nuova, Roma 1998 p. 110.
Avr 2, 2015 | Non classifié(e)

Avr 1, 2015 | Non classifié(e)
« Dans la liturgie pascale, on remercie Dieu pour avoir fait resplendir « en pleine lumière, Christ, qui, après avoir sauvé les hommes avec son mystère pascal, remplit l’Église d’Esprit Saint et l’enrichit admirablement de dons célestes », parmi lesquels le sacerdoce royal conféré à tous les fidèles. L’Église donc est sainte, car pleine d’Esprit Saint ; c’est le corps du Christ qui est la sainteté totale. Christ l’a instituée pour continuer avec elle à racheter et il en a fait l’instrument de libération du mal et de l’attraction au bien. L’Évangile réalisé, l’humanité récupérée, la vie avec Dieu en unité éternelle, la grâce communiquée d’une façon ininterrompue : voilà l’Église.
Et l’Église, c’est nous, coéquipiers, avec les sacrements et la doctrine, autour du pape et des évêques composant un corps social, dont les artères portent le sang du Christ, dont l’âme est l’Esprit Saint, origine de sanctification. Ainsi l’Église est la digne chambre de la Trinité sur terre. Manzoni l’appelle « mère des saints, image de la ville éternelle ».
Sa tâche est notre sanctification. Et le mystère pascal résume le but pour lequel nous sommes sur cette planète et le but pour lequel il est descendu sur cette planète, à être crucifié, lui, le Fils de Dieu ».
Giordani continue en soulignant combien l’homme a soif de sainteté et de vérité et refuse de traîner une existence insignifiante et sans couleur : il veut vivre et non se languir. C’est pour cette raison que nous nous trompons si nous proposons un christianisme illuminé, ambigu, en se faisant des illusions d’attirer ainsi les personnes.
« Ce fait de dire et de ne pas dire génère un ”no man’s land”, une zone désertique.
Ce n’est pas un service au Seigneur, dont la parole fut toujours explicite ; cela ne sert pas à Dieu et provoque le dégoût de ceux-là mêmes auxquels on pense rendre l’idée religieuse plus appétissante .
Celui qui a rendu la vérité plus molle, celui qui a camouflé la croix avec des décorations, a soustrait au peuple la beauté et la puissance du commandement divin, qui invite à donner à Dieu le corps, l’âme, tout, en prenant position pour Christ, jusqu’à se faire Lui. Que ton oui soit oui et ton non soit non, voilà ce qu’enseigne l’Évangile et exige l’Église.
Le ”ni oui ni non” défigure la foi et rend nulle l’Église. Sanctifie-les dans la vérité ; ta parole est vérité ! C’est ce que Jésus demanda au père alors qu’il était en train de consumer le sacrifice suprême. Dans la vérité, non dans la neutralité ou la médiocrité ou dans la banalité…
Si on accueille Jésus entier, alors toute la journée, pour n’importe quel travail que nous fassions, celui-ci sert à professer la foi. La vie alors devient une opération merveilleuse, presqu’une liturgie ininterrompue, où les riches et les pauvres, les malades et les personnes saines, les hommes ou les femmes, les vieux ou les jeunes, tous ont à faire ; tous peuvent édifier. Édifier un destin éternel avec des matériaux de l’époque.
Voilà la sanctification. Celle-ci n’est pas une désertion de la vie. C’est la vivre, la vie, entière et saine, en éliminant les toxines.
Christ demanda à tous, aussi à toi et à moi, de le suivre en rompant les ponts avec le passé, avec ce qui est mort, nous retrouvant dans une jeunesse éternelle. Ça c’est la liberté.
Regardée de cette façon, l’église, avec laquelle le Sauveur donne la santé, un divin ministère de la santé apparaît : sacrement qui résout la mort en résurrection ».
De Igino Giordani, Le mystère pascal, Città Nuova, Rome, n.6 du 25.3.1977, pp 24-25
Mar 31, 2015 | Non classifié(e)
La route qui relie la capitale et le port au reste de l’île de Tarawa, la plus grande de l’archipel des Kiribati, en Océanie, est détruite. Les digues qui protégeaient les plages des marées n’existent plus et de nombreuses habitations traditionnelles ont été emportées. Le cyclone Pam, l’un des plus violents enregistrés dans le Pacifique méridional, a particulièrement touché les îles de Vanuatu, Salomon et Kiribati, avec de très hautes vagues renforcées par un vent qui a atteint les 250/300 kms heures. La Croix-Rouge locale signale qu’il y a pénurie d’abris d’urgence, de nourriture, d’eau potable pour un grand nombre des 253000 habitants et la population est en train de déserter les secteurs les plus touchés.
« Nous avons eu des nouvelles par la communauté locale du Mouvement des Focolari – écrit Mary Cass, correspondante du projet AMU depuis Perth, Australia – . Tous vont bien et sont engagés dans le travail de reconstruction, et d’approvisionnement en eau et en nourriture pour les familles du village de Buota (où le projet est en cours) et qui est en ce moment coupé du reste du pays : la route et le pont qui le relient au reste de Tarawa sont en effet détruits. Ils ont à l’esprit la Parole de Vie du mois qui invite à prendre sa croix et espèrent pouvoir se retrouver rapidement pour renforcer leur esprit d’unité en ce moment difficile ». « Le climat redevient normal – écrit l’un d’entre eux – les vagues sont à nouveau souriantes. Nous sommes heureux que tous aillent bien ».
Mais si l’esprit et la dignité des habitants de Tarawa sont admirables, la situation reste de toute façon très grave: l’eau potable devient rare parce qu’avec l’inondation de nombreux puits et réservoirs ont été contaminés par l’eau de mer ; la nourriture manque aussi à cause des récoltes détruites et des voies de communications coupées ; il y a pénurie d’essence et 80% des maisons traditionnelles ont été détruites…
La république de Kiribati doit par ailleurs faire face à un gros problème de fond : l’élévation progressive du niveau de la mer entraîne la disparition de terres cultivées, avec des répercussions négatives sur l’emploi et la qualité de l’alimentation. 10% seulement de la population a un travail stable, tous les autres vivent d’expédients. Ne pouvant pas arrêter l’avancée de la mer, à cause du réchauffement global, le gouvernement cherche à donner aux habitants la possibilité de s’installer à l’étranger ou dans d’autres régions du Pays. On prévoit que d’ici quelques années tout l’archipel sera submergé.
Le projet de l’AMU (Action pour un Monde Uni), ONG qui s’inspire des principes du Mouvement des Focolari, a pour objectif d’améliorer les conditions de vie de la communauté de Buota, un des villages les plus pauvres de l’île de Tarawa, à travers des initiatives en faveur des femmes et des enfants. Une aide au développement de petites unités de production est engagée.
“La première – poursuit Mary Cass – consiste à produire et à vendre de la glace, grâce à un congélateur ; la seconde se concentre sur la vente d’objets artisanaux à l’aéroport de Tarawa. Avec les aides de l’AMU nous avons fait l’acquisition d’une machine à coudre. Il y a aussi une bonne production de pain vendu et dans trois magasins situés dans le village et les environs. Les recettes liées à ces activités – outre la rétribution du travail des femmes engagées – permettent de financer notre école maternelle « Love and Unity » et de subvenir à quelques besoins alimentaires des enfants et de leurs familles ».
Comment est-ce que l’on vit sur une terre sans avenir? « La vie de la communauté locale des Focolari à Buota va de l’avant : les groupes Parole de Vie – disent-ils – réunissent les personnes de villages dispersés sur toute l’étroite frange de terre. L’évêque de Tarawa, avec l’aide des prêtres, traduit chaque mois le commentaire de la Parole de Vie dans la langue du lieu, le gilbertois . Les familles s’entraident à reconstruire les maisons détruites par les catastrophes naturelles et recommencent à se rencontrer pour partager leurs expériences une fois leur toit refait. La communauté a baptisé son propre centre, où se trouve une petite école, « Loppiano, Centre d’Unité et d’Amour » – qui reprend le nom de la première Cité pilote des Focolari – avec le désir d’être un exemple d’amour et d’unité pour tous ».
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Mar 29, 2015 | Non classifié(e), Parole di vie
Dans la première Lettre à la communauté de Corinthe (d’où est tirée la Parole de Vie de ce mois), Paul doit se défendre du peu de considération que certains chrétiens avaient pour lui. Ils mettaient en doute ou même niaient son identité d’apôtre. Après en avoir revendiqué à juste titre la qualification puisqu’il a « vu Jésus, notre Seigneur » (1 Corinthiens 9,1) Paul explique les motifs de son comportement humble et modeste, jusqu’à renoncer à toute forme de rétribution pour son travail. Bien qu’il puisse faire valoir l’autorité et les droits de l’apôtre, il préfère se faire « l’esclave de tous » (1 Corinthiens 9,19) . C’est cela sa stratégie évangélique.
Il se fait solidaire de chaque catégorie de personnes, au point de devenir l’un d’eux, dans le but d’y apporter la nouveauté de l’Évangile. Il répète, au moins cinq fois : « Je me suis fait un » avec l’autre. Avec les Juifs, par amour pour eux, il se soumet à la loi de Moïse, bien qu’il ne s’y sente plus assujetti. Avec les non-Juifs, qui ne suivent pas la loi de Moïse, il vit lui aussi comme affranchi de cette loi, alors qu’il a au contraire une loi exigeante, Jésus en personne. Avec ceux qui étaient définis « faibles » – probablement des chrétiens scrupuleux qui se posaient le problème de manger ou non les viandes sacrifiées aux idoles – il se fait lui aussi faible, bien qu’il soit « fort » et éprouve une grande liberté. En un mot, il se fait « tout à tous ».
À chaque fois, il répète qu’il agit ainsi pour « gagner » chacun au Christ, pour « sauver » à tout prix au moins quelques-uns. Il ne se fait pas d’illusion, il n’a pas d’attentes triomphalistes, il sait bien que seuls quelques-uns répondront à son amour, toutefois il aime tout le monde et il se met au service de tous selon l’exemple du Seigneur, venu «… pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Matthieu 20,28). Qui, plus que Jésus Christ, s’est fait un avec nous ? Lui qui était Dieu, «… il s’est dépouillé, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes » (Philippiens 2,7).
« Je me suis fait tout à tous ».
Chiara Lubich a fait de cette parole l’un des points forts de son « art d’aimer », synthétisé par cette expression : « se faire un ». Elle y a vu une expression de la « diplomatie » de la charité. « Si quelqu’un pleure – a-t-elle écrit – pleurons avec lui. S’il rit, réjouissons-nous avec lui. Ainsi la croix est partagée et portée par de nombreuses épaules. La joie est multipliée et de nombreux cœurs y participent. (…) Nous ‘faire un’ avec le prochain pour et par l’amour de Jésus jusqu’au moment où, doucement touché par l’amour de Dieu en nous, il en viendra à se faire un avec nous dans un échange réciproque d’aides, de projets, d’idéaux, de sentiments.
(…) C’est la diplomatie de la charité, qui revêt des formes et des expressions de la diplomatie courante. Elle ne dit pas tout si cela doit peiner le frère et donc offenser Dieu ; elle sait attendre, trouver les mots justes, pour atteindre son but. Divine diplomatie du Verbe qui se fait homme pour nous diviniser » .
Avec une fine pédagogie, Chiara Lubich repère aussi les obstacles quotidiens pour « se faire un » : « Parfois ce sont les distractions ou la mauvaise habitude de vouloir dire tout de suite notre idée, de donner notre conseil de façon inopportune. En d’autres occasions, nous sommes peu disposés à nous ‘faire un’ avec le prochain, car nous croyons qu’il ne comprend pas notre amour, ou bien nous sommes freinés par d’autres jugements à son égard. Dans certains cas, il existe un désir caché de le conquérir à notre cause ». Aussi, « il est vraiment nécessaire de couper, de déplacer tout ce qui encombre notre esprit et notre cœur pour nous ‘faire un’ avec les autres ».
Il s’agit donc d’un amour continuel et infatigable, persévérant et désintéressé, qui se confie à son tour à l’amour plus grand et puissant de Dieu.
Ces indications précieuses nous aideront à vivre ce mois-ci la parole de vie en nous mettant sincèrement à l’écoute de l’autre, pour le comprendre de l’intérieur, nous identifiant à ce qu’il vit et ressent et partageant ses soucis et ses joies.
« Je me suis fait tout à tous ».
Cependant, nous ne pouvons pas prendre cette invitation évangélique dans le sens d’une invitation à renoncer à nos propres convictions, comme si nous approuvions sans esprit critique n’importe quelle façon d’agir de l’autre, comme si nous n’avions pas une ligne de conduite bien à nous ou une pensée personnelle.
Si l’on a aimé jusqu’à devenir l’autre et si ce que l’on partage a été un don d’amour et a créé un rapport sincère, on peut et on doit exprimer sa propre idée, même si elle risque peut-être de faire mal, mais en restant toujours dans cette attitude d’amour profond. Se ‘faire un’ n’est pas un signe de faiblesse, ni la recherche d’une vie avec l’autre tranquille et pacifique ; c’est l’expression d’une personne libre qui se met au service et cela demande courage et détermination.
Il est aussi important de ne pas perdre de vue le but de “se faire un”.
La phrase de Paul que nous vivrons ce mois-ci continue avec cette expression : «… afin d’en sauver à tout prix quelques-uns ». Paul justifie le fait de « se faire tout à tous » par son désir d’amener quelques-uns au salut. C’est un chemin pour entrer dans l’autre et pour faire émerger en plénitude le bien et la vérité qui déjà l’habitent, pour brûler les erreurs éventuelles et y déposer le germe de l’Évangile. Cette tâche, pour l’Apôtre, ne connaît ni limites, ni excuses, il ne peut s’y dérober car c’est Dieu lui-même qui la lui a confiée et il doit l’accomplir « à tout prix », avec cette créativité dont seul l’amour est capable.
Voilà l’intention de fond qui donne le motif essentiel de « se faire un ». La politique et le commerce eux-mêmes trouvent leur intérêt à se faire proches des gens, à entrer dans leur pensée, à en cueillir les exigences et les besoins, mais il y a souvent derrière la recherche d’un avantage, d’un profit. Par contre, la « diplomatie divine – dirait encore Chiara Lubich – a ceci de grand et de spécifique – et c’est peut-être vraiment unique – elle agit pour le bien de l’autre et est dépourvue de toute trace d’égoïsme ».
« Se faire un » donc, pour aider chacun à grandir dans l’amour et ainsi contribuer à réaliser la fraternité universelle, le rêve de Dieu sur l’humanité, le motif pour lequel Jésus a donné sa vie.
Fabio Ciardi
Mar 28, 2015 | Non classifié(e)

Palmira avec Chiara Lubich
« Répandre l’amour de Dieu partout, selon le commandement de Jésus de nous aimer l’un l’autre ». C’était cela l’idéal de Chiara Lubich qui attire toujours des centaines de personnes dans le monde entier. Aujourd’hui, à l’occasion du septième anniversaire de la mort de la fondatrice du mouvement des Focolari célébré dans le monde entier et à quelques jours de l’ouverture de son procès de béatification et canonisation, il s’agit de Palmira Frizzera, qui l’a connue en 1945 et, frappée par l’idéal de la « fraternité universelle », décida de la suivre. Voici son témoignage :
« Le concept de fraternité universelle est justement ce que j’ai trouvé lorsque je suis entrée dans le premier focolare, il y a presque 70 ans : nous étions des sœurs avec Chiara, mais avec un « Maître », un guide, qui était Jésus au milieu de nous, Jésus qui vit là où deux ou plus sont unis en Son nom ».
Quel est le but qui vous a fait aller de l’avant ensemble pendant tant d’années ?
« Nous sommes allées de l’avant en ne pensant en réalité à rien… nous avions choisi Dieu comme idéal de notre vie, nous voulions L’aimer, conscientes que nous pouvions mourir d’un jour à l’autre sous les bombardements. Donc nous avons essayé de réaliser le Testament de Jésus, l’amour réciproque, jusqu’à arriver à l’unité entre nous. Ce que j’ai senti dans ma rencontre avec Chiara, et toutes ses premières compagnes en général, c’est qu’elle possédait une lumière, une nouveauté… – à ce moment-là nous ne l’appelions pas « le charisme » – avec laquelle nous avons été engendrées à une vie totalement nouvelle ! ».
Ce fut donc l’amour évangélique vécu entre vous, incarné et communiqué aux autres qui a fait naître tout le mouvement ?
« Mais Chiara n’a jamais pensé fonder quelque chose ! On dit maintenant que Chiara est la fondatrice du mouvement des Focolari qui s’est répandu dans le monde entier. Moi, cependant je ne l’ai jamais sentie comme une personne qui fondait quoi que ce soit, mais comme une personne qui donnait vie à quelque chose de nouveau. Chiara nous disait : « Nous ne voulons rien fonder. Nous voulons porter Dieu au fond des âmes, par l’amour ; porter l’amour partout ». Voilà justement ce message que Jésus nous a laissé ». Cela a conduit à la fraternité universelle ».
Depuis janvier de cette année, Chiara a été déclarée Servante de Dieu et un procès de béatification et de canonisation a commencé. Quel effet cela vous fait-il ?
« Je sens que Chiara n’appartient pas seulement à l’Eglise catholique : Chiara appartient aussi aux autres Eglises, aux autres religions et grâce aux dialogues ouverts dès les premiers temps, même avec des personnes qui n’ont pas de credo religieux. Sous cet aspect, je n’aime pas la restreindre uniquement à l’Eglise catholique, mais je comprends que cette béatification est un grand don pour l’Eglise et pour nous tous ».
Pourquoi les nouvelles générations que vous rencontrez et que vous formez, même si elles ne l’ont pas connue, et depuis longtemps, sont attirées par Chiara et sa spiritualité ?
« Chiara est partie, mais sa lumière est restée, son charisme demeure. Et c’est après cette lumière que les jeunes courent, pas après les personnes ».
Ce septième anniversaire aborde la dimension politique du charisme et montre comment la spiritualité de Chiara peut être vécue en politique. Qu’est-ce qu’elle peut nous enseigner dans ce domaine ?
« Elle peut nous enseigner l’art d’aimer, de comprendre, d’écouter… C’est un trait d’union avec tous : si l’on ne fait pas ça, comme alternative il n’y a que la violence et la guerre».
Source : Radio Vatican