Avr 12, 2012 | Focolare Worldwide
L’Amérique centro-méridionale, terre à l’histoire riche, ancienne, multiple, fonde ses racines bien avant l’arrivée des Espagnols. Traditions et cultures profondes parcourent et traversent des peuples divers qui cohabitent ici. « Il ne faut pas seulement résoudre les inégalités économiques. Il me semble que ce continent peut devenir une société harmonisée de peuples qui font un don réciproque de leurs racines, de leurs événements historiques et culturels pour montrer au monde le témoignage d’une cohabitation qui récupère tout le passé. » Se concentre dans ces paroles la « consigne » que la présidente du Mouvement des Focolari, Maria Voce, laisse aux membres des communautés de Colombie, Costa Rica, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela, réunis durant les jours de Pâques dans le Palais des Sports à Bogotá pour trois jours de rencontre et de fête au titre évocateur : « La Parole vécue nous fait être un ». Il y a un millier de personnes. Le coprésident Giancarlo Faletti est présent. Maria Voce suit le congrès en vidéoconférence depuis le Guatemala. « Il y a du chemin à parcourir – dit-elle – j’ai confiance en chacun de vous. Jésus au milieu de nous nous aidera à avancer pas après pas. » Le peuple. La Colombie. Nouvelle étape du voyage engagé que Giancarlo Faletti et Maria Voce font en Amérique latine. Ici aussi, le programme est chargé de rendez-vous. Au fil des ans, les personnes qui ont suivi la proposition des Focolari ont réussi à entrer dans l’histoire et dans la vie de ces peuples, en s’appropriant le défi osé lancé dans les années 70 par Chiara Lubich : « mourir pour son peuple ». Arrivé du Mexique, Faletti parcourt à nouveau, étape après étape, les fruits de cet engagement : le premier rendez-vous est avec le « Centre social Unidad » qui se trouve à Los Chircales, un quartier de la périphérie sud de Bogotá et qui aujourd’hui peut compter sur un centre médical et un cabinet dentaire, une boutique qui récupère et vend des vêtements à des prix accessibles, des devoirs surveillés pour les enfants du quartier.
Die KulturLa culture. « Le dialogue avec la culture. Voie de la fraternité » est le titre d’un symposium international qui s’est déroulé à l’Université Manuela Beltràn de Bogotá, auquel ont participé des politiques, des académiciens, des artistes et des représentants de différentes Églises chrétiennes provenant aussi du Venezuela, d’Équateur et du Pérou. Miguel Niño, coordinateur des travaux, a mis en évidence le dialogue comme catégorie culturelle et dimension existentielle qui se réfèrent à Chiara Lubich et comme plateforme de pensée et action à décliner au niveau interpersonnel, multiethnique et interculturel entre les différents savoirs. Qu’il s’agisse d’une frontière riche en futur a aussi émergé de l’influence grandissante qui œuvre en milieu universitaire la Chaire libre Chiara Lubich, introduite par le recteur, prof. Lombardi, à l’université catholique de Maracaibo, au Venezuela. Les jeunes. « Bonjour, Amérique latine ! Nous voulons que ce soit une avant-première du Genfest. » Presque 200 jeunes remplissent la salle du Centre Mariapolis de Tocancipà, près de Bogotá. Ils viennent d’Équateur et du Pérou, du Venezuela et du Costa Rica, du Panama et de la Colombie, pour représenter les jeunes engagés dans le Mouvement des Focolari. Ils se succèdent sur la scène pour parler de leurs expériences : des initiatives, aussi sociales, qu’ils poursuivent pour contribuer à soulager les douleurs, la pauvreté et les marginalisations de leurs concitoyens. Un dialogue profond, qui fait ressortir problèmes, attentes et espérance, naît aussi avec Maria Voce, reliée par Internet. « Vous êtes la parole vivante de Chiara – a déclaré Faletti en prenant la parole – et vous lui permettez de crier son message encore plus fort. On voit que Dieu est le protagoniste de votre vie personnelle et communautaire. Pour cette raison, j’affirme que le Genfest a commencé aujourd’hui. » Une nouvelle évangélisation. À la rencontre des communautés du Mouvement des Focolari de l’Amérique centrale, qui s’est déroulée à Bogotá durant les jours de Pâques, a aussi participé Mgr Octavio Ruiz, secrétaire du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, l’organisme créé par Benoît XVI en 2010, dont Maria Voce aussi est consultrice. « La caractéristique de la nouvelle évangélisation – a-t-il dit – est dans la fraîcheur qui vient de la Parole. » Mais – a-t-il ajouté – « il faut des hommes nouveaux, avec des cœurs nouveaux, avec une conviction nouvelle, avec force intérieure et ardeur ». « En suivant le charisme de Chiara Lubich, vous pouvez contribuer à réaliser la nouvelle évangélisation. Vous tous êtes des protagonistes. »
Avr 12, 2012 | Focolare Worldwide
L’Amérique centro-méridionale, terre à l’histoire riche, ancienne, multiple, fonde ses racines bien avant l’arrivée des Espagnols. Traditions et cultures profondes parcourent et traversent des peuples divers qui cohabitent ici. « Il ne faut pas seulement résoudre les inégalités économiques. Il me semble que ce continent peut devenir une société harmonisée de peuples qui font un don réciproque de leurs racines, de leurs événements historiques et culturels pour montrer au monde le témoignage d’une cohabitation qui récupère tout le passé. » Se concentre dans ces paroles la « consigne » que la présidente du Mouvement des Focolari, Maria Voce, laisse aux membres des communautés de Colombie, Costa Rica, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela, réunis durant les jours de Pâques dans le Palais des Sports à Bogotá pour trois jours de rencontre et de fête au titre évocateur : « La Parole vécue nous fait être un ». Il y a un millier de personnes. Le coprésident Giancarlo Faletti est présent. Maria Voce suit le congrès en vidéoconférence depuis le Guatemala. « Il y a du chemin à parcourir – dit-elle – j’ai confiance en chacun de vous. Jésus au milieu de nous nous aidera à avancer pas après pas. » Le peuple. La Colombie. Nouvelle étape du voyage engagé que Giancarlo Faletti et Maria Voce font en Amérique latine. Ici aussi, le programme est chargé de rendez-vous. Au fil des ans, les personnes qui ont suivi la proposition des Focolari ont réussi à entrer dans l’histoire et dans la vie de ces peuples, en s’appropriant le défi osé lancé dans les années 70 par Chiara Lubich : « mourir pour son peuple ». Arrivé du Mexique, Faletti parcourt à nouveau, étape après étape, les fruits de cet engagement : le premier rendez-vous est avec le « Centre social Unidad » qui se trouve à Los Chircales, un quartier de la périphérie sud de Bogotá et qui aujourd’hui peut compter sur un centre médical et un cabinet dentaire, une boutique qui récupère et vend des vêtements à des prix accessibles, des devoirs surveillés pour les enfants du quartier.
Die KulturLa culture. « Le dialogue avec la culture. Voie de la fraternité » est le titre d’un symposium international qui s’est déroulé à l’Université Manuela Beltràn de Bogotá, auquel ont participé des politiques, des académiciens, des artistes et des représentants de différentes Églises chrétiennes provenant aussi du Venezuela, d’Équateur et du Pérou. Miguel Niño, coordinateur des travaux, a mis en évidence le dialogue comme catégorie culturelle et dimension existentielle qui se réfèrent à Chiara Lubich et comme plateforme de pensée et action à décliner au niveau interpersonnel, multiethnique et interculturel entre les différents savoirs. Qu’il s’agisse d’une frontière riche en futur a aussi émergé de l’influence grandissante qui œuvre en milieu universitaire la Chaire libre Chiara Lubich, introduite par le recteur, prof. Lombardi, à l’université catholique de Maracaibo, au Venezuela. Les jeunes. « Bonjour, Amérique latine ! Nous voulons que ce soit une avant-première du Genfest. » Presque 200 jeunes remplissent la salle du Centre Mariapolis de Tocancipà, près de Bogotá. Ils viennent d’Équateur et du Pérou, du Venezuela et du Costa Rica, du Panama et de la Colombie, pour représenter les jeunes engagés dans le Mouvement des Focolari. Ils se succèdent sur la scène pour parler de leurs expériences : des initiatives, aussi sociales, qu’ils poursuivent pour contribuer à soulager les douleurs, la pauvreté et les marginalisations de leurs concitoyens. Un dialogue profond, qui fait ressortir problèmes, attentes et espérance, naît aussi avec Maria Voce, reliée par Internet. « Vous êtes la parole vivante de Chiara – a déclaré Faletti en prenant la parole – et vous lui permettez de crier son message encore plus fort. On voit que Dieu est le protagoniste de votre vie personnelle et communautaire. Pour cette raison, j’affirme que le Genfest a commencé aujourd’hui. » Une nouvelle évangélisation. À la rencontre des communautés du Mouvement des Focolari de l’Amérique centrale, qui s’est déroulée à Bogotá durant les jours de Pâques, a aussi participé Mgr Octavio Ruiz, secrétaire du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, l’organisme créé par Benoît XVI en 2010, dont Maria Voce aussi est consultrice. « La caractéristique de la nouvelle évangélisation – a-t-il dit – est dans la fraîcheur qui vient de la Parole. » Mais – a-t-il ajouté – « il faut des hommes nouveaux, avec des cœurs nouveaux, avec une conviction nouvelle, avec force intérieure et ardeur ». « En suivant le charisme de Chiara Lubich, vous pouvez contribuer à réaliser la nouvelle évangélisation. Vous tous êtes des protagonistes. »
Avr 12, 2012 | Focolare Worldwide
L’Amérique centro-méridionale, terre à l’histoire riche, ancienne, multiple, fonde ses racines bien avant l’arrivée des Espagnols. Traditions et cultures profondes parcourent et traversent des peuples divers qui cohabitent ici. « Il ne faut pas seulement résoudre les inégalités économiques. Il me semble que ce continent peut devenir une société harmonisée de peuples qui font un don réciproque de leurs racines, de leurs événements historiques et culturels pour montrer au monde le témoignage d’une cohabitation qui récupère tout le passé. » Se concentre dans ces paroles la « consigne » que la présidente du Mouvement des Focolari, Maria Voce, laisse aux membres des communautés de Colombie, Costa Rica, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela, réunis durant les jours de Pâques dans le Palais des Sports à Bogotá pour trois jours de rencontre et de fête au titre évocateur : « La Parole vécue nous fait être un ». Il y a un millier de personnes. Le coprésident Giancarlo Faletti est présent. Maria Voce suit le congrès en vidéoconférence depuis le Guatemala. « Il y a du chemin à parcourir – dit-elle – j’ai confiance en chacun de vous. Jésus au milieu de nous nous aidera à avancer pas après pas. » Le peuple. La Colombie. Nouvelle étape du voyage engagé que Giancarlo Faletti et Maria Voce font en Amérique latine. Ici aussi, le programme est chargé de rendez-vous. Au fil des ans, les personnes qui ont suivi la proposition des Focolari ont réussi à entrer dans l’histoire et dans la vie de ces peuples, en s’appropriant le défi osé lancé dans les années 70 par Chiara Lubich : « mourir pour son peuple ». Arrivé du Mexique, Faletti parcourt à nouveau, étape après étape, les fruits de cet engagement : le premier rendez-vous est avec le « Centre social Unidad » qui se trouve à Los Chircales, un quartier de la périphérie sud de Bogotá et qui aujourd’hui peut compter sur un centre médical et un cabinet dentaire, une boutique qui récupère et vend des vêtements à des prix accessibles, des devoirs surveillés pour les enfants du quartier.
Die KulturLa culture. « Le dialogue avec la culture. Voie de la fraternité » est le titre d’un symposium international qui s’est déroulé à l’Université Manuela Beltràn de Bogotá, auquel ont participé des politiques, des académiciens, des artistes et des représentants de différentes Églises chrétiennes provenant aussi du Venezuela, d’Équateur et du Pérou. Miguel Niño, coordinateur des travaux, a mis en évidence le dialogue comme catégorie culturelle et dimension existentielle qui se réfèrent à Chiara Lubich et comme plateforme de pensée et action à décliner au niveau interpersonnel, multiethnique et interculturel entre les différents savoirs. Qu’il s’agisse d’une frontière riche en futur a aussi émergé de l’influence grandissante qui œuvre en milieu universitaire la Chaire libre Chiara Lubich, introduite par le recteur, prof. Lombardi, à l’université catholique de Maracaibo, au Venezuela. Les jeunes. « Bonjour, Amérique latine ! Nous voulons que ce soit une avant-première du Genfest. » Presque 200 jeunes remplissent la salle du Centre Mariapolis de Tocancipà, près de Bogotá. Ils viennent d’Équateur et du Pérou, du Venezuela et du Costa Rica, du Panama et de la Colombie, pour représenter les jeunes engagés dans le Mouvement des Focolari. Ils se succèdent sur la scène pour parler de leurs expériences : des initiatives, aussi sociales, qu’ils poursuivent pour contribuer à soulager les douleurs, la pauvreté et les marginalisations de leurs concitoyens. Un dialogue profond, qui fait ressortir problèmes, attentes et espérance, naît aussi avec Maria Voce, reliée par Internet. « Vous êtes la parole vivante de Chiara – a déclaré Faletti en prenant la parole – et vous lui permettez de crier son message encore plus fort. On voit que Dieu est le protagoniste de votre vie personnelle et communautaire. Pour cette raison, j’affirme que le Genfest a commencé aujourd’hui. » Une nouvelle évangélisation. À la rencontre des communautés du Mouvement des Focolari de l’Amérique centrale, qui s’est déroulée à Bogotá durant les jours de Pâques, a aussi participé Mgr Octavio Ruiz, secrétaire du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, l’organisme créé par Benoît XVI en 2010, dont Maria Voce aussi est consultrice. « La caractéristique de la nouvelle évangélisation – a-t-il dit – est dans la fraîcheur qui vient de la Parole. » Mais – a-t-il ajouté – « il faut des hommes nouveaux, avec des cœurs nouveaux, avec une conviction nouvelle, avec force intérieure et ardeur ». « En suivant le charisme de Chiara Lubich, vous pouvez contribuer à réaliser la nouvelle évangélisation. Vous tous êtes des protagonistes. »
Avr 12, 2012 | Focolare Worldwide
L’Amérique centro-méridionale, terre à l’histoire riche, ancienne, multiple, fonde ses racines bien avant l’arrivée des Espagnols. Traditions et cultures profondes parcourent et traversent des peuples divers qui cohabitent ici. « Il ne faut pas seulement résoudre les inégalités économiques. Il me semble que ce continent peut devenir une société harmonisée de peuples qui font un don réciproque de leurs racines, de leurs événements historiques et culturels pour montrer au monde le témoignage d’une cohabitation qui récupère tout le passé. » Se concentre dans ces paroles la « consigne » que la présidente du Mouvement des Focolari, Maria Voce, laisse aux membres des communautés de Colombie, Costa Rica, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela, réunis durant les jours de Pâques dans le Palais des Sports à Bogotá pour trois jours de rencontre et de fête au titre évocateur : « La Parole vécue nous fait être un ». Il y a un millier de personnes. Le coprésident Giancarlo Faletti est présent. Maria Voce suit le congrès en vidéoconférence depuis le Guatemala. « Il y a du chemin à parcourir – dit-elle – j’ai confiance en chacun de vous. Jésus au milieu de nous nous aidera à avancer pas après pas. » Le peuple. La Colombie. Nouvelle étape du voyage engagé que Giancarlo Faletti et Maria Voce font en Amérique latine. Ici aussi, le programme est chargé de rendez-vous. Au fil des ans, les personnes qui ont suivi la proposition des Focolari ont réussi à entrer dans l’histoire et dans la vie de ces peuples, en s’appropriant le défi osé lancé dans les années 70 par Chiara Lubich : « mourir pour son peuple ». Arrivé du Mexique, Faletti parcourt à nouveau, étape après étape, les fruits de cet engagement : le premier rendez-vous est avec le « Centre social Unidad » qui se trouve à Los Chircales, un quartier de la périphérie sud de Bogotá et qui aujourd’hui peut compter sur un centre médical et un cabinet dentaire, une boutique qui récupère et vend des vêtements à des prix accessibles, des devoirs surveillés pour les enfants du quartier.
Die KulturLa culture. « Le dialogue avec la culture. Voie de la fraternité » est le titre d’un symposium international qui s’est déroulé à l’Université Manuela Beltràn de Bogotá, auquel ont participé des politiques, des académiciens, des artistes et des représentants de différentes Églises chrétiennes provenant aussi du Venezuela, d’Équateur et du Pérou. Miguel Niño, coordinateur des travaux, a mis en évidence le dialogue comme catégorie culturelle et dimension existentielle qui se réfèrent à Chiara Lubich et comme plateforme de pensée et action à décliner au niveau interpersonnel, multiethnique et interculturel entre les différents savoirs. Qu’il s’agisse d’une frontière riche en futur a aussi émergé de l’influence grandissante qui œuvre en milieu universitaire la Chaire libre Chiara Lubich, introduite par le recteur, prof. Lombardi, à l’université catholique de Maracaibo, au Venezuela. Les jeunes. « Bonjour, Amérique latine ! Nous voulons que ce soit une avant-première du Genfest. » Presque 200 jeunes remplissent la salle du Centre Mariapolis de Tocancipà, près de Bogotá. Ils viennent d’Équateur et du Pérou, du Venezuela et du Costa Rica, du Panama et de la Colombie, pour représenter les jeunes engagés dans le Mouvement des Focolari. Ils se succèdent sur la scène pour parler de leurs expériences : des initiatives, aussi sociales, qu’ils poursuivent pour contribuer à soulager les douleurs, la pauvreté et les marginalisations de leurs concitoyens. Un dialogue profond, qui fait ressortir problèmes, attentes et espérance, naît aussi avec Maria Voce, reliée par Internet. « Vous êtes la parole vivante de Chiara – a déclaré Faletti en prenant la parole – et vous lui permettez de crier son message encore plus fort. On voit que Dieu est le protagoniste de votre vie personnelle et communautaire. Pour cette raison, j’affirme que le Genfest a commencé aujourd’hui. » Une nouvelle évangélisation. À la rencontre des communautés du Mouvement des Focolari de l’Amérique centrale, qui s’est déroulée à Bogotá durant les jours de Pâques, a aussi participé Mgr Octavio Ruiz, secrétaire du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, l’organisme créé par Benoît XVI en 2010, dont Maria Voce aussi est consultrice. « La caractéristique de la nouvelle évangélisation – a-t-il dit – est dans la fraîcheur qui vient de la Parole. » Mais – a-t-il ajouté – « il faut des hommes nouveaux, avec des cœurs nouveaux, avec une conviction nouvelle, avec force intérieure et ardeur ». « En suivant le charisme de Chiara Lubich, vous pouvez contribuer à réaliser la nouvelle évangélisation. Vous tous êtes des protagonistes. »
Avr 11, 2012 | Senza categoria
Avr 10, 2012 | Non classifié(e)
Avr 9, 2012 | Non classifié(e)
Avr 9, 2012 | Non classifié(e)
Avr 9, 2012 | Focolare Worldwide

D’une superficie de 2.800.000 km2,la République argentine a une grande variété de climat, de la chaleur tropicale jusqu’au froid antarctique. Entre la Cordillère des Andes et les côtes de l’Océan Atlantique, une immense plaine fertile: la pampa, le fameux « grenier du monde ». La variété des paysages détourne beaucoup de touristes de leur destination.
Une nation ouverte aux nombreux émigrants qui se sont appropriés cette terre et l’ont grandement développée. Concentrés dans les métropoles, les quarante millions d’habitants offrent une grande diversité d’origine, avec cependant une majorité italienne et espagnole.
L’histoire de l’Argentine présente une série de conflits qui ont des conséquences encore aujourd’hui: la lutte entre les provinces et le gouvernement central de Buenos Aires, les coups d’état – la dernière dictature, la plus dure, entre 1976 et 1983, a été responsable de 30.000 « desaparecidos » (Disparitions Forcées de Personnes) – la défaite de la guerre avec l’Angleterre pour les Iles Malouines en 1982. Sont encore sous le seuil de pauvreté, 30% de la population.
Les argentins se déclarent majoritairement catholiques, avec une présence de chrétiens d’autres dénominations. Viennent ensuite des groupes de musulmans et de juifs, puis une minorité de fidèles d’autres religions et des personnes sans options religieuses.
La culture dans toutes ses expressions, les arts et le sport ont donné des personnalités réputées dans le monde entier.
Dans ce contexte, lorsque Chiara Lubich visite l’Argentine en 1998, elle a l’occasion d’avoir différentes rencontres qui lui permettent de constater la richesse et la diversité culturelle, religieuse, sociale et politique de ce peuple. Quand elle se trouve face aux 8000 membres du Mouvement des Focolari, elle leur fait une recommandation: «Ici, je conseille un dialogue à 360°, aimer tout le monde donc… Or, pour réaliser ce dialogue à 360º, par où commencer? Par le premier point de l’art d’aimer: aimer tout le monde, c’est ce que je vous recommande».

Le Mouvement des focolari est arrivé en Argentine en 1957, par un prêtre qui était allé à une Mariapolis dans les Dolomites (Italie). Une première communauté est née à Santa María de Catamarca (village aborigène dans le nord-est argentin), une terre riche en cultures des peuples d’origine.
Vers la fin de 1958, Lia Brunet, Marco Tecilla et Ada Ungaro sont arrivés de l’Italie en Amérique du Sud, selon un itinéraire qui comprenait le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Chili. En octobre 1961 et février 1962 les premiers focolares s’établissent à Buenos Aires, avec Lia Brunet et Vittorio Sabbione, pour soutenir et animer les communautés qui grandissaient de jour en jour.
La spiritualité de l’unité s’est présentée comme une nouvelle voie pour ce jeune peuple. Sa diffusion s’est faite rapidement. Les Mariapolis se sont multipliées. En 1963 on inaugure la Maison d’Edition “Ciudad Nueva” en Argentine. Les années suivantes sont fondamentales pour les Focolari en Argentine: Chiara Lubich visite en effet cette terre trois années de suite en 1964, 65 et 66. En 1966, elle pose la première pierre du Centre Mariapolis à José C. Paz, dans les environs de Buenos Aires.
Comme un phare pour l’Argentine et les pays limitrophes, en 1968 naît la Cité-pilote à O’Higgins, dans la province de Buenos Aires, aujourd’hui « Cité-pilote Lia ». En peu de temps, elle devient un important centre de formation pour les membres du Mouvement et un lieu de rayonnement pour les milliers de personnes qui la visitent en fin de semaine. Depuis ce moment-là plus de 4000 jeunes du monde entier ont passé une période dans cette cité-pilote, pour devenir témoin de ce style de vie dans leurs lieux d’origine.
Dans les années 80, c’est la naissance de l’Ecole d’Etudes Sociales pour approfondir la Doctrine Sociale de l’Eglise et sa concrétisation dans les réalités politiques et sociales argentines. Ensuite, c’est au tour de l’Ecole de Formation Œcuménique des membres des Focolari en vue du dialogue entre les différentes églises chrétiennes. Beaucoup parmi eux participent aujourd’hui dans les commissions diocésaines d’œcuménisme.
Le dialogue avec les divers Mouvements et réalités ecclésiales produit des fruits abondants pour l’Eglise argentine.
Avec les grandes religions – juifs, musulmans, hindouistes et autres – s’établit un dialogue de connaissance, amitié et collaboration très forte. En 2011, près de la Mariapolis Lia a eu lieu le 4ème Symposium international judéo-chrétien.
Différents groupes de personnes, dont les options sont autres que religieuses, adhèrent à l’esprit des Focolari. Avec elles, sont menées de nombreuses actions locales.

La proposition de Chiara de réaliser un dialogue à 360º a pris racine dans les différentes réalités sociales, par l’intermédiaire des personnes et des structures du Mouvement.
En 1991, l’Economie de Communion naît aussi en Argentine, ainsi que le Pôle industriel « Solidaridad » à la Mariapolis de O’Higgins. Aujourd’hui, ce sont 56 entreprises et initiatives économiques qui adhèrent au projet.
Durant l’année 2001, marquée par une profonde crise politique et économique, naît le Mouvement Politique pour l’Unità, qui promeut diverses initiatives de formation, réflexion et actions. Des groupes de dialogue politique se forment et l’Ecole de Formation Politique et Sociale est ouverte pour les jeunes, avec 12 annexes réparties dans tout le pays. Comme conséquence de l’engagement social et formateur, est créée la chaire libre, Société Politique et Fraternité, à l’Université nationale de La Plata, à l’origine de la RUEF (Réseau Universitaire pour l’Etude de la Fraternité).
Le Mouvement des focolari en Argentine compte plus de 7000 membres engagés, 42.000 adhérents, des milliers de sympathisants, une cité-pilote de 200 habitants, la maison d’Edition Ciudad Nueva, trois Centres Mariapolis pour des sessions de formations, des centres focolares dans les principales villes du pays, des communautés réparties sur tout le territoire, des œuvres sociales et la participation dans différents milieux du champs politique, social, culturel et ecclésial. Nombreuses sont les personnes qui ont eu et maintiennent des contacts avec les différentes expressions du Mouvement.
Avr 7, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 5, 2012 | Focolare Worldwide
« La Cité-pilote deviendra toujours plus un point de référence pour vos contemporains si les jeunes du Mouvement manifestent leur amitié pour Chiara Luce. Elle parlera au cœur de chacun, racontera sa relation avec Chiara Lubich, la spiritualité du charisme de l’unité qui l’a menée à la sainteté. » C’est avec ce souhait que s’est conclue, à la cité-pilote ‘’Le Diamant’’, la visite de Giancarlo Faletti, co-président du Mouvement des Focolari, au Mexique. La cité-pilote se trouve à 50 kilomètres de Puebla et à 170 kilomètres au sud-est de la ville de Mexico. 55 habitants y vivent, les uns résident d’une façon stable, d’autres sont de passage pour une période de formation. Les rencontres organisées à l’occasion de cette visite sont variées. Giancarlo Faletti a eu un dialogue très profond avec une trentaine de prêtres qui vivent la spiritualité de l’unité, et un échange d’expériences sur les effets du charisme vécu dans la vie presbytérale et dans la construction de la communion dans l’Eglise. Avec le désir d’inculturation exprimé par Giancarlo Faletti, il ne pouvait manquer la visite au sanctuaire de Notre Dame de la Guadeloupe, appelée Morenita. Accueillis par le recteur Mgr. Enrique Glennie – le 28 mars – les visiteurs ont eu le privilège d’accéder à une salle privée où ils ont pu voir de près la «cape de Juan Diego », la toile sur laquelle est imprimée l’image de Marie représentée sous les traits d’une jeune indienne. Le recteur a ensuite invité les personnes présentes à feuilleter le Livre d’Or avec les signatures de nombreuses personnalités, de Jean-Paul II à Mère Teresa. Sur le Livre figure aussi la signature de Chiara Lubich : « Mon cœur reste ici avec la Morenita » écrit Chiara. C’était en 1997. 180 jeunes provenant de toutes les régions du Mexique ont rencontré Giancarlo Faletti à la Cité-pilote « Le Diamant ». Ils ont pu avec lui aborder les thèmes qu’ils ont le plus à cœur : la violence dans les villes, la désagrégation sociale, la tiédeur de tant de contemporains à lutter pour de grands idéaux, la compétition pour la réussite à tout prix, l’homosexualité, et le conditionnement des masses-médias entre les mains de quelques-uns. « Les défis modernes – a dit Giancarlo Faletti – nous donnent beaucoup de travail, ils demandent une connaissance interdisciplinaire et des approfondissements continuels, mais cela fait partie de la vie de Jésus en 2012. Il reste fondamental de comprendre ensemble et profondément, qui nous sommes en vivant comme des fils et des filles de Chiara et pourquoi. » Les danses, les chœurs, les costumes aux formes les plus diverses se sont alternés à la rencontre de plus de 1.200 personnes venues aussi de Torrion (16 heures de car). Pour ne pas perdre la rencontre avec Giancarlo Faletti et avec la présidente Maria Voce, une liaison par skype a eu lieu du Guatémala. Ils sont aussi la famille du Mouvement des Focolari au Mexique. « Je vous redis mon merci – a dit à la fin Maria Voce – Mon souhait est que votre vie de témoignage du charisme de l’unité transforme toujours davantage les milieux dans lesquels vous vivez pour contribuer comme Mouvement à renouveler le Mexique ».
Avr 5, 2012 | Non classifié(e)
Zenit: Pâques est tout proche. Alors que dans le monde une atmosphère de peur nous enveloppe à cause de la menace du terrorisme, à partir du mystère du vendredi saint et de la Résurrection de Pâques, quelle réponse apportez-vous? Chiara Lubich: «Vendredi saint, c’est tous les jours. En regardant le journal télévisé, face à la succession de meurtres et d’attentats, dans ces images de violence inhumaine, dans le cri de ces souffrances, résonne le cri d’abandon que Jésus a lancé au Père sur la croix : ‘Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné?’, le sommet de ses épreuves, les ténèbres les plus noires. Mais c’est un cri qui n’est pas resté sans réponse. Jésus n’est pas resté dans l’abîme de cette souffrance infinie mais, dans un effort démesuré et inimaginable il s’est ré-abandonné au Père allant au-delà de cette immense douleur et il a ainsi reporté les hommes dans le sein du Père et [les a réunis] en une étreinte mutuelle. Nous savons quelles sont les causes les plus profondes du terrorisme : le ressentiment, la haine refoulée, le désir de vengeance qui couve chez des peuples opprimés depuis longtemps parce que les biens ne sont pas partagés, les droits non reconnus. C’est la communion qui manque, le partage, la solidarité. Mais on le sait, si les cœurs ne bougent pas, les biens ne bougent pas non plus. Il est donc urgent de susciter dans le monde, partout, des espaces de fraternité, cette fraternité reconquise sur la croix. En croix, Jésus nous donne une très grande leçon, divine, héroïque, sur ce qu’est l’Amour : un amour qui ne fait pas de distinction mais qui aime tout le monde. Un amour qui n’attend rien en échange mais prend toujours l’initiative. Un amour qui sait se faire un avec l’autre, qui sait vivre l’autre et dont la mesure est sans mesure : il sait donner la vie. Cet amour possède une force divine. Il peut faire éclater la plus puissante des révolutions chrétiennes qui doit envahir non seulement le domaine spirituel mais aussi le domaine humain, renouvelant toutes ses expressions : la culture, la politique, l’économie, la science, la communication… (…) ce commandement que Jésus définit nouveau et sien : ‘Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés’. Quand il est vécu de façon radicale, il engendre l’unité et porte avec lui une conséquence extraordinaire : Jésus lui-même, le Ressuscité, est présent au milieu de nous, comme il l’a promis ‘à deux ou trois réunis en son nom’ c’est-à-dire en son amour comme le disent les Pères [de l’Église]. Une page des débuts du mouvement exprime la surprise de ces premières découvertes : ‘L’Unité ! On la perçoit, on la voit, on la savoure… mais elle est ineffable ! Tout le monde est heureux de sa présence et souffre de son absence. Elle est paix, joie, amour, ardeur, climat d’héroïsme et de suprême générosité. Elle est Jésus parmi nous!’ Et avec Lui, c’est Pâques, éternellement.» (Chiara Lubich)
Avr 5, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 5, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 5, 2012 | Non classifié(e)
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« Après la résurrection, Jésus est resté encore 40 jours sur la terre, avec les siens. Voulait-il nous montrer son désir de rester parmi les hommes pour partager avec eux occupations, difficultés, joies, souffrances, victoires, défaites… ?
Si oui, notre amour réciproque, toujours renouvelé, qui lui permet de ressusciter en nous et parmi nous, ne serait-il pas le meilleur moyen de vivre une Pâques éternelle ?
Que vous parvienne du Guatemala, où les mystères de la Semaine Sainte sont vécus de façon très intense, à vous tous, amis du Focolare dans le monde, le plus chaleureux de mes vœux afin que cela se réalise ! »
Emmaüs (Maria Voce)
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Avr 5, 2012 | Focolare Worldwide
«J’ai connu les Focolari grâce aux Jeunes Pour un Monde Uni de Rome qui étaient dans ma classe au lycée. Lorsque j’ai éprouvé le besoin d’approfondir ma spiritualité et mes idéaux, j’ai demandé conseil à mon ami Gen. Le Mouvement me plaisait et j’avais un grand désir d’aimer concrètement. Cependant, je craignais de ne pas pouvoir m’approcher de l’Idéal de l’unité, car j’étais loin de la religion. Je n’aime pas que l’on me dise athée, car de nos jours l’athéisme est considéré en forte opposition à l’Eglise et aux religions. Moi, au contraire, j’essaie avant tout de respecter chaque personne et chaque chose. A cause de cela, je préfère être appelé «non croyant». Je n’ai jamais été pour l’évangélisation des personnes. Je l’ai toujours considérée comme une contrainte. Par contre, je tente de briller autant que possible, afin que quelqu’un soit touché par ma lumière. Vivre chaque instant en aimant, est ce qui me fait être un jeune qui suit véritablement cet idéal, un jeune qui a quelque chose de plus parce qu’il aime tout le monde, il aime ce qu’il fait. Vivre au milieu de tant de personnes toujours prêtes à aimer m’a fait comprendre qu’il n’est pas nécessaire d’être un héros pour sauver des vies. Si l’on aime dans l’instant présent, partout, les personnes changent. Un petit geste de gentillesse peut faire sourire et déclencher une série d’événements positifs en chaîne, créer une portion de monde uni. Un jour, alors que je faisais une promenade en montagne, un monsieur décide de s’associer à notre groupe – bien que ses chaussures de montagne se soient trouées – car il avait le vertige et avait peur de descendre avec le télésiège. Je décide d’échanger nos chaussures et de poursuivre un pied déchaussé et l’autre avec une chaussure trouée. Nous arrivons ainsi facilement jusqu’au second télésiège que ce monsieur pense pouvoir prendre et il me redonne mes chaussures. Si une action est faite avec un amour désintéressé, peut-être que pour nous la journée ne changera pas, mais pour beaucoup d’autres oui. Mon choix de vivre en jeune qui suit cet idéal n’est pas pour autant aussi simple. Chaque jour je vis en essayant de faire la chose juste. A toutes les personnes qui doutent ou pensent qu’être non croyant veut dire être marqué pour la vie, je voudrais dire que ce n’est pas ainsi. Surtout ici, dans cet environnement, je me suis toujours senti accueilli comme dans une famille, tout au plus… on risque de parler de soi-même sur une scène comme je suis en train de le faire maintenant. A. O. – Italie Témoignage raconté à l’occasion de l’événement «Chiara Lubich et les nouvelles générations» – 11 mars 2012
Avr 5, 2012 | Non classifié(e)
Avr 4, 2012 | Non classifié(e)
Giancarlo Faletti au Mexique
Avr 4, 2012 | Non classifié(e)
C’est aux époux Anna Maria et Danilo Zanzucchi, focolarini mariés et parmi les premiers couples qui ont suivi l’esprit de fraternité proposé par Chiara Lubich, que le Pape Benoit XVI a confié la charge de rédiger cette année les textes des méditations des stations du Chemin de Croix, qui sera célébré le Vendredi Saint (6 avril) au Colisée. Déjà consulteurs au Conseil Pontifical pour la Famille, Anna Maria et Danilo Zanzucchi ont été pendant une quarantaine d’années responsables du mouvement Familles Nouvelles, auquel ils continuent à apporter leur précieux soutien. Au cours de cette année pastorale dédiée à la famille, et où aura lieu la VII rencontre mondiale de la Famille (Milan, 30 mai – 3 juin 2012), les réflexions qui accompagneront le traditionnel rendez-vous feront donc référence au thème de la famille. C’est la première fois que le Pape confie cette tâche à un couple. Zone Presse: Les époux Zanzucchi prépareront les méditations du Chemin de Croix Méditations de Danilo et Anna Maria Zanzucchi
Avr 4, 2012 | Non classifié(e)
Marco et Maria viennent de la province de Milan, fiancés depuis 5 ans, tous deux travaillent. Ils prévoient leur mariage pour 2013. Mais d’abord, ils souhaitent mieux se connaître, se consacrer un temps de qualité et surtout approfondir leur choix du “pour toujours” Giuseppe et Paola se marieront début juillet. “Il y a tant de choses à faire, commentent-ils, mais le désir que nous éprouvons par-dessus tout est celui de nous roder en tant que couple ». 120 couples venant de toute l’Europe se sont retrouvés avec des attentes nombreuses et variées à Castelgandolfo pour le cours de préparation au mariage (15-18 mars 2012), organisé par Familles Nouvelles. Le cours, cette année, pour sa 36ème édition, veut faire expérimenter que : “Il n’y a qu’un seul amour”, comme le dit le titre : l’amour pour Dieu, dans lequel est contenu l’amour humain, comme le soulignait Chiara Lubich dans une lettre de 1944 à sa sœur fiancée. “Au début, cela me dérangeait qu’il raisonne trop, raconte Maria, je voyais même des différences de culture, mais maintenant je sens que ces différences m’enrichissent. Je vois où je peux m’améliorer…” Les couples s’expriment en se racontant eux-mêmes, leurs rêves et leurs projets, ils se confrontent entre eux et aux autres couples, prêts à tout pour découvrir et vivre “un amour beau, pur, comme disait Chiara Lubich au cours d’un congrès en 1991, un amour si fort qu’il les pousse à laisser leur famille pour s’épouser et s’unir entre eux”. Don Paolo Gentili, directeur du Bureau de la famille à la Conférence épiscopale italienne, est intervenu en soulignant la signification du sacrement de mariage : “Dans un monde qui vit de relations humaines, qui utilise et jette, a-t-il dit, dire oui pour toujours fait entrevoir un amour devant lequel tous les autres sont comme des bouts de verre face à un diamant.” “Face à la fragmentation et à la fragilité que vivent aujourd’hui les liens du couple, a encore souligné don Gentili, faire le projet du mariage, en ayant comme fondement le roc qu’est le Christ, permet de se relever des chutes, petites ou grandes, qui arriveront certainement, en restant fidèles à l’horizon de l’Amour.”
Avr 4, 2012 | Non classifié(e)
Avr 4, 2012 | Non classifié(e)
Avr 3, 2012 | Focolare Worldwide

Ah, ces jeunes…A peine la rencontre terminée, les voilà qui ont porté le coprésident Giancarlo Faletti jusque dans la cour extérieur, ont bandé ses yeux et lui ont donné un bâton pour frapper une cruche d’argile avec sept rayons. Elle est maintenue en l’air par une corde tendue par deux jeunes. C’est un jeu issu de l’antique tradition maya, que le christianisme a repris avec une nouvelle signification.
Et voilà Giancarlo invité à donner la preuve de son habilité et de sa foi ( sans voir) pour réussir à frapper les 7 vices capitaux (les rayons) et rompre la cruche , faisant ainsi descendre sur les présents les grâces du Ciel, symbolisés par des fruits et des gâteaux .Une entreprise difficile , car quatre « brigands » postés aux extrémités de la corde font monter ou descendre la cruche. Puis c’est la joie finale et le partage des douceurs entre les 180 jeunes du Mouvement qui, de toutes les régions du Mexique, ont réussi à arriver à la citadelle « Le Diamant ».
La rencontre avait commencé 3 heures avant, avec un accueil musical riche en rythmes et une banderole qui montait de la salle «Et nous, nous avons cru à l’amour ». Une phrase de l’Evangile que la fondatrice des Focolari avait faîte sienne aux débuts du Mouvement et qui est devenu un acte de foi communautaire et le fondement de chaque initiative. Ces jeunes ont pris à leur tour « le témoin » et le défi qu’il contient, et ils l’ont prouvé à travers les sujets qu’ils ont voulu aborder avec grande liberté devant leur invité d’honneur.
La violence dans les cités, la présence puissante et conditionnante des trafiquants de drogue, l’éclatement social, la tiédeur des jeunes de leur âge à se mobiliser pour de grands idéaux, la compétition pour un succès à tout prix, le rapport de soumission face à toute autorité, y compris celle les parents, que de thèmes abordés.
Et aussi les couples homosexuels, la culture libertaire dominante et le conditionnement des mass média entre les mains d’un petit nombre.
Dans les réponses de Giancarlo, les jeunes ont apprécié le concret des indications données. Y compris le final, l’invitation à ne pas être les « élèves » de la télévision et d’internet, mais s’engager à posséder la culture qui naît du charisme de l’unité, une lumière sur tous les sujets, ceux d’actualité et ceux plus traditionnels

“ Les défis modernes – a-t-il souligné – devant un auditoire attentif- nous donnent plus de travail, ils exigent des connaissances interdisciplinaires et de continuels approfondissements, mais cela, c’est la vie de Jésus en 2012. Il est fondamental de comprendre ensemble, et cela jusqu’au fond, ce que nous sommes en train de vivre comme fils de Chiara et pourquoi. Dans cet engagement, vous pouvez compter sur la compétence et la disponibilité des experts du Mouvement.
Le dialogue semblait terminé ….Mais le coprésident reprend la parole et crée la surprise. Il propose aux jeunes de dédier la chapelle de la citadelle à une jeune qu’il a eu la chance de connaître lorsqu’elle avait 12 ans, la bienheureuse Chiara Luce Badano, que Benoît XVI avait mentionnée, il y a quelques jours, dans son message pour la Journée Mondiale de la jeunesse, à l’occasion du dimanche des Rameaux.
La cérémonie pourrait se faire le lendemain à la conclusion de la journée de rencontre avec la communauté du Mexique. Les jeunes accueillent cette nouvelle avec une explosion de joie. Il restera peu de temps pour préparer un programme qui soit solennel et sprint.
Mais il y en a suffisamment pour commencer à bander les yeux de Giancarlo.
De notre envoyé spécial Paolo Lòriga
Avr 3, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 2, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 1, 2012 | Focolare Worldwide
Bordée par deux océans et traversée par la cordillère des Andes, la Colombie est un vrai jardin de 1.141.748 km2 à l’extrême nord-ouest de l’Amérique du Sud. Plages des Caraïbes, forêt amazonienne, villes modernes, fleurs, or, pétrole, émeraudes et énergie à exporter, art et culture, font d’elle un pays plein de richesses. C’est cependant son peuple, tenace, plein de joie et d’initiatives, le vrai trésor de cette nation qui a adopté le nom de Christophe Colomb.
L’histoire du Mouvement des focolari sur ces terres débute à Bogotá, métropole cultivée et moderne avec plus de 9 millions d’habitants, qui s’étend sur un magnifique haut plateau à 2.600 mètres d’altitude. Durant le Congrès Eucharistique de 1968, Lucero – jeune scout – alors qu’elle assure le service d’ordre, rencontre le père Sotelo, franciscain, qui lui offre un livre de Chiara Lubich écrit pour les jeunes du Mouvement: « Tappe gen » (Vie Gen). Fascinée, elle commence – avec d’autres jeunes filles – l’aventure que proposent ces pages. Leur vie parle et d’autres sont attirés.
En même temps, à Medellín, ville industrielle et en continuelle transformation, le père Luis Bonilla – salésien – découvre entre les pages de la revue Ciudad Nueva (Nouvelle Cité) publiée en Argentine, la vitalité évangélique tant recherchée. A partir de ce moment-là, il parcourt les maisons de son quartier annonçant « l’Idéal » qu’il a trouvé. Il commence un rapport épistolaire avec la rédaction et après quelques mois Anna Sorlini, focolarine italienne, arrive là, puis suivra par des voyages et courrier les communautés naissantes.

Marita Sartori
En 1972 naît le premier «focolare» et en 1976 un second. De là, cet esprit évangélique part vers les 12 nations latino-américaines – du Mexique jusqu’au Pérou – trouvant partout une réponse enthousiaste. Parmi les principaux personnages de cette histoire, il y a Màrita Sartori, une des première focolarine de Trente, qui a vécu en Colombie de 1973 à 2002 et Carlo Casabeltrame, piémontais.
Durant ces années, Mgr Libardo Ramirez participe aux premières rencontres d’Evêques amis des Focolari. Il porte la spiritualité de l’unité à Armenia, son diocèse. Avec l’arrivée de Don Agostino Abate, naît le focolare sacerdotal. Religieuses et religieux, mutés en divers endroits, communiquent cette spiritualité, c’est alors que des communautés naissent dans le Valle, Huila, Santander, Nariño, Atlántico, Chocó, Antioquia et Cundinamarca. Une édition colombienne du journal Nouvelle Cité voit le jour.
Du point de vue sociopolitique et économique, la situation du pays devient toujours plus difficile: à la pauvreté (plus de 48% de la population), source de luttes armées et guérillas, s’ajoute le trafic de drogue avec toutes les formes de violence et d’émigration de force.
Les communautés du Mouvement se sentent continuellement interpellées par ces situations. Pour donner une réponse, Chiara Lubich propose en 2002, que les Focolari en Colombie développent en particulier la nouvelle politique et le nouveau droit qui naissent de la spiritualité de l’unité. C’est une étape importante pour le développement du Mouvement dans ce pays.
Actuellement, le siège du Mouvement se situe au «Centre Mariapolis Gioia», à Tocancipá (à 50 km de Bogotá), centre de formation et de rayonnement de la spiritualité de l’unité dans toute la région. Il y a de plus deux «focolares» à Bogotá et deux autres à Medellín. Différentes oeuvres sociales sont nées, comme le «Centre Social Unité» au sud de la capitale, l’ «École Soleil Levant» à Tocancipá, les programmes de parrainages à distance à Medellín et à Bogotá ainsi que quelques projets académiques et de développements basés sur la fraternité comme modèle politique. Les membres et adhérents du Mouvement en Colombie sont environ 6 500.
Avr 1, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 1, 2012 | Focolare Worldwide
Avr 1, 2012 | Focolare Worldwide
« Ici nous sommes plus près du ciel ! », s’est exclamée spontanément L.M., une fillette de 8 ans qui habite dans le quartier La Merced (Bogotá) et qui fréquente le « Centre social Unidad » tenu par les Focolari en Colombie.
Sa famille s’est installée dans le quartier modeste, dans les montagnes au sud de la capitale, fuyant la violence. Ils se trouvaient dans la même situation que de nombreuses personnes arrivées dans cet endroit, où ils ont rencontré des personnes solidaires qui ont accueilli ces familles à la recherche d’un futur plus sûr. La situation, au début, était plutôt désespérée. Le travail, pour survivre, consistait à creuser la terre dure du lieu pour faire des briques. Un procédé fatigant, qui exigeait de la force physique et de bons poumons, pour supporter le gaz qui sortait des énormes fours. Cela signifiait également oublier ses rêves, parce que le travail occupait tout le temps. Les enfants aussi, à cinq ans déjà, devaient laisser de côté les jeux ou en inventer un durant la fabrication des briques. Il était normal de trouver des visages noircis par la fumée, mais malgré tout contents d’aider les parents. Dans cette situation, motivées par l’appel de Chiara Lubich de « donner sa vie pour les autres », des personnes du Mouvement des Focolari se sont installées il y a 30 ans, à commencer par le Père Luis Dies et un groupe de pionniers. Les habitants du lieu étaient très méfiants au début, en raison de précédentes expériences négatives. « Mais comment ne pas ouvrir nos portes – raconte P.T., l’un d’eux – à ceux qui venaient seulement pour nous aider ? Ils vivaient avec nous la douleur de nous voir dans le besoin, ils ne nous jugeaient pas, ils partageaient avec nous aussi les moments de détente, ils nous aimaient pour de vrai et, dès le début, ils se sont engagés à améliorer avec nous la qualité de vie. Ils nous ont amené un médecin, un dentiste… ils nous ont fait nous sentir des personnes aimées par un Père qui est Amour ! »
Aujourd’hui, il y a un Centre social qui, même au milieu des difficultés, travaille pour que cette communauté devienne un modèle de cohabitation où la pratique des valeurs humaines et chrétiennes est à la base des activités quotidiennes. Actuellement, le « Centre Unidad » offre les services de soutien scolaire à 35 enfants et adolescents entre 6 et 17 ans (avec l’engagement des jeunes de la communauté et d’autres qui viennent faire un stage dans le social) ; un programme d’instruction pour 24 mères qui prennent soin des enfants entre 0 et 5 ans et pour les femmes enceintes ; un service de bibliothèque, une assistance médicale garantie par un médecin et un dentiste, des cours d’informatique, des cours de cuisine… L’idée de la boutique est originale ; elle offre vêtements, ustensiles pour la maison, matériel scolaire et ce qui peut être utile. Il y a, en outre, des ateliers de danse, théâtre et peinture. Le Centre est soutenu par « Adoption à distance », projet de Familles Nouvelles, qui soutient aujourd’hui 78 enfants et adolescents du quartier. C’est une très belle histoire, qui continue à être écrite, entre joies et douleurs. Les portes du Centre sont toujours ouvertes pour ceux qui sont dans le besoin, mais aussi pour ceux qui veulent contribuer. Ici, une portion d’humanité lutte et s’engage pour essayer de faire partie d’une société plus juste, inspirée par les valeurs évangéliques.
Mar 31, 2012 | Non classifié(e), Parole di vie
«Déjà vous êtes émondés… » Quels sont les sarments à éliminer ? Il s’agit de retirer devant Dieu tous les obstacles au contact avec le sacré – le péché, par exemple – tout ce qui s’oppose à la rencontre avec le divin. Pour arriver à cette pureté, l’aide de Dieu est nécessaire. Déjà dans l’Ancien Testament l’homme avait pris conscience de son incapacité à se rapprocher de Dieu par ses propres forces. Il fallait que Dieu purifie son cœur, qu’il lui donne un cœur nouveau. Un très beau psaume dit : « … Crée en moi, ô Dieu, un cœur pur » «Déjà vous êtes émondés par la parole que je vous ai dite.» Selon Jésus, il y a un moyen pour être pur : sa Parole. Cette Parole, les disciples l’ont écoutée, ils y ont adhéré. Elle les a purifiés. En effet, la Parole de Jésus n’est pas comme les paroles humaines. Le Christ est présent en elle comme il est présent, d’une autre manière, dans la Cène. Par sa Parole, le Christ pénètre en nous. En acceptant sa Parole et en la mettant en pratique, on permet au Christ de naître et grandir dans notre cœur. Paul VI disait : «Comment Jésus se rend-il présent dans les âmes ? Par la communication de la Parole, c’est la pensée divine qui passe, le Verbe, le Fils de Dieu fait homme. On pourrait affirmer que le Seigneur s’incarne en nous quand nous acceptons que la Parole vienne vivre en nous.» «Déjà vous êtes émondés par la parole que je vous ai dite.» La Parole de Jésus est également comparée à une graine jetée au plus profond du cœur du croyant. Accueillie, elle pénètre dans l’homme et, comme une graine, elle se développe, grandit, porte du fruit, nous « christifie », nous rendant ainsi semblables au Christ. La Parole de Jésus, intériorisée par l’Esprit, a réellement la capacité et la force de garder le chrétien loin du mal. Tant qu’il la laisse agir en lui, il est libre du péché et donc pur. Il ne péchera que s’il cesse d’obéir à la vérité. «Déjà vous êtes émondés par la parole que je vous ai dite.» Alors comment vivre pour correspondre nous aussi à cet éloge de Jésus ? En mettant en pratique chaque Parole de Dieu, en nous en nourrissant instant par instant, en faisant de notre existence une œuvre de continuelle ré-évangélisation. Cela pour arriver à avoir les mêmes pensées et sentiments que Jésus, pour «le revivre» dans le monde, pour montrer à une société, souvent engluée dans le mal et le péché, la pureté divine, la transparence que donne l’Évangile. Puis, au cours de ce mois, si cela est possible (c’est à dire si d’autres partagent nos intentions) cherchons à mettre en pratique de façon particulière la phrase qui exprime le commandement de l’amour réciproque. Pour l’évangéliste Jean qui rapporte la phrase de Jésus que nous considérons ce mois-ci, il y a en effet un lien entre cette phrase du Christ et le commandement nouveau. Selon lui, c’est dans l’amour réciproque que l’on vit la Parole avec ses effets de purification, de sainteté, d’absence de péché, de fécondité, de rapprochement de Dieu. L’individu isolé est incapable de résister longtemps aux sollicitations du monde, alors que, dans l’amour réciproque, il trouve le milieu sain et capable de protéger son existence chrétienne authentique. Chiara Lubich *Parole de Vie publiée en mai 1982
Mar 31, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 30, 2012 | Focolare Worldwide
‘’Nous voulons partager avec vous notre joie pour le résultat du récent référendum’’ ; nous écrivent Anca et Vine Povirk de Familles Nouvelles des Focolari, de Domzale en Slovenie. Ce fut le résultat de la forte collaboration entre les divers Mouvements civils et religieux, de nombreuses familles, unis dans une lutte pacifique en faveur de la famille. L’immense majorité des médias et d’influents personnages politiques donnait tout l’appui à la nouvelle loi qui prévoyait, entre autre, l’élargissement de quelques droits pour les couples du même sexe. Comme par exemple, celle de l’adoption limitée, c’est à dire le droit d’un membre du couple d’adopter l’enfant naturel de l’autre partenaire, avec toute une série de mesures régularisant les unions de fait. Le tout soutenu par de grands moyens financiers (on parle de plus de 2 millions d’Euros), alors que les promoteurs du référendum et les défenseurs du ‘’non’’ se sont auto-financés. Apparaissait une confrontation absolument inégale. L’initiative, promue au départ par les catholiques a rejoint très vite les autres chrétiens, les membres des autres religions, et de nombreuses personnes sans convictions religieuses soutenant les valeurs de l’homme. Ensemble ils ont réussi à recueillir les 40.000 signatures pour ouvrir le référendum qui s’est déroulé ce 25 mars, atteignant une affluence aux urnes de 30% des électeurs et obtenant, contre toute attente, les 55% de ‘’non’’. « Pendant deux ans et demi nous sommes allés au-delà de nos capacités, au-delà de nos forces pour défendre les valeurs fondamentales de la famille – nous racontent Marjana et Pavel de Lubiana -. Nous sommes intervenus au Parlement, manifesté avant les élections, organisé un Family day (journée de la Famille), récolté des signatures… nous avons écrit aux députés, à la Cour Constitutionnelle, parlé dans des dizaines et des dizaines de tables rondes dans différentes chaînes TV, à la radio nationale, dans les radios locales… et ainsi sont nées de nombreuses relations d’amitié avec des membres d’autres Mouvements ecclésiaux, avec des personnalités de la vie civile et politique de différentes formations. Maintenant commence une phase encore plus importante : travailler pour donner notre contribution à une nouvelle loi sur la famille, selon les valeurs, sur lesquelles, nous le croyons fortement doit s’appuyer la société, et qui ont leur racine dans l’Evangile ». Dans une note diffusée, Mons. Anton Stres, archevêque métropolite de Ljubljana et président de la Conférence Episcopale Slovena (CES), remercie « tous ceux qui se sont engagés pour atteindre ce but et pour rendre conscients les électeurs du rôle irremplaçable qu’a la famille dans notre vie ». Cependant, poursuit la note, « les valeurs de la famille avec le résultat du référendum ne sont pas encore assurées, en fait, il faut les vivre quotidiennement dans les relations interpersonnelles ».
Mar 29, 2012 | Non classifié(e)
20 mars 2012 – 25 avril 2012
Mar 28, 2012 | Non classifié(e)
« Cette année – exhorte le Saint-Père – le thème de la Journée Mondiale de la Jeunesse nous est donné par une exhortation de la lettre de saint Paul apôtre aux Philippiens : « Soyez toujours dans la joie du Seigneur ! » (Ph 4, 4). La joie, en effet, est un élément central de l’expérience chrétienne. (…) Et nous voyons combien cette joie attire fortement : dans un monde souvent marqué par la tristesse et les inquiétudes, la joie est un témoignage important de la beauté de la foi chrétienne et du fait qu’elle est digne de confiance. » En approfondissant certains aspects de la joie, Benoît XVI souligne que « Notre cœur est fait pour la joie » et que « Dieu est la source de la vraie joie ». Et il explique aux jeunes comment trouver et « garder au cœur la joie chrétienne » à travers, en outre, la vie de la Parole. Le message continue en abordant « la joie et l’amour » qui, selon Benoît XVI, sont intimement liés : « L’amour produit la joie et la joie est une forme d’amour ». Et il cite une phrase de Mère Teresa de Calcutta : « …Dieu aime qui donne avec joie. Et celui qui donne avec joie donne davantage ». Suivent deux passages qui abordent « la joie de la conversion » et le défi de trouver la « joie dans les épreuves ». « La douleur – affirme le pape – peut être transfigurée par l’amour et être mystérieusement habitée par la joie. » C’est à ce moment qu’il propose comme modèles de vie deux jeunes témoins : Pier Giorgio Frassati (1901-1925) et Chiara Badano (1971-1990). Il cite une lettre de cette dernière à Chiara Lubich, datée du 20 décembre 1989, où la jeune béatifiée confesse : « Je souffrais beaucoup physiquement, mais mon âme chantait ». Le texte se conclut par l’invitation lancée aux jeunes de devenir des « témoins de la joie », parce que, toujours selon le Saint-Père, « on ne peut pas être heureux si les autres ne le sont pas : la joie doit donc être partagée ». Texte intégral : http://www.vatican.va/holy_father/benedict_xvi/messages/youth/documents/hf_ben-xvi_mes_20120315_youth_fr.html
Mar 28, 2012 | Focolare Worldwide
Avertissement : toutes les informations géocodifiées figurant sur ce site sont purement indicatives. Les objets représentés (par exemple les lieux de rencontre et autres) et les systèmes de localisation ou de navigation peuvent être imprécis ou erronés pour la recherche d’adresses, de positions, de distances, d’indications et d’orientation.
Mar 28, 2012 | Focolare Worldwide
« Bonjour à tous, nous voulons vous dire à quel point nous sentons que cette année est spéciale pour les jeunes de notre pays. Nous vivons de beaux moments en préparation de notre tant attendu Genfest. En septembre dernier, nous avons proposé de faire un parcours vers l’unité qui englobe réellement tout le monde, nos amis et toute la grande famille des Focolari. Et c’est ce que nous expérimentons.
Pour récolter les fonds nécessaires pour le voyage – assez coûteux – et aussi pour avoir des occasions de vivre ensemble et construire déjà des « ponts locaux » (en référence au slogan du Genfest : Let’s bridge, ndr), nous avons préparé un calendrier avec de nombreuses activités, certaines déjà réalisées, d’autres en préparation. Unight : une soirée dans un pub de Beyrouth avec une centaine de jeunes, que nous avons conclue par une présentation du Genfest. Unight your talents show – un spectacle riche en talents : chants, danses, morceaux de musique, théâtre, histoires et beaucoup de créativité, à commencer par les décors. Le 3 mars dernier, nous étions 550 pour deux heures de spectacle dans une grande salle d’une université. Foundraising – collecte de fonds : nous avons créé un service de taxi où nous nous mettons à disposition avec nos voitures pour conduire les personnes à l’aéroport ou vers n’importe quelle autre destination ; nous sommes disponibles pour le babysitting lorsque les parents doivent s’absenter et demandent ce service ; nous préparons des gâteaux et des boissons pour les pauses durant les différentes rencontres au « Centre Mariapolis » ; nous réalisons et vendons des bijoux et des cartes pour des anniversaires spéciaux. Ce sont toutes des occasions non seulement pour récolter des fonds pour le voyage à Budapest, mais aussi pour mieux nous connaître et « créer des ponts » ici aussi. Unite in Deep – Unis en profondeur : du 23 au 25 mars, trois jours pour nous préparer au Genfest, ainsi que pour approfondir et renforcer notre foi. Quatre-vingts jeunes se sont inscrits, dont 20 de la Syrie. » Malgré tout, les difficultés ne manquent pas : les jeunes du Liban vivent une période d’incertitude à cause de la faillite de la compagnie aérienne auprès de laquelle ils ont acheté les billets pour aller à Budapest. Avec eux, croyons que, avec l’engagement de tous et avec l’aide de Dieu, ils trouveront le moyen de surmonter cet obstacle aussi.

Mar 27, 2012 | Non classifié(e)
Mar 27, 2012 | Non classifié(e)

Video: Santuario di Guadalupe (Messico), 7 giugno 1997
« Nous nous retrouvons tous ici devant la très belle effigie de la Vierge de Guadalupe, peinte au ciel, avant tout, bien sûr, par amour pour le bien-aimé peuple mexicain. Nous nous rencontrons ici, où je désirais vivement venir avec vous tous après avoir connu plus profondément cette douce Mère de Dieu et notre Mère, à travers plusieurs lectures qui m’ont surprise et émue.
Quels sentiments naissent dans notre cœur au contact de cette réalité céleste en contemplant le privilège que le monde, et avant tout le Mexique, a reçu avec l’apparition de la douce Dame ? Je crois pouvoir affirmer qu’est née spontanément en nous une profonde conviction : cette Vierge, la Vierge de Guadalupe, est étroitement liée à nous, aux membres du mouvement des Focolari ou Œuvre de Marie.
Pourquoi ? Parce que la Vierge de Guadalupe est la Vierge de l’amour et l’amour est notre spiritualité. La Vierge de Guadalupe, en effet, manifeste, explique, enseigne de manière sublime cet art d’aimer que nous avons trouvé dans l’Évangile. Nous savons que l’amour surnaturel a des exigences précises. Cet amour exige avant tout que l’on aime tout le monde. C’est pourquoi on ne regarde pas si une personne est sympathique ou antipathique, plaisante ou déplaisante, de notre pays ou étrangère, asiatique ou africaine. L’amour que Jésus a porté sur la terre, exige que l’on aime tout le monde.
Qu’a donc fait la Vierge de Guadalupe ? Elle nous a donné un exemple extraordinaire : elle a aimé les indigènes et les Espagnols. Le véritable amour, de plus, nous pousse à aimer en premier, comme Jésus l’a fait. Lorsque nous étions pécheurs, il a donné sa vie pour nous. C’est ce qu’a fait la métisse céleste. De façon inattendue, elle est apparue à un indigène, soulignant, entre autres, de cette manière, les prédilections de Jésus. À une époque où le peuple indigène vivait son terrible Vendredi Saint, elle est apparue non pas à qui dominait à cette époque-là, mais à un indigène et elle parlait sa langue. Elle n’est pas seulement apparue, elle a apporté aussi le réconfort et la joie et, avec une douceur céleste, la conversion de millions d’hommes, de l’un et de l’autre côté, à son Fils, Jésus.
L’amour surnaturel, nous le savons, ne se nourrit pas de sentiments ou d’un peu de bienveillance ou seulement de solidarité ou uniquement d’aumône. C’est cet amour que Jésus lui-même a témoigné, en se faisant un avec nous à l’incarnation puis lors de sa passion et mort.
En effet, un autre attribut de l’amour est celui de se faire un avec les autres pour les comprendre et partager leurs joies et leurs souffrances.
Cet attribut de l’amour : se faire un, est essentiel à l’inculturation si nécessaire que l’Église souligne beaucoup aujourd’hui pour pouvoir offrir une évangélisation authentique.
Marie de Guadalupe est vraiment la mère du véritable amour, la mère du se faire un. La Vierge de Guadalupe est un exemple extraordinaire et merveilleux d’inculturation, inculturation qu’elle a exprimée par sa manière de se présenter. Elle n’a pas un visage blanc comme on imagine celui de Marie de Nazareth, mais ses traits sont ceux d’une femme ni blanche ni indigène. Elle est métisse et prêche ainsi à tous la nécessité de ne jamais s’opposer, mais de toujours se fondre. Elle indique sa maternité divine, que symbolisent les rubans foncés, qui tombent sur sa poitrine, selon l’usage aztèque. En se présentant dans un habit réservé à Dieu et au roi, elle a voulu montrer que, bien que n’étant pas d’origine divine, elle était la reine de l’univers. Elle porte, à côté des rubans noirs, une petite croix indigène, pour indiquer que le centre de l’univers est le Christ, que Marie porte en son sein. Cependant cette croix est accompagnée d’une petite croix chrétienne, qui est gravée sur la broche qu’elle porte à son cou.
Son image met en évidence la présence du soleil derrière elle, mais aussi des étoiles sur son manteau, et de la lune sous ses pieds : soleil, étoiles et lune, non pas rivaux, comme on avait coutume de penser, mais en paix entre eux, coexistant pacifiquement.
Nous pourrions continuer… Et vous, qui êtes mexicains, vous auriez beaucoup plus de choses à nous dire. Cependant ce que je vous ai signalé est suffisant, me semble-t-il, pour nous faire comprendre une chose très importante : l’inculturation ne consiste pas seulement à “se faire un” spirituellement avec un autre peuple, découvrant peut-être et renforçant les semences du Verbe qui sont présentes en lui, elle consiste à adopter nous aussi, avec humilité et reconnaissance, ce quelque chose de valable que la culture de nos frères offre. L’inculturation requiert un échange de dons. C’est ce que veut nous dire la Vierge de Guadalupe. Ainsi seulement l’Évangile pourra pénétrer au fond des cœurs et y opérer sa révolution avec toutes les conséquences que cela comporte ».
Mar 27, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 27, 2012 | Focolare Worldwide
Un tapis coloré de fleurs selon l’ancienne tradition religieuse. Maria Voce et Giancarlo Faletti sont accueillis ainsi, dans une atmosphère de fête, au Centre Mariapolis « Maria des focolarini » de la capitale guatémaltèque. C’est la première étape d’un long voyage qui les conduit en Amérique latine. Ils sont venus ici pour rencontrer – comme ils l’avaient promis – la « famille de Chiara » qui peuple aussi cette partie de la planète. Un voyage intense, durant lequel ils ont rencontré les autorités civiles et ecclésiales, ainsi que des représentants des organisations laïques locales, membres et amis des Focolari. Ils sont le fruit d’une histoire de rapports et de vie, semés ces dernières années et alimentés par le charisme de l’unité de Chiara. Ils sont venus pour l’occasion – en plus du Guatemala – du Honduras, Salvador, Nicaragua et Belize. En eux revivent les cultures millénaires qui traversent ces régions : les Mayas, les Garifunas, les Xincas et les métis. Une démonstration de danses est offerte par les enfants et les jeunes qui fréquentent le Centre éducatif « Fiore » (CEF), dans la ville de Guatemala. Le centre porte le nom de Fiore Ungaro, la première focolarine envoyée par Chiara pour apporter la Spiritualité de l’unité dans ces contrées. Aujourd’hui, le centre éducatif compte 210 élèves et 28 enseignants et employés. C’est la réponse concrète de l’amour du peuple des Focolari, parce que l’éducation ici, comme dans tous les pays centroaméricains, est peut-être le facteur déterminant pour guérir les plaies de ces sociétés. À la rencontre avec les représentants d’une dizaine de mouvements qui font partie de la « Comisión de Movimientos Laicales y Nuevas Comunidades » (Commission des Mouvements Laïcs et Nouvelles Communautés), organisme de la Conférence épiscopale guatémaltèque, est aussi présent l’évêque d’Escuintla, Mgr Victor Hugo Palma Paúl. C’est lui qui accueille Maria Voce et Giancarlo Faletti : « Les Focolari sont une des écoles les plus vivantes », déclare-t-il. « Vous avez un charisme qui allume, accueille et réchauffe la vie chrétienne, en mettant l’accent sur l’unité. » Une quarantaine de focolarines et de focolarini vivent dispersés dans ces nations de l’Amérique centrale. Ils ont des origines argentines, équatoriennes, mexicaines, colombiennes et italiennes. Ils sont le « cœur » du Mouvement des Focolari et sa représentation fidèle : ethnies, revenu, profession, sensibilité politique, sociale et économique. Maria Voce écoute et, à la fin de la rencontre, lance une idée : l’unité doit passer par une « culture de la confiance ». « Il s’agit, explique-t-elle, d’avoir une confiance absolue dans l’autre, dans le frère : l’autre veut ce que je veux, c’est-à-dire l’unité. Ce que chacun fait, il ne le fait pas pour être admiré, se faire valoir ou se distinguer. Il le fait pour l’unité. Chacun travaille de façon différente, mais il travaille lui aussi pour l’unité. Se fier à Dieu et avoir confiance en l’autre est donc impératif. Cela signifie croire que Dieu travaille : Il n’a pas besoin de personnes parfaites, mais de ces personnes dont Il a besoin. » Danses folkloriques, costumes aux couleurs chatoyantes, musiques rythmées et entraînantes. La salle du Centre Mariapolis accueille plus de 600 personnes, tous des membres des communautés des Focolari qui vivent dans ces pays. C’est une histoire, celle du Mouvement en Amérique centrale, qui remonte à 1954 et a quelque chose d’extraordinaire, étant donné les conditions adverses de la guerre, les conditions économiques difficiles et les distances. Mais c’est une histoire qui exprime un sens de gratitude à Dieu. « Vos peuples, a conclu Maria Voce, ont un destin, il me semble : montrer comment serait l’humanité si elle tenait compte des richesses de chacun. Chaque expérience est en effet nécessaire aux autres pour construire une mosaïque à la beauté incomparable. » Avec les plus de 200 jeunes, entre 15 et 25 ans, naît immédiatement un rapport profond dans lequel, à la joie exubérante d’être ensemble, s’ajoute l’effort d’aller à contre-courant : « Vous n’êtes pas seuls, a expliqué Maria Voce. Chaque fois que vous devez faire un choix, pensez que vous n’êtes pas seuls. Tous les jeunes qui ont choisi le monde uni sont avec vous ».
Mar 26, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 26, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 25, 2012 | Non classifié(e)
Mar 25, 2012 | Focolare Worldwide
« Est-ce vraiment vivre que de vivre ici sur la terre ? Non pas pour toujours ici sur la terre, Mais seulement pour un bref instant. Même les jades se brisent, Même les ors se fendent, Même les plumes de quetzal se cassent. Non pas pour toujours ici sur la terre, Mais seulement pour un bref instant. » Ainsi écrivait Netzahualcóyotl (1402-1472), roi de Texcoco, en mettant en évidence à quel point les peuples originaires du Mexique avaient le sens de la transcendance. Les « États-Unis du Mexique » – nom officiel du pays – sont composés de 31 États fédéraux et d’un District fédéral et s’étendent sur un vaste territoire (1 972 550 km2) au sud des USA et au nord du Guatemala, où habitent 17 groupes ethniques originels qui représentent 10% de la population totale : 112 millions d’habitants. Le Mexique se présente comme un pays aux forts contrastes : des zones métropolitaines modernes cohabitent avec des zones rurales (15 millions de personnes vivent dans la pauvreté extrême). D’immenses étendues de cultures sont destinées à l’exportation, alors que des milliers de paysans ont seulement un hectare de terre. 200 ans après son indépendance, le Mexique cherche encore une identité propre, expression de la rencontre de ses propres valeurs culturelles ancestrales avec les valeurs apportées par le christianisme. Le fameux « événement de Guadalupe » marque un tournant décisif de réconciliation et fusion de ces deux cultures, qui a formé un nouveau peuple, le peuple mexicain justement. Cet événement singulier s’est produit il y a cinq siècles, entre le 9 et le 12 décembre 1531. Selon la tradition, une « douce Dame » au visage métis se présente à un indigène, Juan Diego, comme la « Mère de tous ». Jean-Paul II, lors de son voyage en 1999, a souligné l’importance de ce fait qui « a eu une répercussion déterminante pour la nouvelle évangélisation, influence qui va plus loin que la nation mexicaine pour atteindre tout le continent. L’Amérique, qui historiquement a été un creuset de peuples, a reconnu dans le visage métis de la Vierge Marie un fort exemple d’évangélisation parfaitement inculturée ».
Chiara Lubich aussi, en visitant le Mexique en 1997, a repris le thème de la rencontre entre les différentes cultures à partir de l’événement de Guadalupe. « L’inculturation, a-t-elle déclaré à cette occasion, n’est pas seulement se faire un avec un autre peuple spirituellement – peut-être en y découvrant et en développant les « semences du Verbe » présentes en lui – mais assumer nous aussi, avec humilité et reconnaissance, ce quelque chose de valable qu’offre la culture de nos frères. L’inculturation exige un échange de dons. C’est ce que veut nous dire Notre-Dame de Guadalupe. » Le Mouvement des Focolari est présent au Mexique de façon stable depuis 1980, même si, depuis 1975 déjà, quelques focolarini faisaient des voyages depuis la Colombie. Aujourd’hui, il y a des centres à Mexico, Netzahualcóyotl, Guadalajara et Acatzingo (Puebla), où se trouvent le Centre Mariapolis et la Cité-pilote El Diamante. Cette dernière a été fondée en 1990 et est le cœur palpitant du Mouvement ; un lieu qui prouve aux quelque 20 000 visiteurs annuels que, dans une nation aussi riche en contrastes culturels, sociaux, ethniques, l’inculturation de la vie de l’Évangile est possible si elle se fonde sur le dialogue et l’échange de dons des différentes cultures. Les communautés du Mouvement (environ 15 000 personnes qui se sont approprié la Spiritualité de l’unité), dispersées sur tout le territoire, de Mexicali (frontière avec les USA) à Mérida (sud-est), s’ouvrent au dialogue dans les différents domaines de la société pour apporter une contribution d’unité, à commencer par les rapports tissés, depuis de nombreuses années maintenant, entre les mouvements et les nouvelles associations de l’Église catholique. En août 2011 s’est tenue la première rencontre de « Juntos por México » (Ensemble pour le Mexique), qui a rassemblé 350 leaders qui représentaient environ 8 millions de catholiques de tout le pays. Beaucoup entrevoient l’ouverture de nouvelles voies de communion dans l’Église mexicaine qui pourra aboutir à un plus grand rôle des laïcs dans les différents domaines de la société. Dans le domaine de la société civile, en collaboration avec l’Institut Mora de Mexico, il faut mettre en évidence le cycle de conférences mensuelles, qui dure une année, sur la « Fraternité en politique », avec la participation de quelques politiques qui adhèrent à la « Spiritualité de communion » et de personnes engagées dans la fonction publique. Un événement positif qui a marqué une étape importante dans la formation de la conscience civile. Enfin, les Séminaires de bioéthique, qui se sont déroulés dans différentes villes, ont été une initiative de l’Association de Bioéthique et Droits humains « Netemachilizpan AC » avec le mouvement « Humanité Nouvelle » des Focolari. Des centaines de personnes attirées par les sujets abordés y ont participé. Les thèmes, développés avec une vision claire de la pensée de l’Église et éclairés par le point de vue médical et scientifique, ont illuminé tous les participants. À souligner en particulier le groupe important de jeunes de l’Université La Salle de Neza qui ont trouvé des réponses à leurs doutes. En parallèle, le groupe d’experts, qui dirige les cours de bioéthique, travaille auprès de la Chambre des députés pour soutenir et rédiger les lois en faveur de la vie. Site web : www.focolaremex.org
Mar 25, 2012 | Focolare Worldwide
Dans la situation actuelle, où émerge, de façon prééminente, le trafic de drogue qui, avec tout son pouvoir et la corruption, envahit les structures sociales et politiques, l’engagement des Focolari au Mexique se déroule sur différents fronts, en restant fidèle au charisme de l’unité de Chiara Lubich. Il existe de nombreuses actions sociales en faveur de la population, surtout des plus démunis. Dans le domaine de l’éducation, en 1992, naît l’École Santa Maria, dans les environs de la cité-pilote « El Diamante » (Puebla), avec l’objectif de répondre aux besoins de la population environnante. Elle accueille actuellement 500 élèves, de la maternelle au lycée. Pour que l’école puisse continuer, beaucoup d’enfants sont aidés par le projet Adoption à Distance de Familles Nouvelles. La collaboration entre le personnel éducatif, les parents et les autorités rend possible une formation plus complète et les étudiants acquièrent les connaissances nécessaires pour agir positivement dans leur contexte socioculturel. En outre, beaucoup d’initiatives naissent pour répondre aux besoins concrets de la population et elles sont la preuve que les rapports fraternels peuvent engendrer des solutions imprévues. Quelques exemples d’actions qui se poursuivent grâce à la contribution d’Action pour un Monde uni (AMU), organisme international des Focolari qui agit dans le social : Le Dispensaire médico-dentaire « Igino Giordani », situé dans la grande, pauvre et marginale périphérie de Mexico, dans la commune de Netzahualcóyotl. Il est en service depuis 1989 pour répondre concrètement aux besoins de santé de la région, à la demande de l’Église locale. Le dispensaire offre des services médicaux gratuits, dont des soins dentaires. Sont compris les médicaments, l’assistance diététique pour améliorer le niveau nutritionnel, ainsi que la distribution de vêtements et de jouets. Centre social Alléluia (Hornos, Las Águilas). Le travail a commencé il y a 26 ans, au pied d’une grande zone résidentielle de Mexico. Un quartier au risque permanent, parce que le taux d’alcoolisme, de drogue et de prostitution y est très élevé. Le travail se poursuit en étroite collaboration avec la Commune, la Paroisse et les écoles privée du quartier riche qui reconnaissent dans le Centre une « force » d’action pour résoudre les conflits de la région. Dans cette structure, 14 personnes, dont certaines du lieu – indispensables pour construire une société transformée de l’intérieur –, y travaillent actuellement et offrent leur service dans différents domaines : psychologie, médico-social, éducation, dentisterie, etc. Cette initiative peut se poursuivre aussi grâce à la collaboration avec l’association allemande Mexicogruppe. En outre, des groupes de médecins, dentistes, assistants sociaux, infirmiers, jeunes et autres volontaires se rendent de temps en temps dans la Commune d’Huejutla (dans l’État d’Hidalgo), pour assister gratuitement 32 communautés indigènes.
Mar 24, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 23, 2012 | Non classifié(e)
La participation des communautés des Focolari des pays voisins est aussi prévue.
Mar 23, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 21, 2012 | Focolare Worldwide
Mar 21, 2012 | Non classifié(e)