Focolare Bucarest
Focolare Sofia
Focolare Beograd
Focolare Vilnius
Info Letonia
“Mass Media: l’unità dei popoli” – Chiara Lubich, giugno 2000
Economy of Communion: it’s Africa’s moment
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Centrum Mariapoli Praha
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Les jeunes et la démocratie
Le processus laborieux de la démocratie en Europe : tel est le thème proposé pour le cours de formation politique de l’« école de participation » proposée aux jeunes de Cagliari. Nous sommes le 13 janvier, et le contexte n’est pas très favorable. En effet, en Sardaigne, la tension sociale s’accroît depuis des semaines. Et les jeunes sont en proie à la désillusion, à une perte de repères, refusant ce que l’avenir semble leur réserver. Pourtant, cette fois encore, ils sont nombreux à être venus. Des élèves et des « tuteurs » de l’école, accompagnés de beaucoup d’autres personnes averties par le bouche à oreille.
En quoi le choix d’envisager la personne et la société en se fondant sur une nouvelle définition du lien social, la fraternité universelle, a-t-il quelque chose à apporter aux sciences politiques et à la démocratie moderne si pleine de paradoxes ?
Daniela Ropelato, hôte de la soirée et professeur de sciences politiques à l’Institut universitaire Sophia de Loppiano, a construit son exposé en partant de cette optique. Elle a présenté les points principaux d’une réflexion qui engage les politiques et les chercheurs, les citoyens et les fonctionnaires de l’administration publique, qui ont trouvé dans le charisme de l’unité un pilier y compris pour leur engagement public.
L’école de Cagliari n’est pas une expérience isolée : il s’agit d’une des 10 « écoles de participation » nées récemment en Italie, qui sont une branche du réseau international des écoles du MPPU. Ces « communautés d’apprentissage », comme on les appelle en Argentine, s’adressent aux jeunes qui ne se résignent pas à adopter une façon de faire de la politique destructrice de la vie ensemble, et qui ont décidé de mettre en pratique une « politique de communion ».
Les jeunes de Sardaigne présents sont les protagonistes de la rencontre, et ils adhèrent résolument à l’idée de fraternité.
« Cela nous pousse à devenir plus actifs jusque dans les petites choses, pour être des citoyens conscients de la contribution que chacun peut apporter », a commenté un participant. Un autre affirme : « On peut faire de la politique chez soi, dans une salle d’attente, dans un magasin, sur la place publique, en donnant son opinion et en témoignant par sa vie. »
D’ailleurs, leur école porte le nom de Domenico Mangano, un des premiers à s’engager personnellement pour une politique renouvelée par la logique de l’évangile, un artisan de justice et de fraternité, au service de sa ville, Viterbe, mais aussi de ce réseau plus vaste qu’est aujourd’hui le MPPU en Italie et ailleurs. Un exemple qui continue à porter du fruit en Sardaigne aussi, apportant la confirmation qu’une relation féconde entre générations peut amorcer une innovation si nécessaire pour la sphère publique.
26.09.10 Beatificazione di Chiara Luce Badano
Maria Voce en Espagne – Janvier 2011
chiaraluce.org vi aspetta su Internet
Les « mondes » qui font bouger le monde
Plus de 230 participants, essentiellement des Italiens, même si la Croatie, l’Espagne et le Portugal étaient également bien représentés, ont pris conscience à quel point les « mondes » représentent un instrument privilégié et efficace pour aller à la rencontre de l’humanité.
Interpréter les plaies qui affectent un domaine particulier de la société, tout en reconnaissant qu’elles sont une chance, a été une des missions principales des congressistes. Une communion d’expériences et d’intuitions pour se mettre au service des villes, des communautés, des écoles, des hôpitaux, des conseils communaux, des usines, des bureaux et des quartiers, en trouvant ensemble les meilleures réponses aux défis que la société d’aujourd’hui nous demande de relever, sans perdre de vue l’objectif le plus important : la fraternité universelle.
Outre les moments prévus pour toute la salle, le travail s’est déroulé le plus souvent par groupes, avec détermination, passion et vivacité, dans un esprit de profonde écoute. Ceci a permis aux participants non seulement de se connaître, mais aussi de reprendre courage en écoutant l’expérience d’un collègue ou d’un voisin.
Un travail préalable a ainsi été accompli pour définir les « idées-forces » qu’il est possible de puiser dans les divers témoignages, en dégageant en même temps des priorités d’action dans les différents domaines.
Rosamaria Milisenna, engagée dans le monde de l’éducation et de la culture en Sicile, livre ce commentaire très parlant : « Au cours de ces journées, le plus beau a été de découvrir que, par sa vie, ses compétences professionnelles et ses passions, si on est totalement dans l’humanité et à son service, on peut apporter l’idée, la solution et la réponse que ce bout de monde dans lequel on vit attend. En agissant non pas seul, mais ensemble. »
Focolare Slovenia
Info Argentine
El Cairo
Focolare Atene
Marocco
Info Tunisia
Athens
Focolare Vienna
Focolare Graz
Focolare Innsbruck
Mariapolizentrum “Am Spiegeln”
Info Autriche
Cittadella “Castello esteriore” – Madrid
Madrid
Barcellona
Il Movimento dei Focolari in Spagna
[:it]Spagna: visita di Maria Voce
Centre Mariapolis
Mumbai: Dr Shantilal Somaiya e Chiara Lubich
Mme le Dr. Kala Acharya, directrice de ce centre, a émis le souhait que les différentes facettes de l’homme d’affaires indien soit évoquées, mais qu’on parle de lui avant tout comme d’un homme de dialogue, ouvert à toutes les cultures et religions.
Pour cette raison, Roberto Catalano, l’actuel coresponsable du Centre pour le dialogue interreligieux du mouvement des Focolari, qui a été témoin, tout au long de ses presque trente années de présence en Inde, des rapports uniques entre Somaiya et Chiara, a retracé, dans son intervention qui ouvrait la rencontre, les étapes fondamentales d’une amitié qui, au cours des premières années du nouveau millénaire, a permis d’organiser trois symposiums entre hindous et chrétiens, des rencontres d’une grande richesse culturelle, mais aussi empreintes d’une profonde spiritualité.
Étaient présents son fils, Samir Somaiya, qui a assuré qu’il désirait poursuivre la mission de son père et le faisait, aussi bien dans l’industrie que dans le domaine de la culture et du dialogue, ainsi que sa fille Harinakshi, sa femme et plusieurs de ses sœurs. Les membres du mouvement des Focolari étaient nombreux à témoigner que les liens tissés continuent d’exister.
Focolare Ungheria
Avertissement : toutes les informations géocodifiées figurant sur ce site sont purement indicatives. Les objets représentés (par exemple les lieux de rencontre et autres) et les systèmes de localisation ou de navigation peuvent être imprécis ou erronés pour la recherche d’adresses, de positions, de distances, d’indications et d’orientation.
Spagna: visita di Maria Voce
Une révolutiON positive !
C’est l’un des rendez-vous les plus attendus. Le 29 janvier, à Madrid, les jeunes de toute l’Espagne se retrouveront pour découvrir et construire ensemble… le monde en positif ! Depuis plusieurs mois, deux cents jeunes préparent cette journée en rapport étroit avec Maria Voce, qui ne manquera pas d’y participer.
« Je veux dire aux jeunes combien il est beau et quelle joie on ressent à consacrer sa vie à de grands idéaux ! Leur montrer l’attrait que représente le défi de viser haut, de se faire saint, car c’est ainsi qu’ils réaliseront pleinement chacune de leurs aspirations et en éprouveront du bonheur », a affirmé la présidente des Focolari.
Une journée passée ensemble, avec 17 ateliers, des concerts et beaucoup de moments de dialogue, et qui sera entièrement tournée vers la construction d’un monde plus juste et solidaire.
C’est l’une des étapes vers le prochain grand rendez-vous des jeunes du monde entier à Madrid. www.positiverevolution.es
Comme le rappelait Maria Voce dans une interview accordée aux revues espagnoles Ciudad Nueva et Ciutat Nova en décembre dernier, Chiara Lubich a donné cette consigne à la fin de son dernier voyage en Espagne, en 2002 : s’engager à construire l’unité, une unité capable de contempler et d’embrasser les grandes différences sociales et culturelles existantes. « Une consigne qui vaut encore aujourd’hui, autant sinon plus qu’alors. Récemment, dans son message à l’Espagne, Benoît XVI lui-même a invité chacun à vivre « comme une seule famille », en accueillant “tous les Espagnols, sans aucune exception, et les nombreuses autres personnes qui vivent chez vous sans y être nées”. »
Plusieurs rencontres avec les autorités ecclésiastiques, ainsi que des visites de lieux liés aux grands saints espagnols, comme sainte Thérèse d’Avila et saint Jean de la Croix, sont également prévues.
À Séville, Maria Voce aura aussi l’occasion de connaître de près des entreprises qui adhèrent au projet Économie de communion.
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Argentina, prima “Summer School” Economia di Comunione
« En construisant notre rêve » est la devise qui accompagne le logo de la première « Escuela de Verano EdC » destinée aux jeunes entrepreneurs ou qui aspirent à le devenir, une formation organisée à la cité-pilote Lia (Buenos Aires, Argentine). La devise choisie exprime l’idée de cette école, qui a germé en juillet dernier lors du congrès sur l’économie de communion (ÉdeC) à Santa Cruz, en Bolivie. À cette occasion, la participation de nombreux jeunes qui demandaient des pistes pour construire des entreprises « de communion », a fait naître le désir d’organiser une école d’été pour les jeunes d’Amérique latine. Un rêve qui est en train de se réaliser.
En Argentine, l’école a été conçue pour un maximum de 40 participants, des jeunes de 20 à 35 ans, afin qu’un rapport personnel et profond puisse s’instaurer avec chacun. Des jeunes du Costa Rica, du Mexique, d’Équateur, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, du Chili, du Paraguay, d’Uruguay et d’Argentine ont confirmé leur participation.
Chaque jour, on choisira un thème que l’on envisagera sous différents angles. Parmi les sujets retenus, citons « le sens des charismes en économie », « la réciprocité » et « la gratuité ». Pour chaque thème, on tentera de comprendre comment le mettre en pratique dans la vie de l’entreprise.
« Il n’est pas facile de rendre compte de l’expérience que nous sommes en train de faire, nous confie un des organisateurs de l’école. Cette expérience se construit avec un groupe réparti sur toute l’Amérique du Sud et aussi en Europe. À travers un échange intense, chacun a apporté des idées, a proposé des sujets pour le programme et des méthodologies pour le développer. Une préparation « de communion » qui, nous le croyons, laisse augurer le meilleur pour la réussite de l’école. »
Le corps enseignant est formé par des économistes venus d’Argentine, d’Équateur, de Suisse et d’Italie. Les entrepreneurs qui adhèrent au projet de l’économie de communion ne manqueront pas à l’appel et raconteront de quelle façon ils appliquent les valeurs de l’ÉdeC à la gestion de leur propre entreprise.
La première école d’été se propose d’être un nouveau pivot pour construire le rêve d’une économie de communion qui privilégie la dignité de chaque personne.
Le cardinal Rylko aux focolarini
« Je suis ici non seulement pour des raisons officielles, mais aussi poussé par les besoins du cœur. Pour vous dire à tous un immense merci, au nom de l’Église, pour ce que vous êtes une grande espérance pour l’Église d’aujourd’hui et de demain. » Par ces paroles affectueuses, le cardinal Rylko, président du Conseil pontifical pour les laïcs, s’est adressé aux 1200 focolarini et focolarines qui participaient à la quatrième et dernière retraite spirituelle annuelle, venus de différents pays d’Europe et, pour certains, d’autres continents.
Il a souligné que « le charisme que l’Esprit Saint a donné à Chiara pour l’Église est un trésor à protéger, mais surtout à vivre ». C’est précisément le meilleur moyen, selon le haut prélat, de le protéger, et il rappelle qu’il faut « le vivre à fond, avec passion, enthousiasme et gratitude ».
En évoquant ensuite la lettre apostolique « Novo Millennio Ineunte », dans laquelle Jean-Paul II propose à tous la « spiritualité de communion », il a ajouté : « Quand on parle de communion, on touche le nerf même du charisme de l’unité. » Il a donc invité les personnes présentes à « revivre au cours de ces journées le don de la communion, qui est votre force », et il a mis en évidence la tâche particulière qui incombe aujourd’hui au mouvement : offrir ce don reçu gratuitement à un monde qui apparaît brisé et divisé par la haine.
D’où l’importance de cultiver « une profonde communion avec l’Église universelle, et plus particulièrement avec le successeur de Pierre, le Pape ».
Il a rappelé les paroles adressées par Benoît XVI aux mouvements, en 2006 : « …Je vous demande d’être encore plus des collaborateurs du ministère apostolique universel du Pape, en ouvrant les portes au Christ. »
Conscient que « vous interprétez ces paroles comme le programme de votre vie, dans un élan missionnaire qui va jusqu’aux confins de la terre », le cardinal Rylko a conclu en soulignant que la communion avec l’Église universelle est un fait concret. Ce qui signifie « se faire participants des grands défis que l’Église affronte actuellement », notamment l’intolérance et la persécution des chrétiens dans plusieurs pays du monde.
Après le repas, qui s’est déroulé dans une atmosphère de famille sereine, le cardinal, qui fêtait les 15 ans de son ordination épiscopale, a souhaité se rendre dans la chapelle du centre du mouvement, où repose Chiara, et voir la maison où elle a vécu plus de 40 ans, mais aussi le Centre Chiara Lubich, qui rassemble l’héritage de la fondatrice. Des moments solennels et riches en souvenirs vivants.
“Marilen” Centre for Unity – Oceania
Communiqués de presse 2010
[:it]Scritto inedito di Igino Giordani sulla nonviolenza[:es]Escrito inédito de Igino Giordani sobre la no-violencia
[:it]Maria Voce da Bartolomeo I: incontro d’unità

La présidente des Focolari reçue par le Patriarche de Constantinople
« Deo gratias ! s’est exclamé le Patriarche de Constantinople au terme de l’audience. Deo gratias pour votre amitié, pour votre visite, pour les fruits de votre mouvement, pour la poursuite de cette œuvre de Dieu qui rend gloire à Son nom. » Bartholomée Ier a réservé un accueil chaleureux et solennel à Maria Voce, présidente du mouvement des Focolari, lors de la rencontre qui s’est déroulée ce lundi à 11h00, au Fanar, le siège historique très évocateur du patriarcat orthodoxe. Sa Sainteté a accueilli dans son bureau privé la présidente des Focolari, venue avec les responsables du mouvement pour la Turquie, Angela Caliaro et Carmine Donnici, et les membres des deux focolares d’Istanbul. « Nous sommes douze, comme les apôtres », a fait observer le Patriarche amusé. Le métropolite Apostolos, de l’île de Halki, et le père Dositheos, directeur du bureau de communications du patriarcat, étaient également présents. Dans son message de bienvenue, Bartholomée Ier a rappelé avoir été témoin « de l’estime, de l’affection et de l’admiration que mon prédécesseur, le Patriarche Dimitrios, avait pour vous et pour l’œuvre accomplie par le focolare ». Maria Voce a en effet vécu dans cette ville de 1978 à 1988. C’est au cours de ces années que Bartholomée (alors secrétaire du Patriarche) et Maria Voce se sont connus. « Le focolare unit en particulier les Églises de l’ancienne et de la nouvelle Rome, a-t-il poursuivi. Vous êtes aujourd’hui tous des collaborateurs enthousiastes du pape Benoît, que nous aimons beaucoup, et de notre modeste personne ». Il a ensuite souligné « les fruits déjà visibles produits par le focolare : de Chiara Lubich à la jeune Chiara Luce, la première des Focolari à avoir atteint le but de la sainteté ». En revenant sur le thème des rapports entre les croyants, Bartholomée Ier a voulu souligner comment, en se fondant sur le simple témoignage de vie, « le dialogue ne reste pas un exercice académique creux et stérile, facilement contestable par ceux qui continuent à s’opposer au dialogue œcuménique et interreligieux ».
Maria Voce a rendu hommage au riche album photographique retraçant les principaux événements, voyages internationaux et rencontres de ses deux premières années et demie de présidence. « J’ai dit aux focolarini que je viendrais à Istanbul pour une seule rencontre, celle avec vous, Sainteté, sans prendre d’autres engagements. » « Comme Chiara », a-t-il aussitôt répliqué. Tous deux, visiblement joyeux, se sont échangé leurs cadeaux dans une vraie ambiance de fête de Noël. Maria Voce a fait savoir qu’elle apportait les salutations, la gratitude et la prière du mouvement du monde entier, parce que tous étaient au courant de ce rendez-vous. « Je sais bien que votre réseau de communication fonctionne toujours », a commenté le Patriarche. « À présent nous vous saluons, Sainteté, parce que vous avez sûrement d’autres engagements. » « Du travail, il y en a toujours, mais ce n’est tous les jours que Maria Voce est ici », a répondu le Patriarche au terme des 55 minutes d’audience. De notre envoyé spécial Paolo Lòriga