Il y a deux ans, j’ai entendu un jeune adulte parler de la pollution des mégots de cigarettes dans la nature et de la façon dont, en tant que jeune entrepreneur, il a essayé de trouver une solution en produisant des cendriers avec le matériau de ces mégots.

La période du coronavirus a interrompu notre activité pendant près d’un an. Sa santé n’a pas permis de s’exposer à la contamination. Mais après avoir entendu parler du projet « DaretoCare », je me suis sentie encouragée à le recontacter. Ainsi, fin septembre, nous sommes sortis à nouveau et nous nous sommes promis une heure par semaine pour faire nos rondes. Sur le chemin, nous rencontrés des personnes qui ont prononcé des mots encourageants comme « Ce que vous faites est un travail vraiment significatif ! » Cela nous motive à continuer. Les rues deviennent propres, nos conversations deviennent profondes et il y a un contact chaleureux avec sa famille. La relation se développe à tel point que nous cherchons une nouvelle perspective dans sa vie : par exemple, un mouvement de jeunes handicapés. Nilsar est une personne très sociable qui a besoin de contacts sociaux : mais en raison de son handicap, il a peu de chances d’y parvenir.
Ce qui a commencé comme un petit acte en faveur de l’environnement est devenu une riche expérience de dialogue interpersonnel, social et culturel.
Claire et Nilsar
