Retour sur la Mariapolis, rencontre d’été des Focolari (10-14.7.24)

 

La note dominante des 4 journées que les 280 personnes présentes ont vécues à la cité-pilote des Focolari à Rotselaar : une atmosphère de famille, une joie simple et profonde bien que le soleil n’ait pas toujours été au rendez-vous, loin de là.

Beaucoup de jeunes familles avec leurs enfants plus ou moins grands, des adultes seuls ou en couple, croyants ou non, chrétiens ou appartenant à d’autres religions, ont formé la mosaïque de la Mariapolis, à la recherche d’authenticité, d’amitié, de sens, de Dieu. Reconnaissants de vivre des moments à saveur d’éternité, ils se sont investis dans ce laboratoire de la fraternité, à travers les rencontres, les approfondissements spirituels, les échanges et les jeux et activités sportives. Le tout à la lumière de la spiritualité de communion des Focolari, basée sur l’Evangile.

Les thèmes : « Appelés à cheminer ensemble – le pardon – construire des ponts, goûter la diversité – vers de nouveaux horizons » ont guidé les quatre jours. Chaque matin un premier moment tous ensemble, et puis selon les tranches d’âge respectives. Des jeux pour les petits, des témoignages de faits quotidiens ou le fil d’or d’une vie pour les ados et les adultes. Et chaque après-midi un même groupe de personnes (par tranche d’âge) se retrouvait pour le partage. Une célébration eucharistique couronnait la journée. Le message récent de Margaret Karram et Jesús Morán aux jeunes réunis au Brésil et dans 50 autres points du monde pour les Genfest (action sociale, festival, formation) était la consigne finale donnée à tous : prendre soin les uns des autres, prendre soin de la planète et de la société.

Les paroles suivantes ont été le plus souvent indiquées pour synthétiser la Mariapolis de cette année : rencontre, famille, partage, joie, les copains, cool, unité. Une ado : « La Mariapolis est toujours cool. Il n’y a pas de stress ». Un jeune adulte : « Merci pour la famille que vous êtes » ! Et encore : « L’autre, l’autre est ma joie, mon espérance ». « La rencontre, à partir du premier moment, également avec Dieu, avec Jésus au milieu de nous ». « C’est ma première Mariapolis. Je suis arrivée ici chez moi, à la maison. »

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