Movimento dei Focolari

Argentina, prima “Summer School” Economia di Comunione

« En construisant notre rêve » est la devise qui accompagne le logo de la première « Escuela de Verano EdC » destinée aux jeunes entrepreneurs ou qui aspirent à le devenir, une formation organisée à la cité-pilote Lia (Buenos Aires, Argentine). La devise choisie exprime l’idée de cette école, qui a germé en juillet dernier lors du congrès sur l’économie de communion (ÉdeC) à Santa Cruz, en Bolivie. À cette occasion, la participation de nombreux jeunes qui demandaient des pistes pour construire des entreprises « de communion », a fait naître le désir d’organiser une école d’été pour les jeunes d’Amérique latine. Un rêve qui est en train de se réaliser.

En Argentine, l’école a été conçue pour un maximum de 40 participants, des jeunes de 20 à 35 ans, afin qu’un rapport personnel et profond puisse s’instaurer avec chacun. Des jeunes du Costa Rica, du Mexique, d’Équateur, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, du Chili, du Paraguay, d’Uruguay et d’Argentine ont confirmé leur participation.

Chaque jour, on choisira un thème que l’on envisagera sous différents angles. Parmi les sujets retenus, citons « le sens des charismes en économie », « la réciprocité » et « la gratuité ». Pour chaque thème, on tentera de comprendre comment le mettre en pratique dans la vie de l’entreprise.

« Il n’est pas facile de rendre compte de l’expérience que nous sommes en train de faire, nous  confie un des organisateurs de l’école. Cette expérience se construit avec un groupe réparti sur toute l’Amérique du Sud et aussi en Europe. À travers un échange intense, chacun a apporté des idées, a proposé des sujets pour le programme et des méthodologies pour le développer. Une préparation « de communion » qui, nous le croyons, laisse augurer le meilleur pour la réussite de l’école. »

Le corps enseignant est formé par des économistes venus d’Argentine, d’Équateur, de Suisse et d’Italie. Les entrepreneurs qui adhèrent au projet de l’économie de communion ne manqueront pas à l’appel et raconteront de quelle façon ils appliquent les valeurs de l’ÉdeC à la gestion de leur propre entreprise.

La première école d’été se propose d’être un nouveau pivot pour construire le rêve d’une économie de communion qui privilégie la dignité de chaque personne.

Argentina, prima “Summer School” Economia di Comunione

« En construisant notre rêve » est la devise qui accompagne le logo de la première « Escuela de Verano EdC » destinée aux jeunes entrepreneurs ou qui aspirent à le devenir, une formation organisée à la cité-pilote Lia (Buenos Aires, Argentine). La devise choisie exprime l’idée de cette école, qui a germé en juillet dernier lors du congrès sur l’économie de communion (ÉdeC) à Santa Cruz, en Bolivie. À cette occasion, la participation de nombreux jeunes qui demandaient des pistes pour construire des entreprises « de communion », a fait naître le désir d’organiser une école d’été pour les jeunes d’Amérique latine. Un rêve qui est en train de se réaliser.

En Argentine, l’école a été conçue pour un maximum de 40 participants, des jeunes de 20 à 35 ans, afin qu’un rapport personnel et profond puisse s’instaurer avec chacun. Des jeunes du Costa Rica, du Mexique, d’Équateur, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, du Chili, du Paraguay, d’Uruguay et d’Argentine ont confirmé leur participation.

Chaque jour, on choisira un thème que l’on envisagera sous différents angles. Parmi les sujets retenus, citons « le sens des charismes en économie », « la réciprocité » et « la gratuité ». Pour chaque thème, on tentera de comprendre comment le mettre en pratique dans la vie de l’entreprise.

« Il n’est pas facile de rendre compte de l’expérience que nous sommes en train de faire, nous  confie un des organisateurs de l’école. Cette expérience se construit avec un groupe réparti sur toute l’Amérique du Sud et aussi en Europe. À travers un échange intense, chacun a apporté des idées, a proposé des sujets pour le programme et des méthodologies pour le développer. Une préparation « de communion » qui, nous le croyons, laisse augurer le meilleur pour la réussite de l’école. »

Le corps enseignant est formé par des économistes venus d’Argentine, d’Équateur, de Suisse et d’Italie. Les entrepreneurs qui adhèrent au projet de l’économie de communion ne manqueront pas à l’appel et raconteront de quelle façon ils appliquent les valeurs de l’ÉdeC à la gestion de leur propre entreprise.

La première école d’été se propose d’être un nouveau pivot pour construire le rêve d’une économie de communion qui privilégie la dignité de chaque personne.

Argentina, prima “Summer School” Economia di Comunione

« En construisant notre rêve » est la devise qui accompagne le logo de la première « Escuela de Verano EdC » destinée aux jeunes entrepreneurs ou qui aspirent à le devenir, une formation organisée à la cité-pilote Lia (Buenos Aires, Argentine). La devise choisie exprime l’idée de cette école, qui a germé en juillet dernier lors du congrès sur l’économie de communion (ÉdeC) à Santa Cruz, en Bolivie. À cette occasion, la participation de nombreux jeunes qui demandaient des pistes pour construire des entreprises « de communion », a fait naître le désir d’organiser une école d’été pour les jeunes d’Amérique latine. Un rêve qui est en train de se réaliser.

En Argentine, l’école a été conçue pour un maximum de 40 participants, des jeunes de 20 à 35 ans, afin qu’un rapport personnel et profond puisse s’instaurer avec chacun. Des jeunes du Costa Rica, du Mexique, d’Équateur, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, du Chili, du Paraguay, d’Uruguay et d’Argentine ont confirmé leur participation.

Chaque jour, on choisira un thème que l’on envisagera sous différents angles. Parmi les sujets retenus, citons « le sens des charismes en économie », « la réciprocité » et « la gratuité ». Pour chaque thème, on tentera de comprendre comment le mettre en pratique dans la vie de l’entreprise.

« Il n’est pas facile de rendre compte de l’expérience que nous sommes en train de faire, nous  confie un des organisateurs de l’école. Cette expérience se construit avec un groupe réparti sur toute l’Amérique du Sud et aussi en Europe. À travers un échange intense, chacun a apporté des idées, a proposé des sujets pour le programme et des méthodologies pour le développer. Une préparation « de communion » qui, nous le croyons, laisse augurer le meilleur pour la réussite de l’école. »

Le corps enseignant est formé par des économistes venus d’Argentine, d’Équateur, de Suisse et d’Italie. Les entrepreneurs qui adhèrent au projet de l’économie de communion ne manqueront pas à l’appel et raconteront de quelle façon ils appliquent les valeurs de l’ÉdeC à la gestion de leur propre entreprise.

La première école d’été se propose d’être un nouveau pivot pour construire le rêve d’une économie de communion qui privilégie la dignité de chaque personne.

Argentina, prima “Summer School” Economia di Comunione

« En construisant notre rêve » est la devise qui accompagne le logo de la première « Escuela de Verano EdC » destinée aux jeunes entrepreneurs ou qui aspirent à le devenir, une formation organisée à la cité-pilote Lia (Buenos Aires, Argentine). La devise choisie exprime l’idée de cette école, qui a germé en juillet dernier lors du congrès sur l’économie de communion (ÉdeC) à Santa Cruz, en Bolivie. À cette occasion, la participation de nombreux jeunes qui demandaient des pistes pour construire des entreprises « de communion », a fait naître le désir d’organiser une école d’été pour les jeunes d’Amérique latine. Un rêve qui est en train de se réaliser.

En Argentine, l’école a été conçue pour un maximum de 40 participants, des jeunes de 20 à 35 ans, afin qu’un rapport personnel et profond puisse s’instaurer avec chacun. Des jeunes du Costa Rica, du Mexique, d’Équateur, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, du Chili, du Paraguay, d’Uruguay et d’Argentine ont confirmé leur participation.

Chaque jour, on choisira un thème que l’on envisagera sous différents angles. Parmi les sujets retenus, citons « le sens des charismes en économie », « la réciprocité » et « la gratuité ». Pour chaque thème, on tentera de comprendre comment le mettre en pratique dans la vie de l’entreprise.

« Il n’est pas facile de rendre compte de l’expérience que nous sommes en train de faire, nous  confie un des organisateurs de l’école. Cette expérience se construit avec un groupe réparti sur toute l’Amérique du Sud et aussi en Europe. À travers un échange intense, chacun a apporté des idées, a proposé des sujets pour le programme et des méthodologies pour le développer. Une préparation « de communion » qui, nous le croyons, laisse augurer le meilleur pour la réussite de l’école. »

Le corps enseignant est formé par des économistes venus d’Argentine, d’Équateur, de Suisse et d’Italie. Les entrepreneurs qui adhèrent au projet de l’économie de communion ne manqueront pas à l’appel et raconteront de quelle façon ils appliquent les valeurs de l’ÉdeC à la gestion de leur propre entreprise.

La première école d’été se propose d’être un nouveau pivot pour construire le rêve d’une économie de communion qui privilégie la dignité de chaque personne.

Argentina, prima “Summer School” Economia di Comunione

« En construisant notre rêve » est la devise qui accompagne le logo de la première « Escuela de Verano EdC » destinée aux jeunes entrepreneurs ou qui aspirent à le devenir, une formation organisée à la cité-pilote Lia (Buenos Aires, Argentine). La devise choisie exprime l’idée de cette école, qui a germé en juillet dernier lors du congrès sur l’économie de communion (ÉdeC) à Santa Cruz, en Bolivie. À cette occasion, la participation de nombreux jeunes qui demandaient des pistes pour construire des entreprises « de communion », a fait naître le désir d’organiser une école d’été pour les jeunes d’Amérique latine. Un rêve qui est en train de se réaliser.

En Argentine, l’école a été conçue pour un maximum de 40 participants, des jeunes de 20 à 35 ans, afin qu’un rapport personnel et profond puisse s’instaurer avec chacun. Des jeunes du Costa Rica, du Mexique, d’Équateur, de Colombie, du Pérou, de Bolivie, du Chili, du Paraguay, d’Uruguay et d’Argentine ont confirmé leur participation.

Chaque jour, on choisira un thème que l’on envisagera sous différents angles. Parmi les sujets retenus, citons « le sens des charismes en économie », « la réciprocité » et « la gratuité ». Pour chaque thème, on tentera de comprendre comment le mettre en pratique dans la vie de l’entreprise.

« Il n’est pas facile de rendre compte de l’expérience que nous sommes en train de faire, nous  confie un des organisateurs de l’école. Cette expérience se construit avec un groupe réparti sur toute l’Amérique du Sud et aussi en Europe. À travers un échange intense, chacun a apporté des idées, a proposé des sujets pour le programme et des méthodologies pour le développer. Une préparation « de communion » qui, nous le croyons, laisse augurer le meilleur pour la réussite de l’école. »

Le corps enseignant est formé par des économistes venus d’Argentine, d’Équateur, de Suisse et d’Italie. Les entrepreneurs qui adhèrent au projet de l’économie de communion ne manqueront pas à l’appel et raconteront de quelle façon ils appliquent les valeurs de l’ÉdeC à la gestion de leur propre entreprise.

La première école d’été se propose d’être un nouveau pivot pour construire le rêve d’une économie de communion qui privilégie la dignité de chaque personne.

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Cittadella “Marilen” – Oceania

Breve storia Fino al 1982, ogni continente fuorché l’Australia aveva la sua cittadella, il suo “centro d’unità”. Allora in quell’anno ci siamo dati alla ricerca per trovare il posto migliore per una cittadella per l’Oceania. Abbiamo limitato la ricerca ad una distanza non più di un ora e mezzo da Melbourne, e tutti, anche i nostri amici, cercavano dappertutto un terreno che fosse: bello, poco costoso, vicino alla città e l’aeroporto, facilmente raggiungibile da quelli che vengono dagli altri stati, e dove il comune permetteva lo sviluppo… un posto dove l’anima australiana, nuova zelandese (e delle persone delle isole) possa cantare. Abbiamo guardato tantissimi posti ma nessuna proprietà aveva tutti questi requisiti. Poi nel marzo 1986, una delle pionieri del Focolare, Marilen Holzhauser, è andata in Paradiso. Durante una messa celebrata per lei in focolare, abbiamo chiesto a Marilen di aiutarci a trovare il posto giusto. Quello che è successo era del tutto inaspettato. Un notiziario del 1986 descrive la storia: ‘Un weekend nel marzo 1986, si svolgeva una scuola di Umanità Nuova, insieme a Margaret Linard e Giuseppe Arsì, in un posto chiamato Healesville. C’era tantissima unità fra tutti. Dopo la messa, siamo andati a salutare Padre Gerald Loughnan, il parroco di Healesville, un vecchio amico. Lui aveva un pezzo di terreno di 40 ettari a Greendale, un paesino in campagna, la quale lui una volta aveva pensato di suddividere e vendere un pezzo. Sentivamo che Marilen dal cielo ci aveva ascoltato e che ci indicava la strada. Margaret si ricorda vivamente di come si sono svolte le cose: “Dicevo a padre Loughnan, ‘Ce l’hai ancora quel terreno? Non è che vuoi vendercela?’ Lui ha risposto: ‘Sì, ce l’ho ancora il terreno ma voglio tenerlo per andarci a vivere quando vado in pensione.’ Però il giorno dopo, appena finita la messa, padre Loughnan, ci è corso dietro. Aveva ancora addosso i suoi paramenti che volavano nel vento. Ci ha detto: ‘C’ho ripensato a quello che mi avete chiesto riguarda alla mia terra. V’interessa comprarlo ancora?’ Padre Loughnan ha deciso di tenere per se un lotto di 6 ettari e di vendere a noi il resto. Quale somma voleva per il terreno? Esattamente quello che avevamo in banca attraverso la generosità quelli che condividevano questo stesso sogno! Tutti i nostri che erano coinvolti nel progetto di ricerca durante gli anni precedenti sono stati consultati e invitati a vedere il terreno. Anche quelli che avevano delle riserve per il fatto che non c’era né elettricità, né acqua di città, né telefono, sono stati conquistati a prima vista. L’incanto della Cittadella Marilen cominciava a tessere il suo disegno.

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Comunicati stampa 2010

2011 – 2010 – 2009 – 2008 – 2007 – 2006

30.12.2010 Maria Voce ad Istanbul: visita al Patriarca di Costantinopoli Bartolomeo I
26.09.2010 Beatificazione Chiara Luce Badano (6) La S.Messa di Ringraziamento presieduta dal Card. Bertone. Il Papa in collegamento all’Angelus: “Chiara Badano, una luce per tutti”.
25.09.2010 Beatificazione Chiara Luce Badano (5) – “Chiara Luce – Life Love Light”. 8000 nell’Aula Paolo VI. 12.000 in piazza san Pietro collegata con maxischermo.
25.09.2010 Beatificazione Chiara Luce Badano (4)La S.Messa con rito di Beatificazione al Santuario del Divino Amore.
21.09.2010 Beatificazione Chiara Luce Badano (3) – In arrivo oltre 12.000, in maggioranza giovani, da 70 Paesi dei 5 continenti. Atteso il saluto del Papa all’Angelus.
01.09.2010 Beatificazione Chiara Luce Badano (2) Lo svolgimento degli eventi. Migliaia i partecipanti previsti, soprattutto giovani da più di 40 Paesi dei 5 continenti.
09.06.2010 Chiusura Anno Sacerdotale – Sacerdoti Oggi. Presenti 4000 sacerdoti, diaconi e seminaristi in Aula Paolo VI.
07.05.2010 Chiusura Anno Sacerdotale – “Ars Amoris” sul Curato d’Ars. L’intervento del card. Zenon Grocholewski: “Si tratta di andare alle radici della vita cristiana”
30.03.2010 Chiusura Anno Sacerdotale – Sacerdoti Oggi. Promosso da Movimento dei Focolari e Movimento di Schoenstatt. Uomini di Dio – fratelli tra i fratelli – profeti di un mondo nuovo: testimonianze e contributi artisticI. Aula Paolo VI – 9 giugno 2010.
27.03.2010 Maria Voce nell’ “ora di passione” – Esprime condivisione con il Papa, con la Chiesa e con le vittime degli abusi.
19.03.2010 Chiara Luce Badano (1) – Verrà proclamata Beata sabato 25 settembre a Santuario della Madonna del Divino Amore (Roma).
10.02.2010 Viaggio di Maria Voce in Asia (5) – In Tailandia l’incontro dei vescovi dell’Asia amici dei focolari. Gli interventi di Maria Voce al Simposio cristiano-buddista e all’Università buddista di Chiang Mai.
27.01.2010 Viaggio di Maria Voce in Asia (4) – IV Simposio internazionale cristiano-buddista: “La risposta delle religioni alle sfide del mondo globalizzato“.
20.01.2010 Viaggio di Maria Voce in Asia (3) – Tokyo: intervento nell’Aula Sacra della Risho Kosei-kai. Rinnovato l’impegno nel trentennale cammino di fraternità
15.01.2010 Anno Sacerdotale “Ars Amoris”, Concertheatre sul Curato d’Ars (2). L’arcivescovo Mauro Piacenza “Siate fedeli testimoni dell’amore e dell’unità”.
14.01.2010 Anno Sacerdotale “Ars Amoris”, Concertheatre sul Curato d’Ars. A Castelgandolfo, con l’intervento dell’arcivescovo Mauro Piacenza, Segretario della Congregazione per il Clero.
13.01.2010 Viaggio di Maria Voce in Asia (2) – Il contributo dei Focolari allo sviluppo sociale e spirituale della Corea.
28.12.2009 Viaggio di Maria Voce in Asia (1)Visiterà le comunità del Movimento in 6 Paesi. Ad attenderla importanti appuntamenti per il dialogo col buddismo. –

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Scritto inedito di Igino Giordani sulla nonviolenza

«La non-violenza è, in India, una nobile tradizione. Essa s’incarnò in Gandhi, il quale coi mezzi della non-violenza – disobbedienza civile, marce pacifiche di protesta, non cooperazione, digiuni, ecc. – svegliò in 300 milioni di creature asservite e affamate la coscienza della libertà e le guidò all’indipendenza dell’India e del Pakistan (…) Parte dalla constatazione che sinora la violenza ha dominato la storia umana, la quale, in gran parte risulta un elenco di battaglie, rivoluzioni, aggressioni: così come lo è la cronaca quotidiana, tessuta in gran parte di furti, omicidi, investimenti e scontri. Anche l’epoca nostra è densa di sopraffazioni ai danni della libertà, della verità, del lavoro, della pace, della prosperità. La violenza si annida nel nostro subcosciente. (…) Dove c’è un ordine, si stroncano i più dei delitti; [ma] accanto alla forma truculenta, istintiva, c’è la forma, che potremmo dire, ripensata, civile, fatta di pressioni morali spinte sino al culto della personalità, con imposizioni di riti, dirette a porre il violento in alto, come un Dio, e gli altri, ai piedi, come servi. Chi semina vento raccoglie tempesta. La non violenza non semina vento, di solito. Essa non muove dalla superbia, ma dall’umiltà; non dall’istinto, ma dalla ragione; e vede uomini ed eventi in un arco che sfonda il contingente e attinge l’Eterno. La non-violenza dunque designa una dottrina, una spiritualità, o un metodo d’azione, sopra tutto dei tempi moderni, per vincere l’oppressione politica, il razzismo, la guerra, e ogni male comune, senza ricorrere alla guerra, all’antirazzismo e alla vendetta, ma opponendo vita contro morte, amore contro odio, pace contro guerra, sofferenza contro vessazioni. La non-violenza arresta la spirale della vendetta, importata dalle lotte di classe, di razza, d’ideologia e d’ogni altro tipo: tronca il ciclo del male, poiché la vittima risponde col bene, o almeno non risponde con altro male. Si obietta: – La non-violenza non è utopia, fanatismo, sentimentalismo? Si risponde: – Non è inconsistente un’idea, che riesce a radunare, potenziare e condurre all’indipendenza politica e alla riforma economica una popolazione di 400 milioni d’abitanti [come l’India], scissi da caste, lingue, religioni, distanze. Quale altro ideale sarebbe stato capace d’operare un tal miracolo, in quell’ambiente e in quelle condizioni? Né è una debolezza. Essa s’è dimostrata una forza, il cui impiego esige coraggio. Come diceva il Mahatma Gandhi: “Ci vuole coraggio per resistere alla violenza, bisogna aver vinto la paura.” Chi vince la paura è l’amore, secondo l’insegnamento del Vangelo: Dio è amore e l’amore scaccia il timore». Igino Giordani (altro…)

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

2011 un dono d’amore: gli auguri di Maria Voce

[:it]

Maria Voce – Auguri per 2011«Carissimi tutti che seguite, attraverso questa pagina Web, le vicende del Focolare e della sua vita. Vorrei fare veramente a tutti un carissimo augurio per l’anno nuovo.

Sono di ritorno da una breve sosta a Istanbul, una città ricca di tante diversità. E ho incontrato tante persone veramente diverse: diverse per religione, diverse per appartenenze ecclesiali, ma che mi hanno testimoniato in mille modi il loro amore, ed io ho cercato di ricambiarlo.

E da questo scambio ho visto nascere una grande felicità in loro ed in noi. Per cui penso di poter augurare la stessa felicità a tutti, perché è una felicità che non dipende dall’avere, da tutto quello che si può avere, che poi si può anche perdere, ma dipende dall’essere, da questo essere amore che ho visto in atto.

E quindi vorrei proprio augurare a tutti e impegnarmi insieme con tutti a vivere questo anno nuovo che comincia come un dono d’amore a chiunque ci avvicina, per inondare il mondo di pace e di felicità.

Buonissimo anno a tutte ed a tutti!»  Maria Voce (Emmaus)
[:en]

“Dearest friends who follow the news and life of the Focolare via this website,

I’ve just returned from a short visit to Istanbul, a city rich in diversity. There I met people who are truly diverse: though they  belong to different churches and religions, they gave witness of their love  in a multitude of ways which I reciprocated. This exchange of love made us both experience a lot of joy. I would like to wish the same happiness to everyone because it’s a type of happiness that is not dependent on having, on possessions – since we can lose everything – but rather, it depends on being, on our being love as I witnessed there.

And so I would like to extend best wishes to everyone and to commit myself together with all of you to live this year that’s just beginning as a gift of love for whoever draws near to us, to inundate the world with peace and with joy.

A very Happy New Year to each and every one!”

Maria Voce – Emmaus

[:es]

«Queridísimos todos que siguen, mediante esta página Web, los acontecimientos del Focolar y de su vida. Realmente quisiera hacer llegar a todos los más sentidos augurios para el nuevo año.

Estoy de regreso de un breve viaje a Estambul, una ciudad rica de diversidades. Y he encontrado a muchas personas verdaderamente diversas: diversas por religión, diversas por su pertenencia eclesial. Pero que me han testimoniado en mil modos su amor, y yo he tratado de corresponder.

Y de este intercambio he visto nacer una gran felicidad en ellos y en nosotros. Por eso pienso que puedo augurarles la misma felicidad a todos, porque es una felicidad que no depende del tener, de todo aquello que podamos tener, y que después podemos perder, sino que depende del ser, de este ser amor que he visto en acto.

Y por lo tanto quisiera augurar a todos que nos comprometamos juntos a vivir este año que empieza como un don para cualquier que se nos acerque, para inundar el mundo de paz y felicidad.

¡Feliz año a todas y todos!»

María Voce – Emmaus

[:fr]

«Chers tous, qui suivez sur cette page Web la vie du Mouvement des Focolari, je voudrais vous adresser à tous mes vœux les plus chers pour l’année nouvelle.

Je suis de retour d’un court voyage à Istanbul, une ville riche de ses multiples diversités. J’y ai rencontré des personnes vraiment différentes : différentes par leur religion, différentes par leur appartenance à diverses Églises, mais qui m’ont témoigné leur amour de mille manières et j’ai essayé de faire de même à leur égard. De cet échange, j’ai vu naître un grand bonheur, en eux, et en nous. Je pense pouvoir vous souhaiter à tous le même bonheur, parce que c’est un bonheur qui ne dépend pas de ce que l’on possède, de tout ce que l’on peut avoir mais que l’on peut aussi perdre, il dépend de l’être, de cet « être amour » que j’ai vu en actes.

Je voudrais donc vous souhaiter – et je m’y engage avec vous tous – de vivre cette année qui commence comme un cadeau d’amour pour tous ceux qui nous entourent, pour imprégner le monde de paix et de félicité.

Très bonne année à tous et à toutes ! »

Maria Voce – Emmaüs

[:pt]

«Prezados amigos que por intermédio desta página web acompanham os eventos e a vida do Movimento dos Focolares. Gostaria de chegar realmente a todos, com meus calorosos votos para o novo ano.

Estou retornando de uma breve estada em Istambul, uma cidade rica por suas tantas diversidades. Encontrei pessoas de fato diferentes, pela religião, pela pertença eclesial, mas que de mil maneiras me demonstraram o próprio amor, ao qual procurei retribuir.

E dessa troca vi nascer uma grande felicidade, neles e em nós. Por isso creio que posso desejar a mesma felicidade a todos, porque é uma felicidade que não depende do ter, de tudo o que se pode ter e que, enfim, pode-se também perder, mas depende do ser, deste ‘ser amor’ que vi realizado.

Portanto, é o que quero desejar a vocês, e comprometer-me com todos a viver este ano que inicia como uma dádiva de amor a qualquer pessoa que se aproxime de nós, para inundar o mundo de paz e de felicidade.

Feliz Ano Novo a todas e a todos!»

Maria Voce – Emmaus

[:zh]

親愛的各位網友:

您們藉著我們運動的網頁,關注在普世博愛運動內所發生的事情與生活。我衷心地祝賀每一位網友新年快樂!

我剛從伊斯坦堡經過短促的探訪後回來。伊斯坦堡是一個多元化與充實的城市。我與許多在各方面的確很不相同的人士見面,例如不同的宗教;或隸屬於不同 的教會,然而,他們都以無數的方式向我見證他們的愛,而我也嘗試以愛還愛。恰恰在這種互相的交流中,我發覺到在他們內與我們心中都衍生一份莫大的喜樂。為 此,我相信可以祝賀大家也獲得同樣的快樂,因為這種快樂不在乎擁有,不在乎一切可以擁有但也可能會失去的事物。相反,這種快樂在乎我們的本質,即成爲愛的 生活,那份我親眼目睹已在蔓延的愛。

為此,我真的願意祝賀每一位,並催迫自己與所有人這樣開始新一年的生活,成為身邊任何人的『一份愛的禮物』,讓世界洋溢和平與快樂。

祝各位新年進步,美滿幸福!

傅瑪利(Emmaus)

[:de]

Ihr Lieben, die Ihr der Fokolar-Bewegung nahe steht, Euch allen meine besten Wünsche für das neue Jahr.

Ich bin gerade aus Istanbul zurückgekehrt, einer Stadt voller Verschiedenheiten. Ich bin vielen unterschiedlichen Menschen begegnet: sie gehörten verschiedenen Religionen und verschiedenen christlichen Kirchen an, und auch ihre Liebe brachten sie mir auf vielfache Weise zum Ausdruck. Ich habe versucht, mit meiner Liebe darauf zu antworten. Aus diesem Wechselspiel entstand ein großes Glück für uns alle. Dieses Glück wünsche ich auch Euch, es hängt nicht vom Haben ab – man kann sehr schnell verlieren, was man hat – sondern vom Sein. Das Glück, das jemand empfindet, der liebt.

Mit Euch allen möchte ich dieses Jahr als Geschenk der Liebe leben, für jeden der uns begegnet, um die Welt mit Frieden und Glück zu erfüllen.

Ein gutes neues Jahr Euch allen!

Maria Voce

[:ot]

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Focolare Maghreb

I Focolari sono presenti in tutti i paesi del Nord-Africa (Maghreb). In Algeria i focolarini sono arrivati nel 1966 a Tlemcen, nell’ovest del paese, mentre le focolarine vivono nella capitale, Algeri dal 1967. Le persone che cercano di vivere questo spirito di fraternità sono presenti oltre queste due città ad Orano, Sidi Bel Abbès, Béni Abbès e altre località del Centro del paese. L’esperienza di fratellanza universale vissuta è un contributo a ricomporre l’unità della famiglia umana. La “Regola d’oro”, presente nell’islam e nelle altre religioni, “Fai agli altri cio’ che vorresti fosse fatto a te”, è messa in pratica prima di ogni altra cosa e serve da fondamenta ai rapporti tra tutti; ciò comporta quell’amore che suscita un fecondo “dialogo della vita” con ogni musulmano che si incontra. Un dialogo intessuto di piccoli gesti d’amore, di attenzione all’altro, di rispetto, di ascolto. Un dialogo che frutta rapporti profondi, e induce a fare altrettanto chiunque avvicina. E’ stato quest’amore al fratello, concreto, incisivo, che ha contributo alla formazione di una comunità nella quale l’amore e il rispetto prevalgono sulle differenze di cultura, tradizioni e religione. I Focolari vivono anche a servizio delle comunità cristiane della chiesa cattolica, partecipando in diversi modi alle sue attività pastorali e caritative. (altro…)

Dossier: il 2° anniversario di Chiara

INIZIATIVE NEL MONDO E IN ITALIA

Scheda-sintesi

Servizio TG1 – ore 8.00 16.03.2010 Servizio TG2 Storie  – ore 23.30 27.03.2010 Servizio GR Radio Vaticana 14.03.2010 Intervista a Maria Voce (trascrizione )

Italia Milano Semi di fraternità per un mondo più unito Convegno Palazzo Marino – 17.03.2010 Comunicato stampa Intervento di Maria Voce Rassegna stampa

Roma Comunicato stampa S.Messa celebrata da S.E. mons. Gianfranco Ravasi Basilica S.Giovanni in Laterano – 13.03.2010 (leggi omelia ) Rassegna stampa

“Chiara una vita per l’unitàConvegno Campidoglio14.03.2010 Programma Intervento di Maria Voce Registrazione da internet Comunicato stampa finale Rassegna stampa

“Come in cielo così in terra” Convegno Pontificia Università Urbaniana – 20.03.2010 Invito

Incontro per ambasciatori e personalità del mondo diplomatico Palazzo Borromeo, Ambasciata d’Italia presso la Santa Sede – 14.04.10 Chiara Lubich , testimone della speranza (da Osservatore Romano 16.04.10)

Tavola rotonda “Chiara Lubich: la cultura come dialogo” Spettacolo “L’attrattiva del tempo modernodi Arsmovendi Teatro Palladium  – 15.04.10 Iniziative culturali promosse dal Gruppo editoriale Città Nuova, in occasione del 50° dell’inizio delle attività della Casa Editrice Chiara, la cultura come dialogo (da Avvenire – Roma sette 18.04.10)

Trento Chiara Lubich da Trento al mondo: l’impatto di una storia Convegno Internazionale Università di Trento – 25/26.02.2010 Programma Registrazione video integrale del Convegno Rassegna stampa

Novità editoriali nel mondo (scheda )

Schede Chiara Lubich Movimento dei Focolari Maria Voce Economia di Comunione Chiara Lubich e l’Imam W.D. Mohammed Nel cuore dell’Africa: Fontem, un popolo nuovo

Foto album fotografico su Chiara Lubich conferimento cittadinanza onoraria di Roma a Chiara Lubich conferimento cittadinanza onoraria di Milano a Chiara Lubich

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Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Dossier: Anno sacerdotale 2010

“Sacerdoti oggi” – A chiusura dell’Anno Sacerdotale – 9 giugno 2010 Invito Comunicato Stampa n°1 Comunicato Stampa n°2 – finale Programma www.sacerdotioggi.org Rassegna stampa: Osservatore Romano – 10.06.2010 Il sacerdote “uomo del dialogo” 6-8 novembre 2009 – Simposio teologico internazionale promosso dall’Istituto Universitario “Sophia” e dal Movimento Sacerdotale del Movimento dei Focolari Comunicato stampa finale Pensiero del giorno

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Buon Natale 2010

Dio ci ha amati fino a farsi uno di noi. Che Egli dilati il nostro cuore sulla misura del Suo per renderci capaci di portare nel mondo una nuova irruzione di amore e di pace. Questa la mia preghiera ed il mio augurio a ciascuno per le prossime feste di Natale. Maria Voce (Emmaus) (altro…)

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

A crowd of saints

Chiara Lubich during the 40's

Against a backdrop of insecurity that was created by the War, and the dazzling brightness of God’s light that manifested Him to Chiara for what he is – Love, Chiara finds a way forward with some help from Saint Paul:


“I heard again today about lives cut short in their prime.

It’s God who calls hearts. Consider the reason for your life!

Don’t find yourself at Heaven’s Door with anguish in your heart because you cannot start over again.

You only live once and only for a short while.

Do you know the reason for life?

You live to Love!

If the Lord allows you a last breath here below, give it all for Him!

Don’t turn back!

Yesterday I was nostalgically thinking of the time that I’ve lost, the sins, the omissions – all the ugliness there was.

And things became cloudy for you and me.

But just yesterday such a vibrant new light opened my soul to hope. Saint Paul, who put so much fire into our heart, says: “Brothers, I do not consider myself yet to have taken hold of it. But one thing I do: Forgetting what is behind and straining toward what is ahead, I press on toward the goal to win the prize for which God has called me heavenward in Christ Jesus” (Philippians 3:13-14). And this is the word of God, the word of the Spirit of Love.The same for us, my little sister!

Forward! It’s our battle cry! Everything crumbles, everything lessens . . . but only what is not eternal falters!

Your soul is immortal! The word of God is eternal – the Word of God, which for us is love – especially as he shows us the vanity of all things. Then it’s forward for us too without ever looking back!

Pressing into His Heart that He might close us within his Wound and we might look at the world from there.

Jesus in our heart: and throw into thousands and millions of hearts an endless desire to love Love more than He could be loved by all the hearts in the world!

What a crowd of saints!

What a Paradise on earth for the Abandoned Love!

Forward!

May the Blessed Virgin change our willingness into reality!”                         

(Version published in “Lettere dei primi tempi”, Citta Nuova Ed, Roma, 2010, pp. 83-84)

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Igino Giordani – Note biografiche

Igino Giordani nasce a Tivoli, nel 1894, da una famiglia di umili origini, profondamente cattolica, che non può assicurargli degli studi regolari, e lo avvia al lavoro manuale. Ma il piccolo Igino si fa notare per intelligenza, e il ricco uomo per cui lavora, commosso dal suo acume, gli paga gli studi in Seminario, dove Igino non studierà per diventare sacerdote ma per essere uno dei più brillanti diplomati di quel tempo. Al completamento delle scuole, scoppia la Prima Guerra Mondiale, e Igino la trascorre in trincea. Non spara neanche un colpo contro il nemico, perché il cristianesimo vieta di uccidere, e per questa sua scelta coraggiosa rimane gravemente ferito. Fra gli ospedali militari, si laurea in Lettere e Filosofia. Si sposa nel 1920, con la moglie Mya ha 4 figli, e comincia a lavorare per il neonato partito politico cristiano italiano, fondato da Luigi Sturzo. Il regime fascista distrugge le libertà e i diritti, e anche Igino è perseguitato. In questo periodo, sono famosi alcuni suoi scritti di denuncia delle violenze fasciste. Dopo un soggiorno negli Usa, rientra in Italia e diventa direttore di un ramo della Biblioteca Vaticana. Da lì, dirige anche la rivista Fides, assai diffusa negli ambienti cattolici di tutto il mondo.  È fra coloro che preparano la rinascita del partito cattolico dopo il fascismo, la Democrazia Cristiana, e viene eletto in Parlamento nelle prime elezioni dopo la fine della Seconda Guerra Mondiale. Il 1948 è l’anno decisivo per la sua vita: ha 54 anni, è un uomo affermato in campo politico e culturale, e incontra Chiara Lubich, una signorina di 28 anni in cui lui riconosce una ispirazione spirituale straordinaria. Aderisce pienamente al Movimento dei Focolari e al fianco di Chiara ricopre un ruolo importante per la costruzione del Movimento e l’approfondimento spirituale della dottrina, al punto da essere più volte designato da Chiara come confondatore. In particolare, il rapporto d’unità spirituale con la fondatrice è all’origine di quell’intenso periodo mistico di Chiara noto come “Paradiso ‘49”. Decisiva è poi la visibilità del suo profilo umano che agli occhi di Chiara si traduce nella conferma che l’ideale di unità è fatto per tutti, è un dono per l’umanità intera. In particolare, Igino è il primo focolarino sposato del Movimento dei Focolari. Intanto, per alcune sue scelte politiche coraggiose (il pacifismo e l’unità nonostante le differenze ideologiche, innanzitutto), avanzate in Parlamento, viene considerato un democristiano troppo fuori dagli schemi, e per questo non verrà rieletto. È il momento per dedicarsi di più al Movimento dei Focolari, per intervenire nel dibattito nella Chiesa avanzando tesi che saranno recepite nel Concilio Vaticano II (soprattutto attorno alla missione dei laici). Diventa direttore della neonata rivista Città Nuova (1959), dal 1961 venne posto alla guida del Centro Uno, organismo del Movimento dei Focolari che si occupa dell’ecumenismo. Nel 1965 fu nominato presidente dell’istituto internazionale Mystici corporis a Loppiano. Dopo la morte della moglie e col consenso dei figli, visse gli ultimi sette anni della sua vita in un “focolare”. Lascia questa terra il 18 aprile 1980. Attualmente, è in corso la sua causa di canonizzazione. Introduzione alla bibliografia Igino Giordani è un intellettuale difficilmente etichettabile: non potremmo dirlo pensatore politico, o giornalista, o studioso di letteratura cristiana antica, o agiografo, o storico, con l’ambizione di essere riusciti a spiegare sufficientemente i suoi talenti. Era animato da grandi passioni e spronato alla vita pubblica da una molteplicità di interessi. È stato detto che «scrivere per lui è vivere», per cui una lettura della figura di Giordani può (quasi) agevolmente passare per l’analisi dei suoi scritti. Si possono contare circa un centinaio di volumi firmati, e più di 4000 articoli di giornale. Per informazioni:  Centro Igino Giordani, email (altro…)

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Una questione sociale da risolvere

«In fondo alla crisi contemporanea agisce una potente istanza d’unificazione”: con queste parole profetiche del 1954, Igino Giordani indica nell’esercizio quotidiano dell’amore reciproco la via maestra per la ricostruzione del tessuto sociale. «C’è una questione sociale da risolvere, perché c’è una questione della carità da praticare. E la carità è il sentimento per cui nell’uomo si vede il fratello; anzi, nell’uomo si vede Dio per immagine: quasi un uomo Dio mistico, innalzato dalla redenzione. Si parla del popolo che abbandona le chiese. Ma questo può anche essere conseguenza della carità che non ha agito, della fraternità rimasta nel messale, dell’immagine di Dio oscurata da un pratico ateismo. Dove manca l’amore, è da domandarsi se sia il popolo che ha abbandonato le chiese o se siano le chiese che hanno abbandonato il popolo. Dico le chiese, non la Chiesa, la quale è essa stessa il popolo, – il popolo di Dio, – e non può abbandonare se stessa. Se dei poveri si sono allontanati, la Chiesa non può allontanarsi da se medesima, popolo di poveri, di cui anche i ricchi son parte se si fanno poveri nello spirito, facendo dell’uso della ricchezza un ministero della carità. Talora, dove i cristiani hanno dimenticato il prossimo, raggrumando la fede nel sarcofago del loro sé, staccata dalle opere e così asfissiata, i fratelli più deboli, non sentendo la carità, hanno smarrito il senso di Dio, che è carità, e ama incarnarla, questa carità, nelle opere degli uomini, fatti per il loro servigio sociale banditori e portatori di Dio. «Hai la carità, hai la Trinità», diceva il grande Agostino. Dove non si sono amati i fratelli, il tessuto connettivo s’è liso, e quelli si sono distaccati». I. Giordani, Il Fratello, 1954 Il volume  Il Fratello”, da cui questa pagina è stata tratta, è di prossima ristampa nella collana Opere Vive di Città Nuova editrice. www.iginogiordani.info (altro…)

Seoul

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Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

I giovani sudcoreani, un capitale sociale per il Paese

«Corea del sud. Un Paese condizionato dai rapporti con gli USA, con i vicini Stati asiatici (Cina e Giappone) e con la Russia. E poi dalla questione nord coreana, con le più recenti tensioni create dal governo di Pyongyang, che sembrano mettere in seria discussione il regime armistiziale in vigore dalla fine dei combattimenti della Guerra di Corea. Come tutti i Paesi industrializzati, la Corea del sud non è sfuggita agli effetti negativi sull’economia reale della crisi internazionale. Ma il Paese sembra reggere bene alla crisi e la sensazione che si prova visitandolo è che, nel confronto con gli altri Paesi più industrializzati, vi sia un benessere diffuso: la disoccupazione non fa registrare punte preoccupanti e la povertà appare contenuta. Stupisce (favorevolmente), per un europeo, non assistere alle scene drammatiche e consuete dalle proprie parti: niente mendicanti per le strade, nessuno a frugare nei cassonetti dei rifiuti alla ricerca di cibo,…Visitando uno dei palazzi reali, una guida volontaria ci illustra con competenza e con passione ogni particolare per due ore: alla fine non solo non ci chiede alcuna mancia, ma  si offre di guidarci anche l’indomani per una visita ad un altro palazzo! Tutto bene, allora? Un dato impressionante ci riporta ad una cruda realtà. La prima causa di morte, nella fascia d’età 20-40 anni, è data dai suicidi: uno ogni mezz’ora. Più degli incidenti stradali, più del cancro. Un primato mondiale negativo che la Corea del Sud ha sottratto da qualche anno all’Ungheria. Un dato allarmante che interpella anche il mondo politico sudcoreano. Il Parlamento ha allo studio progetti di legge che possano intervenire sul piano della prevenzione dei suicidi giovanili. In questa prospettiva, sotto gli auspici dell’Assemblea Nazionale, il Political Forum for Unity – il gruppo di ricerca parlamentare promosso dai deputati che aderiscono al Movimento politico per l’unità dei Focolari – ha dato vita ad una Scuola di formazione politica rivolta ai giovani di Seoul, che ha visto la partecipazione di 26 studenti (età media 22 anni). Sabato 27 novembre, si è svolta la cerimonia conclusiva del primo ciclo, con una lezione tenuta dalla prof.ssa Ahn Myong Och, dal titolo “La politica dell’amore, per la risoluzione dei conflitti”, cui ha fatto seguito un protocollo ufficiale per la consegna degli attestati, alla presenza dei professori (alcuni dei quali insegnano in atenei all’estero – a Mosca o a Tokyo – e che non hanno voluto mancare a questo appuntamento). Le impressioni raccolte fra i giovani partecipanti alla Scuola testimoniavano la speranza di un autentico capitale sociale per il Paese. “Vorrei proprio che questo seme fiorisca”; “ho compreso che ogni mia scelta è un atto politico”; “questa nuova visione della politica può portare la felicità a tanti”; “ho capito che i conflitti si possono risolvere con l’amore e con il dialogo”; “ho scoperto che cos’è la vocazione alla politica: una chiamata che riguarda tutti”; “la politica non deve poggiare solo sulle spalle dei politici di professione ma anche sulle mie”; “dovunque andrò in futuro, io sarò un ‘politico’, cioè avrò lo spirito giusto per essere un cittadino attivo”; “in questa Scuola ho capito che è proprio possibile vivere la fraternità in politica, anche in questo clima di tensione in Corea”. E’ inusuale vedere volti sorridenti di giovani che si accostano alla politica. Qui c’erano». di Marco Fatuzzo (Mppu) Corea del Sud, avere fiducia (altro…)

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Christopher, con un sorriso ti trasformava la vita

“La vita di Christopher mi fa ricordare quella di Chiara Luce”. Così si esprime Francisco del Panama, che ha partecipato in Italia alla cerimonia di beatificazione della giovane italiana. E aggiunge: “Entrambi erano giovani, semplici e con una vita normale, ma cercavano Dio in tutte le cose. Due giovani che donavano Dio a tutti coloro che incontravano e che, con un sorriso, ti trasformavano la vita”.  Christopher Amaya era nato in Costa Rica. Aveva solo un anno quando, nel 1994, la sua famiglia si è trasferita in Panama, nazione che diventerà per loro una seconda patria. I genitori si sono separati quando era ancora piccolo e, nonostante la situazione lo facesse soffrire, è diventato un punto di riferimento per entrambi. Dopo aver conosciuto la spiritualità dei Focolari, e compreso come dietro ogni dolore c’è una presenza di Gesù nel massimo della sua sofferenza, quando in Croce grida l’abbandono, Christopher capisce che questa situazione dolorosa in famiglia è il “suo” particolare volto di Gesù Abbandonato.   Il Progetto Dare, all’interno della sua scuola, è stato per lui il modo di conoscere il Focolare e Chiara Lubich, la fondatrice del Movimento. Diventato ben presto un leader di questa attività che promuove la cultura del dare e i valori della pace e solidarietà, comincia a inserirsi con i gen3. Stabilisce un rapporto personale con Chiara, considerandola madre e amica, una persona di cui fidarsi per capire la verità. Un giorno, mentre viveva un momento difficile in famiglia, ha confidato: “Mia madre Chiara mi ha insegnato a perdonare ed amare veramente”. Spesso parlava della sua vita e delle sue scelte con gli altri gen, perché sentiva che con loro poteva sperimentare la presenza di Gesù, secondo la sua promessa “Dove due o più sono riuniti nel mio nome, io sono in mezzo a loro” (Mt. 18,20). Fra questi discorsi profondi, anche quello in cui confidava che Dio lo chiamava a seguire Gesù lasciando tutto, anche se ancora non sapeva come. Christopher partecipava attivamente nella sua parrocchia e negli ultimi mesi si era dato da fare per unire le varie realtà giovanili. Tanti ragazzi lo ricordano come uno che gettava ponti tra i vari gruppi parrocchiali, in modo da costruire l’unità tra tutti. Quest’anno era stato scelto per partecipare nella guardia d’onore, un privilegio che le scuole concedono solo ai migliori alunni: durante le feste patrie si indossa la fascia tricolore scortando la bandiera del Panama. Christopher è stato ucciso prima di poter partecipare alle sfilate, ma i compagni hanno voluto che fosse ugualmente presente, portando uno striscione con la sua foto e uno slogan contro la violenza. «Posso testimoniare il suo sì a Dio – racconta Sharlin, una sua amica – e assicurarvi che fino all’ultimo ha amato; perché, chi di noi, con una ferita nel petto, avrebbe detto alla mamma “stai tranquilla, non ti spaventare”?» Tanti i messaggi arrivati ai suoi funerali da diverse parti del mondo. La mamma commentava: “Sono felice, perché mi rendo conto di quanto mio figlio sia stato buono e che quanto lui ha seminato continuerà in tutti coloro che lo hanno conosciuto e che seguiranno il suo esempio di vita”. (altro…)

dicembre 2010

La domanda di Maria, all'annuncio dell'Angelo: "Com'è possibile questo?"  ebbe come risposta: "Nulla è impossibile a Dio" e, a riprova di ciò, le venne portato l'esempio di Elisabetta, che nella sua vecchiaia aveva concepito un figlio. Maria credette e divenne la Madre del Signore.
Dio è onnipotente: questo suo nome si incontra frequentemente nella Sacra Scrittura ed è usato quando si vuole esprimere la potenza di Dio nel benedire, nel giudicare, nel dirigere il corso degli eventi, nel realizzare i suoi disegni.
C'è un solo limite all'onnipotenza di Dio: la libertà umana, che si può opporre alla di lui volontà rendendo l'uomo impotente, mentre sarebbe chiamato a condividere la stessa forza di Dio.

"Nulla è impossibile a Dio"

[…] E' una Parola che ci apre ad una confidenza illimitata nell'amore di Dio-Padre, perché, se Dio è e il suo essere è Amore, la fiducia completa in lui non ne è che la logica conseguenza. 
Tutte le grazie sono in suo potere: temporali e spirituali, possibili e impossibili. Ed egli le dà a chi le chiede e anche a chi non chiede, perché, come dice il Vangelo, egli, il Padre, "fa sorgere il suo sole sui cattivi e sui buoni"  e a noi tutti chiede di agire come lui, con lo stesso amore universale, sostenuto dalla fede che:

"Nulla è impossibile a Dio"

Come vivere dunque questa Parola nella vita di ogni giorno?
Noi tutti dobbiamo affrontare di quando in quando situazioni difficili, dolorose, sia nella nostra vita personale, sia nei rapporti con gli altri. E sperimentiamo a volte tutta la nostra impotenza perché avvertiamo in noi degli attaccamenti a cose e persone che ci rendono schiavi di legami da cui vorremmo liberarci. Ci troviamo spesso di fronte ai muri dell'indifferenza e dell'egoismo e ci sentiamo cadere le braccia di fronte ad avvenimenti che sembrano superarci.
Ebbene, in questi momenti, la Parola di vita può venirci in aiuto. Gesù ci lascia fare l'esperienza della nostra incapacità, non già per scoraggiarci, ma per aiutarci a capire meglio che "nulla è impossibile a Dio"; per prepararci a sperimentare la straordinaria potenza della sua grazia, che si manifesta proprio quando vediamo che con le nostre povere forze non possiamo farcela.

"Nulla è impossibile a Dio"

Ripetendoci questo nei momenti più critici, ci verrà dalla Parola di Dio quell'energia che essa racchiude in sé, facendoci partecipare in qualche modo della stessa onnipotenza di Dio. Ad un patto, però, e cioè che si viva la sua volontà, cercando di irradiare attorno a noi quell'amore che è deposto nei nostri cuori. Così saremo all'unisono con l'Amore onnipotente di Dio per le sue creature, al quale tutto è possibile, ciò che concorre a realizzare i suoi piani sui singoli e sull'umanità.
Ma c'è un momento speciale per poter vivere questa Parola e per sperimentarne tutta l'efficacia: è nella preghiera.
Gesù ha detto che qualsiasi cosa chiederemo al Padre in nome suo egli ce la concederà. Proviamo dunque a chiedergli ciò che ci sta più a cuore con la certezza di fede che a lui nulla è impossibile: dalla soluzione di casi disperati, alla pace nel mondo; dalle guarigioni da malattie gravi, alla ricomposizione di conflitti familiari e sociali.
Se poi siamo in più a chiedere la stessa cosa, in pieno accordo per l'amore reciproco, allora è Gesù stesso in mezzo a noi che prega il Padre e, secondo la sua promessa, otterremo.
Con tale fede nell'onnipotenza di Dio e nel suo Amore, anche noi chiedemmo un giorno per N. che quel tumore, visto su una radiografia, "scomparisse", quasi fosse un errore o un fantasma. E così avvenne.
Questa fiducia sconfinata che ci fa sentire nelle braccia di un Padre al quale tutto è possibile, deve accompagnare sempre le vicende della nostra vita. Non è detto che otterremo sempre ciò che chiederemo. La sua è l'onnipotenza di un Padre e la usa sempre e soltanto per il bene dei suoi figli, che essi lo sappiano o no. L'importante è vivere coltivando la certezza che a Dio nulla è impossibile e questo ci farà sperimentare una pace mai provata.

Chiara Lubich

Parola di vita, dicembre 1999, pubblicata in Città Nuova, 1999/22, p.7.

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Da Ascoli a Catamarca, premio Chiara Lubich per la Fraternità

Umbria, Veneto e Sicilia sono le regioni che ospitano i progetti premiati dalla seconda edizione del premio Chiara Lubich per la Fraternità. Sguardo che si è allargato al mondo con il premio internazionale alla città di Catamarca, e alla lotta alla criminalità con la menzione speciale per il comune di Pollica. La consegna dei premi a tre territori italiani si è svolta alla presenza di autorità civili e religiose, numerosi sindaci e cittadinanza. Premiati il comune di Massa Martana, unitamente ai comuni di Deruta, Montefalco e Spoleto, per il progetto Città in rete in terra d’Umbria; il comune di Marsala, per un progetto di sviluppo di reti tra i cittadini, e al terzo posto il progetto di tre comuni del Berice vicentino, Castegnero, Longare e Nanto, con una nuova associazione che sviluppa forme di intervento per emergenze ambientali e di povertà. Incisivo l’intervento di Daniela Ropelato, docente di Scienze sociali dell’Istituto Sophia e rappresentante dell’Mppu internazionale, su “Partecipazione, città, fraternità”. Temi di grande attualità e di difficile attuazione. Traccia con passione alcuni spunti: ascolto delle istanze dei giovani; equilibrio tra diritti individuali e bene comune; gestione partecipata del territorio; responsabilità dei politici e dei cittadini. Nell’edizione precedente era stata premiata la città ospitante, Ascoli, per il coinvolgente progetto “Amo la mia città”. Ed è proprio la sala consiliare medievale del palazzo del Comune ad accogliere la seconda assemblea annuale dell’associazione Città per la Fraternità, promotrice dell’iniziativa. L’associazione, ideata  nel 2008, raduna  una settantina di comuni di Italia che si ispirano alla categoria della fraternità nell’agire politico. Le novità di quest’anno: la consegna di un premio speciale al Comune di Pollica, in rispettoso omaggio ad Angelo Vassallo, il suo “sindaco martire, che ha dato la vita per la sua gente”; e un premio internazionale alla città di Catamarca (Argentina), per il suo impegno nel campo dell’educazione delle fasce più emarginate della società, attraverso i progetti di sostegno scolastico sparsi nel suo territorio.  L’assemblea dell’Associazione Città per la Fraternità, inoltre, ha promosso l’idea di “regionalizzare” la loro azione, con incontri  periodici delle città aderenti di una stessa regione, con l’obiettivo di coordinare e così rendere più efficace il loro agire sul territorio. Da Ascoli a Catamarca,  o dagli Appennini alle Ande, dato che la città del travertino si trova circondata dalle montagne appenniniche e Catamarca sorge ai piedi delle Ande del nordovest argentino. Tutte città legate da un filo ideale, quello dei valori di fraternità proposti da Chiara Chiara Lubich per l’agire in politica, “l’amore degli amori”, come le piaceva definirla. Il premio internazionale è stato un chiaro segnale di apertura verso il mondo, con la convinzione dei Comuni associati, che – dopo aver agito con efficacia nella risposta ai bisogni del comune territorio – “una città non basta”, riprendendo ancora l’idealità di Chiara Lubich aperta alla fraternità universale. Su Città Nuova leggi anche: 75 comuni per la fraternità (altro…)

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Corée, la politique qui plaît au peuple

« Il faudrait bannir les préjugés en se disant que même la partie adverse peut proposer quelque chose de bien. » Maria Voce avait introduit par ces mots sa réponse à la question des 4 députés du parlement coréen qu’elle avait rencontrés au début de l’année 2010, lors de son voyage en Corée.

Un an après, faisons le bilan du chemin parcouru. L’occasion nous en est donnée grâce à un autre voyage, celui de Marco Fatuzzo, président du Mouvement politique pour l’unité (MPPU) international, et grâce à deux manifestations publiques prévues ces jours-ci : un séminaire au parlement le 25 novembre, intitulé « La politique qui plaît au peuple », et la conclusion de l’école de formation politique pour les jeunes de Corée, le 27 novembre.

Faisons un retour en arrière pour mieux comprendre le contexte dans lequel nous évoluons.
Depuis quelques années, un groupe de recherche parlementaire, composé de députés de différentes tendances politiques, s’est constitué au parlement de Corée du Sud, une assemblée monocamérale. Il réunit des représentants aussi bien de la majorité que de l’opposition, appartenant à différentes religions et cultures : des chrétiens de diverses confessions, des bouddhistes, des won-bouddhistes, des confucéens, des taoïstes et des personnes ne se réclamant d’aucune religion.

Un groupe qui a grandi avec le temps et compte aujourd’hui environ 30 membres. Il a pris le nom de « Forum politique MPPU », dans la mesure où il se reconnaît dans la catégorie politique de la fraternité promue par le MPPU comme le modèle fondamental de sa pensée politique.

Ces groupes de recherche parlementaire bénéficient de financements pour leur activité et sont donc tenus de rédiger un rapport annuel pour le parlement. L’année passée, ils ont présenté au parlement un rapport copieux et fourni, de 80 pages, à la suite duquel l'Assemblée nationale a décidé d'attribuer un prix au « Forum politique MPPU », élu meilleur groupe de recherche parmi 60 concurrents. Il était récompensé pour « avoir contribué, en encourageant la fraternité, à améliorer les relations au sein du parlement ».

Parmi les initiatives lancées par le « Forum », il y eu également la présentation d’un projet de loi sur la « purification du langage » employé au parlement, qui prévoyait l’exclusion, dans la communication politique, des termes jugés offensants pour la dignité des adversaires.

Le séminaire « La politique qui plaît au peuple », organisé par le « Forum », débutera par deux interventions. La première, de Marco Fatuzzo, aura pour thème « Fraternité et politique : utopie ou possibilité ? », et la seconde, du parlementaire Won Hee Ryong, portera sur les activités du MPPU en Corée. Elles seront suivies par une table ronde à laquelle participeront 5 députés.

Le prix remis en mars dernier par l'Assemblée nationale prévoyait aussi une reconnaissance en argent, que le « Forum » a souhaité destiner à la création et au soutien à une école du MPPU pour la formation politique des jeunes à Séoul, où la fraternité est ce qui unit les différentes disciplines d’étude. Le 27 novembre aura lieu la session finale de la première école de formation, à laquelle ont participé 27 personnes, avec le cours de clôture et la remise des attestations.

Il cardinale Stanislaw Rylko dai focolarini

Famiglia, soggetto di evangelizzazione

Nuova visibilità alla famiglia, protagonista della missione evangelizzatrice. Dal 25 al 27 novembre prossimi sarà questo il focus dei duecento partecipanti al congresso “La famiglia cristiana, soggetto di evangelizzazione” rivolto a famiglie di tutto il mondo impegnate nella formazione cristiana di altre famiglie. Numerose le testimonianze, realizzate ad ogni latitudine. Fra queste, tre storie di Famiglie Nuove: dall’Argentina Alicia e Alfredo Mucchiut con un’esperienza nel sociale, dall’Angola Miriam e Roberto Pina sull’evangelizzazione, e ancora dall’Italia Lucia e Paolo Crepaz sull’educazione dei figli. Spiritualità e vita quotidiana, tema della prima sessione di esperienze, che guardano alle problematiche del rapporto con i figli, l’apertura alla trasmissione della vita, il mondo del lavoro, della scuola, il tempo libero e la testimonianza evangelica della famiglia. L’impegno delle famiglie nell’evangelizzazione è invece al centro del secondo giorno di lavori: ci sono quelle che si occupano dell’educazione cristiana dei bambini e ragazzi, altre impegnate nella preparazione del matrimonio o nell’accompagnamento di coppie in difficoltà, e operano a livello di parrocchia, di diocesi e di associazione. Solidarietà e impegno civile sono l’argomento conclusivo del congresso, con esperienze di volontariato e di impegno in società. I fatti di vita eloquenti presentati insieme a momenti di riflessione e di dialogo, vogliono offrire un servizio alla comunione ecclesiale e all’evangelizzazione familiare, suscitando creatività e responsabilità. Essi manifestano, sottolinea il cardinal Antonelli, presidente del Pontificio Consiglio per la Famiglia, che “è nella relazione vitale con Cristo che la famiglia ricava speranza, carità, gioia, coraggio, capacità di discernimento e lo spirito di solidarietà per un fecondo servizio nella società.” Il congresso nasce nell’ambito del progetto per dare impulso alla soggettività ecclesiale e sociale della famiglia, avviatosi a seguito del VI Incontro Mondiale delle Famiglie a Città del Messico del gennaio 2009. Programma del congresso internazionale: (altro…)